Socrate est souvent qualifié de « père de la philosophie ». S'il n'en est peut-être pas le fondateur, il est le premier à se détourner de l'étude de la nature et à insister pour que la réflexion philosophique s'intéresse désormais, et exclusivement, aux « affaires humaines ». En raison de cette stature, et du fait qu'il n'ait jamais laissé d'écrits, on a longtemps cherché dans les oeuvres de Platon, de Xénophon, d'Aristophane ou encore d'Aristote la trace du vrai Socrate, du Socrate historique. Mais chacun de ces « témoignages » nous offre une figure et une pensée différentes du philosophe. En exposant et en expliquant la diversité de ces portraits, la multiplicité des modèles qui lui sont attribués, Louis-André Dorion montre comment ses disciples ou ses contemporains se sont réapproprié, souvent pour faire de lui le porte-parole de leur propre doctrine, la figure du premier martyr de l'histoire de la philosophie.
Un ouvrage de synthèse unique sur l'histoire des croyances et des grandes religions, de la Préhistoire à nos jours. Sous la forme d'un récit chronologique illustré, entrecoupé de dossiers thématiques. Pour tous ceux qui s'intéressent au fait religieux.
Un panorama complet
o L'ouvrage dresse un panorama de l'histoire de tous les grands systèmes religieux : au premier chef, les trois religions monothéistes - judaïsme, christianisme et islam -, mais aussi les religions de l'Antiquité, les sagesses orientales (hindouisme, bouddhisme, taoïsme), les nouvelles religions du XXe siècle, etc.
o Le récit commence avec les premières sépultures du Paléolithique, qui peuvent être interprétées comme les formes les plus anciennes de croyances, et se termine avec un tableau des religions dans le monde aujourd'hui.
o Déroulant en parallèle l'histoire des différentes religions, il permet de mettre en évidence la singularité de chacune mais aussi les interactions et points de convergence.
Sous la forme d'un récit chronologique illustré
L'entrée dans cette histoire, complexe, se fait à travers une sélection de 130 dates clés.
À chacune est associée le récit illustré de l'événement fondateur, des encadrés thématiques apportant un complément d'information sur un personnage, un rite, un lieu de culte, une expression artistique, etc.
Intercalés dans le récit, 20 dossiers thématiques offrent des synthèses précieuses sur chacun des grands systèmes religions abordés dans l'ouvrage.
Bien au-delà de nos repas quotidiens, notre assiette raconte les idéologies qui nous traversent. Nos manières de manger disent nos manières d'être ensemble ou de ne plus l'être. Depuis la Libération, nous avons vécu le mirage de l'électroménager et le sacre de l'agroalimentaire, l'invention des terroirs et la planète food, la gloire des grands chefs et l'avènement du burger, la quête sans fin du produit bio, éthique et local... Loin d'être anecdotiques, ces changements sont l'écho des aspirations - mais aussi des tensions - de la société française. Un récit passionnant, à la croisée de la mémoire et de l'histoire, qui prouve que manger est tout sauf anodin dans une France en recomposition permanente. Jean-Louis André est normalien, il a collaboré au Monde et travaille comme reporter pour le magazine Saveurs. Réalisateur de documentaires diffusés sur Arte et France Télévisions, il décrypte nos modes de vie à travers l'architecture et l'alimentation. Outre des récits de voyages culinaires, il a publié chez Odile Jacob Au coeur des villes et, avec Ricardo Bofill, Espaces d'une vie.
Ce précis met particulièrement l'accent sur les différents éléments constitutifs de l'État de droit et notamment sur " les sources du droit " et sur " la justice constitutionnelle ", dans une perspective de droit comparé. Il traite, de manière originale, de l'ancrage constitutionnel des institutions politiques mais aussi administratives et juridictionnelles.
