Rayons : Bandes dessinées / Comics / Mangas > Bandes dessinées > Ados / Adultes
EAN
9782800191348
Disponibilité
Disponible
Nombre de pages
96 Pages
Poids
19 701 Ko
Distributeur
Diffuseur
Izneo
Entrepôt
ePagine
Support principal
ebook (ePub)
Libon est auteur et illustrateur de bandes dessinées. On peut suivre son travail dans les magazines Spirou, J'aime Lire, DLire (en jeunesse) et Fluide Glacial (adultes). Les cavaliers de l'apocadispe, sa série en cours (éditions Dupuis) est l'une des plus drôles qui soient. On y découvre un univers riche et burlesque, et des personnages de anti-héros loufoques et pitoyables, dont les péripéties amusent autant les adultes que les enfants.
Né en Belgique de parents italiens en 1960. Tiraillé entre racines méditerranéennes et culture francophone, il choisit la bande dessinée, genre mixte par excellence.Etudes vaguement artistiques et rencontre-choc avec des magazines BD adultes début des années 80. Aime à coiffer la double casquette de scénariste et de dessinateur; il se considère d'ailleurs modestement comme dessinariste quand il est auteur complet. Il ajoute à cette schizophrénie en aimant tout autant créer pour les enfants que pour les grandes personnes. Ce double statut d'auteur-jeunesse et d'auteur-vieillesse lui permet d'exprimer une gamme complète de sentiments et d'opinions sur le monde en tentant de cacher au maximum ses références les plus admirées (Tardi, Goscinny, Munoz, Franquin, Watterson.)Rien d'original donc dans le parcours de ce monomaniaque boulimique sinon une propension à alterner une extrême finesse d'analyse et une approche très basique voire naïve. Photographe amateur et écriveur à ses heures (jusqu'à 16 heures 30), il profite de ses multiples rencontres avec des dessinateurs de tous styles et de toutes confessions graphiques pour multiplier des projets sans parenté aucune. La vie nous met dans de multiples humeurs (joie, bonheur, déprime, colère, compassion, dégoût, découragement, enthousiasme.), pas de raison donc de laisser filer une musique monocorde. Selon lui un artiste doit avoir la possibilité à la fois de tâter du violoncelle, de gratter son ukulélé et de se joindre à un groupe punk-trash avant d'aller fredonner de la pop-folk avec des gens bien. Il veut faire mentir l'adage qui affirme qu'un auteur raconte toujours la même histoire.