À propos

Le 21 mai 2001 fut publiée au Journal officiel la loi reconnaissant la traite négrière et l'esclavage comme « crimes contre l'humanité ».Françoise Vergès revient sur l'extraordinaire capacité de l'esclavage à s'adapter aux nouvelles technologies comme au progrès social et juridique. Hier, la prédation signifiait razzias, guerres, kidnapping ; aujourd'hui, guerres et enlèvements perdurent comme sources d'asservissement, auxquelles il convient d'ajouter la fabrication par la violence économique de vies vulnérables et fragiles.Il est temps d'étudier les politiques et les économies de prédation non comme des traces de l'arriération, mais comme des formes régulièrement réinventées, tout à fait compatibles avec l'existence de discours humanitaires et une économie du profit.


Rayons : Sciences humaines & sociales > Histoire > Histoire généralités > Essais / Réflexions / Ecrits sur l'histoire


  • Auteur(s)

    Françoise Vergès

  • Éditeur

    Albin Michel

  • Distributeur

    ePagine

  • Date de parution

    13/04/2011

  • Collection

    Bibliothèque Albin Michel Michel des idé

  • EAN

    9782226237804

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    226 Pages

  • Poids

    358 Ko

  • Diffuseur

    Adilibre

  • Entrepôt

    ePagine

  • Support principal

    ebook (ePub)

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Françoise Vergès

Féministe antiraciste, Françoise Vergès est l'autrice de plusieurs ouvrages et articles en français et en anglais sur l'esclavage colonial, le féminisme, la réparation, le musée, dont Un féminisme décolonial (La fabrique, 2019)
et Une théorie féministe de la violence (La fabrique, 2020).

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