À cet égard, le " droit constitutionnel des collectivités locales " fait l'objet d'une présentation détaillée. Il consacre par ailleurs des développements synthétiques aux régimes politiques étrangers et d'autres, plus substantiels, à l'histoire constitutionnelle française et au régime politique de la Ve République.
Cette nouvelle édition intègre les résultats des dernières élections présidentielle et législatives et les conséquences institutionnelles qui en découlent. Elle est à jour des récentes évolutions jurisprudentielles (QPC notamment).
Un fabuleux voyage, de l'infiniment petit à l'infiniment grand !
Pourquoi le ciel est bleu ? Qu'est-ce qu'un mirage ? Comment comprendre la théorie de l'attraction des corps quand ce n'est pas d'amour que l'on parle ?! Ce livre est construit comme un voyage dans le temps d'abord, et surtout dans l'espace, celui de l'univers et de ses infinis, celui de l'Homme et celui de ses pensées, notamment scientifiques.
Des premières questions des Grecs aux technologies contemporaines laser les plus avancées, progressez pas à pas et entrez dans la physique, ses phénomènes, ses lois, ses applications et les hommes qui l'ont forgée : mécanique, optique, thermodynamique, électromagnétisme, les grands domaines seront abordés ici sous un angle nouveau, celui du concret, de l'expérience, de l'application et des hommes qui l'ont faite, pour permettre à tous, néophytes ou amateurs, de s'y plonger avec plaisir.
Au début de l'année 2009, le monde découvrait la colère antillaise. En Guadeloupe, puis quelques jours plus tard en Martinique se déployait un mouvement social d'une ampleur jusqu'alors inconnue. Cet ouvrage analyse le conflit en révélant son contexte sociétal, les grands récits qui le portent, les expériences historiques anciennes et récentes qui le configurent comme expérience singulière. Il s'agit alors de questionner certains aspects de ce mouvement de contestation et de montrer en quoi il est révélateur de la situation des sociétés antillaises.
Le gourvernement du Québec a lancé un vaste débat public sur la légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté, encadré par une commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité. Pour l'occasion, les auteurs de cet ouvrage unissent leur compétence respective, de médecine et de philosophie, et proposent des regards convergents sur cette délicate question.
La raison de l'argumentaire concerne la dignité et l'autonomie, des notions constamment évoquées dans les débats. Le propos développe aussi la question des soins effectifs en fin de vie. On distingue la pratique de l'euthanasie de la sédation palliative, celle des soins convenables de l'acharnement thérapeutique. On dénonce les menaces contre la manipulation des personnes, des familles et des citoyens. On prévient les dérives possibles tant économiques que politiques. On dissipe quelques mythes : celui de la dernière piqûre et celui du spectre mortifère de la morphine.
Le plaidoyer puise à l'expertise de la Maison Michel-Sarrazin. Cette institution, forte de ses 25 ans d'expérience en soins de fin de vie, est une source de choix pour ancrer solidement la réflexion.
Il existe très peu de travaux faisant le point de manière approfondie et comparative sur les constitutions qui encadrent les régimes politiques contemporains de l'Afrique francophone, soit vingt-trois pays. Par ailleurs, l'impact indéniable des agencements constitutionnels sur les évolutions politiques et l'importance attachée aujourd'hui par la communauté internationale et par les opinions publiques à un constitutionnalisme considéré comme l'une des principales sources de la consolidation démocratique donnent toute sa pertinence à ce livre.
André Siegfried, de l'Académie française, fut une personnalité scientifique renommée des IIIe et IVe Républiques. Professeur aux "Sciences Po" et au Collège de France, il développa une oeuvre considérable dont certains titres demeurent des classiques incontournables. Il était, dans ses analyses, à la fois géographe, moraliste, politologue, économiste, historien, publiciste, sociologue et essayiste. Visionnaire, il a su pressentir les grands changements du monde, et a su comprendre les étrangers dans leurs caractéristiques spécifiques.
Pionnier de l'hydroélectricité et des « hautes chutes » des Alpes françaises, Aristide Bergès est un personnage marquant de l'histoire des techniques et de l'industrie française.
Issu de la bourgeoisie industrielle rurale, il devra batailler longtemps contre un père tout-puissant. Sa fuite amoureuse à Londres pour y épouser la belle Marie, tailleuse de robes de son état, au mépris de l'avis paternel, ses débuts difficiles dans les chemins de fer, les emprunts auxquels il doit recourir pour lancer ses affaires illustrent les obstacles qu'il a eus à franchir.
Rien n'altère pourtant l'énergie de cet homme qui a l'innovation chevillée au corps. Homme de communication, il invente la métaphore de « la houille blanche » pour frapper l'imagination. Cet ouvrage dévoile la trajectoire d'un homme à la fois ingénieur, innovateur et entrepreneur, créateur d'une des plus grandes papeteries de France. Il révèle aussi le père de famille, le patron préoccupé par le progrès social, aux prises avec les turbulences de la crise économique, avec ses difficultés et ses doutes, ses enthousiasmes et ses limites.
Pour la première fois, une biographie complète de ce personnage du panthéon technique français restitue un portrait intime de l'homme derrière la figure héroïsée du père de la houille blanche.
Ce livre explore une dimension particulière des évolutions institutionnelles, celle de la pérennité des traditions constitutionnelles nationales et d'abord françaises. C'est dans cet esprit qu'ont été examinés le droit et la pratique de la dissolution au cours de l'histoire politique de notre pays.
L'originalité de l'étude tient d'abord à ce qu'un long développement est consacré à ce qui peut être considéré comme la préhistoire de la dissolution : les pratiques de l'Ancien Régime à l'égard des assemblées représentatives de la nation. Au-delà et depuis la Révolution, ce sont au total vingt dissolutions qui ont été prononcées.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Ce livre propose une enquête philosophique explorant le rapport à la mort dans nos sociétés. C'est une invitation à penser les liens humains à la fin de la vie. On évoque les liens intimes, mais également les liens sociaux encadrés par la loi. Dans un tel contexte, comment discerner les raisons anciennes et nouvelles convenant au bien de la cité ?
L'ouvrage s'adresse aux accompagnants en soins palliatifs. Il concerne également toute personne soucieuse pour elle-même et ses proches de réfléchir à son voyage au bout de la vie. Nous sommes mortels, nous le savons et le fil de nos existences provoque des occasions de nous le rappeler. Dans la solitude de mourir s'inscrit l'appel à la compassion. Ainsi, pour les Grecs de l'Antiquité, l'image de la cigogne symbolisait la prise en charge des vieux par les jeunes, un signe de l'amitié politique.
L'émergence de la culture palliative est intimement liée aux changements qui ont affecté l'évolution récente de la vie démocratique. Cette culture est née et s'est développée dans des circonstances politiques particulières. A l'observer, on peut déchiffrer certains codes de notre vie civique, ses aspirations, mais aussi ses ambiguïtés.
Louis-André Richard propose d'examiner les questions actuelles en compagnie de Platon, d'Aristote, d'Augustin ou de Tocqueville. Grâce à eux, la philosophie, symbolisée par la sagesse de Minerve, est mise à contribution pour explorer la genèse et les métamorphoses de concepts comme la dignité et l'autonomie. Comment se déploie la dynamique de la raison et de la liberté à l'heure de notre mort ? Tel est l'enjeu pour les roseaux pensants que nous sommes.
Si notre frêle espèce appelle à la sollicitude de la cigogne, elle ne saurait négliger de convoquer aussi la sagesse de Minerve.
Ce numéro présente le deuxième volet de la réflexion « Re-penser la sculpture? » en vue de découvrir d'autres façons de contribuer au passage pouvant avoir lieu entre la sculpture, reconnue comme médium, et celle exigeant d'autres usages de l'espace. Un essai de Maxime Coulombe, « La sculpture, vous dites? », une analyse de Marie-Hélène Leblanc, « L'homme et la machine dans la sculpture comme dans la guerre », et un entretien avec Guillaume Labrie sont notamment au menu. Hors dossier, Josianne Poirier étudie « Le paysage sonore comme matière », Rupert Nuttle s'entretient avec Derya Akay et les comptes-rendus de la dernière Manif d'art de Québec, de Chantier Libre 4 et le troisième acte de la trilogie de Sarah Pierce.
Le dossier « Espace cartographié », dirigé par André-Louis Paré, s'intéresse aux ¬manoeuvres¬ artistiques axées autour de la cartographie. Parmi les nombreuses approches recensées dans ce numéro double très étoffé, nous retrouvons les « topographies du pouvoir » de Mark Lombardi, l'imaginaire cartographique dans les oeuvres de Pierre-Alexandre Remy, la géolocalisation comme inspiration chez David Renaud et la nostalgie du voyage dans l'oeuvre de Jean-Yves Vigneau, pour ne nommer que ceux-ci. La section « Événements » présente la critique de Laurent Vernet sur l'exposition ¬Oh, Canada¬, qui tenait l'affiche au ¬MASS MoCA¬ jusqu'en avril dernier, revient sur les installations transdisciplinaires de Louise Viger que l'on a pu voir au ¬Centre d'exposition Circa¬ à l'automne 2012 et commente l'¬Ultime Dialogue¬ de Roland Poulin, une exposition qui réunissait les plus récentes sculptures de l'artiste au ¬Battat Contemporary¬ de Montréal.
Dans son livre L'âme désarmée, essai sur le déclin de la culture générale, le philosophe Allan Bloom écrivait : « La question qui se pose à tout jeune être humain - "Qui suis-je ?" - et le besoin puissant de se conformer à l'impératif de l'oracle de Delphes - "Connais-toi toi-même" - qui est congénital en chacun de nous signifient en premier lieu : "Qu'est-ce que l'homme ?"... La culture générale donne accès à ces réponses, dont plusieurs vont à l'encontre de notre nature et de notre époque. L'homme pourvu de culture générale est capable de ne pas s'en tenir aux réponses faciles... Il est certes ridicule de croire que ce qu'on apprend dans les livres représente l'alpha et l'oméga de l'éducation, mais la lecture est toujours nécessaire, en particulier à une époque où les exemples vivants de valeurs élevées sont rares. »
Inscrits dans le même mouvement, nous présentons ici des réflexions envisagées du point de vue de professeurs, dont la mission est de doter leurs étudiants d'une culture générale en tentant de viser un idéal de perfection humaine sans jamais perdre de vue la situation contemporaine.
À l'heure de la politisation de l'éducation, avec des formules inspirées de théories à la mode telle la « pédagogie inclusive », en songeant à la course effrénée des penseurs de l'école pour adapter celle-ci aux besoins immédiats du monde du travail ou aux tendances sociétales du moment, ne faut-il pas s'interroger ? L'éducation supérieure remplit-elle son mandat ? Favorise-t-elle un milieu privilégié d'éducation libérale ? Qu'en est-il aujourd'hui de l'idée d'université ?
Intitulé « Espace architecturé », le dossier de cette édition regroupe des textes signés André-Louis Paré, Nycole Paquin, Éric Valentin et Jessica Li. Il y est question, notamment, de Collective Folie, la tour gigantesque de Tadashi Kawamata au parc de la Villette à Paris, de l'univers à couper le souffle de Dale Chihuly au MBAM, de l'installation de Yam Lau à la Fonderie Darling, et du travail de Claes Oldenburg et Coosje van Bruggen abordé sous l'angle de la sculpture comme subversion de l'architecture. Hors dossier, un retour sur la temporalité des oeuvres publiques, un entretien avec Laurent Gagnon et un compte-rendu de l'exposition Michel de Broin au MAC, entre autres.
Avec ce numéro 107, la revue Espace inaugure un nouveau format, logo et design. Pour marquer le coup, le dossier « Re-penser la sculpture? » propose de se questionner sur ce que veut dire la pratique de ce medium aujourd'hui. Après un bref historique de la sculpture depuis les années 1960-1970, certaines propositions d'artistes (Tatiana Trouvé, Guillaume Leblon, Thea Djordjaze) sont interrogées dans leur rapport au concept de « champ élargi » avancé par Rosalind Krauss. La question de l'ombre projetée en sculpture (Tim Noble & Sue Webster, Mac Adams, mounir fatmi), trop peu souvent analysée, est aussi investiguée, ainsi que le travail d'artistes de la jeune génération (Francis Arguin, Chloé Desjardins, Dominic Papillon), caractérisé par une esthétique de la répétition.
Ce numéro dresse un portrait intéressant et varié de la présence des sciences dans notre vie et de leur importance dans notre histoire. Pour commencer, cette édition présente un texte de Michel Pepin sur l'histoire de l'enseignement de la médecine vétérinaire au Québec qui fête son 150e anniversaire cette année. Puis, André St-Arnaud, directeur des Cercles des Jeunes Naturalistes, nous présente en trois textes des organismes dont l'objectif est de susciter l'intérêt pour les sciences chez les jeunes. L'histoire de la botanique traditionnelle est abordé dans un article rédigé par les auteurs du livre Curieuses histoires de plantes du Canada ainsi que celle de la médecine au Québec grâce à un article du président de la Société québécoise d'histoire de la pharmacie. Finalement, la revue aborde les notions de progrès et d'innovation par des articles sur l'industrie laitière, le télégraphe électrique et l'aéronautique.
Le manuel le plus approfondi pour les L1, à jour des dernières QPC
Ce précis met particulièrement l'accent sur les différents éléments constitutifs de l'État de droit et notamment sur " les sources du droit " et sur " la justice constitutionnelle ", dans une perspective de droit comparé. Il traite, de manière originale, de l'ancrage constitutionnel des institutions politiques mais aussi administratives et juridictionnelles.
À cet égard, le " droit constitutionnel des collectivités locales " fait l'objet d'une présentation détaillée. Il consacre par ailleurs des développements synthétiques aux régimes politiques étrangers et d'autres, plus substantiels, à l'histoire constitutionnelle française et au régime politique de la Ve République.
Cette nouvelle édition est à jour des dernières décisions du Conseil constitutionnel, notamment en matière de QPC. Elle prend également en compte les conséquences de l'état d'urgence sanitaire, qu'il s'agisse de ses effets sur le fonctionnement des institutions (le rôle essentiel du Conseil de défense présidé par le Chef de l'Etat) ou encore sur l'exercice des droits et libertés fondamentaux auquel est consacré la troisième partie de l'ouvrage (ce qui le distingue des autres manuels).
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Qu'ils soient d'hier ou d'aujourd'hui, Louis Ducla et André Sarrail nous emmènent découvrir les écrivains qui ont croisé l'Histoire de Pau, de Marguerite de Navarre à Victor Hugo, en passant par Taine, Jammes, Vigny, Arasco, Martin du Gard, Michèle Arnéguy, Marcelle Vérité, Saint John Perse.... ce guide se présente sous la forme de notices par nom d'auteur ayant vécu ou oeuvré à Pau.
Qu'ils soient d'hier ou d'aujourd'hui, Louis Ducla et André Sarrail nous emmènent découvrir les écrivains qui ont croisé l'Histoire de Pau, de Marguerite de Navarre à Victor Hugo, en passant par Taine, Jammes, Vigny, Arasco, Martin du Gard, Michèle Arnéguy, Marcelle Vérité, Saint John Perse.... ce guide se présente sous la forme de notices par nom d'auteur ayant vécu ou oeuvré à Pau.