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Dignitas infinita : Déclaration sur la dignité humaine
Collectif
- Éditions du Cerf
- Documents d'Eglise
- 8 Avril 2024
- 9782204166423
Que peut dire l'Église catholique sur la dignité humaine ? Parce que les droits humains semblent aujourd'hui toujours davantage bafoués, le Dicastère pour la Doctrine de la foi s'élève contre la violation de ces droits. Car l'être humain, reflet du Créateur, possède une "dignité infinie".
En trois chapitres théoriques, la Déclaration rappelle les principes fondamentaux de la dignité humaine. Puis elle dénonce les violations graves de cette dignité : le scandale de la pauvreté, la guerre, l'exploitation des migrants, la traite des personnes, les violences faites aux femmes. Mais aussi toutes les atteintes à la vie elle-même : avortement, euthanasie et suicide assisté, la théorie du genre, etc.
Une déclaration fondamentale par laquelle l'Église proclame l'amour qu'elle porte à l'homme et le bien qu'elle souhaite à l'humanité tout entière. Car l'être humain est fait à l'"image et à la ressemblance" de son Créateur. Surtout, appelé à la vision de Dieu, il est invité à recevoir dès ici-bas la grâce qui le rend déjà participant de la vie divine. Il possède donc une "dignité infinie".
Un texte majeur d'anthropologie chrétienne.
"Dénoncer ces violations graves et actuelles de la dignité humaine est un devoir, car l'Église est profondément convaincue que l'on ne peut séparer la foi de la défense de la dignité humaine, l'évangélisation de la promotion d'une vie digne et la spiritualité de l'engagement pour la dignité de tous les êtres humains." -
Normes procédurales pour le discernement de phénomènes surnaturels présumés
Collectif
- Éditions du Cerf
- Documents d'Eglise
- 23 Mai 2024
- 9782204167321
Dieu est toujours présent dans l'histoire de l'humanité et ne cesse de nous envoyer ses dons de grâce par l'action de l'Esprit Saint [...]. Il incombe aux pasteurs de l'Église de rendre leurs fidèles toujours attentifs à cette présence aimante de la Sainte Trinité au milieu de nous, tout comme il leur incombe de préserver les fidèles de toute tromperie. Ces nouvelles Normes ne sont rien d'autre qu'un moyen concret par lequel le Dicastère pour la Doctrine de la foi se met au service des pasteurs dans l'écoute docile de l'Esprit.
Víctor Manuel Card. Fernández Préfet -
Avec la Segond 21, plus besoin de choisir entre compréhension et fiabilité!
«L'original, avec les mots d'aujourd'hui», voilà en effet le principe qui a guidé l'équipe pluridisciplinaire de traduction de la version Segond 21, pendant sa douzaine d'années de travail.
«L'original»: le premier objectif de la Segond 21, c'est de rester le plus fidèle possible à ce que dit le texte biblique dans les langues originales, c'est-à-dire l'hébreu et l'araméen pour l'Ancien Testament, et le grec pour le Nouveau Testament.
«Avec les mots d'aujourd'hui»: le deuxième objectif de la Segond 21, c'est de recourir à un langage courant, compréhensible pour les jeunes du 21e siècle. Une nouvelle traduction à découvrir, pour redécouvrir la Bible. -
L'incroyable trésor de la foi est tel qu'on a, toute la vie, le bonheur de pouvoir apprendre et s'enrichir de connaissances ! Actuellement, nombreux sont les nouveaux chercheurs de Dieu qui découvrent le Christ et l'Église catholique à l'âge adulte. Ce livre est pour eux, comme pour les chrétiens de longue date qui souhaitent consolider et progresser dans la connaissance du Christ, de la Bible et de ce que nous dit l'Église depuis 2000 ans.Qui est vraiment le Christ ? Comment lire la Bible ? Qu'est-ce que cela change d'être catholique ? Et surtout pourquoi tant de mal et de souffrance si Dieu est bon ? C'est à toutes les questions essentielles pour nos vies que répondent seize auteurs, prêtres ou laïcs, tous riches d'une pédagogie confirmée et d'une expérience de terrain.
En sollicitant notre soif de vérité, ce livre stimule en nous la quête d'un amour grand et vrai.Mgr Olivier de Germay, archevêque de Lyon
Pierre Amar - Jean-Baptiste Bienvenu - Édouard Divry - Jacques Gauthier - Thibaud Guespereau - Frédéric Guillaud - Matthieu Lavagna - Guillaume Le Gall - André Léonard - Fabrice Loiseau - Guillaume de Menthière - Paul Roy - Yves Semen - Gérald de Servigny - Simon de Violet - Henri Vallançon -
Avant-propos à l'édition 2010
L’idée d’une version de la Bible qui soit commune aux confessions chrétiennes francophones est ancienne : elle remonte à Richard Simon au xxe siècle. Mais elle n’a pris vraiment corps et atteint le grand public que dans les années soixante du xxe siècle.
Le test de l’épître aux Romains
Pour vérifier que l’entreprise était viable, on essaya de traduire en commun l’épître aux Romains, selon le principe « qui peut le plus peut le moins ». On sait que l’interprétation de cette épître a donné lieu, dans le passé, aux affrontements les plus vifs entre protestants et catholiques.
Le projet initial avait en fait été de procéder à une révision œcuménique de la Bible de Jérusalem. Mais les premiers essais, sur l’épître aux Romains, confiés aux professeurs P. Bonnard (Lausanne) et P. Prigent (Strasbourg), ont rapidement conduit les responsables à constater qu’on était déjà au-delà d’un simple travail de révision, et qu’en réalité on avait commencé une œuvre nouvelle.
Il fut donc décidé de constituer une équipe paritaire de six traducteurs. On était en 1965. L’entreprise se trouvait alors encouragée du côté catholique par la récente promulgation de la Constitution dogmatique Dei Verbum du concile Vatican II. Au bout d’un peu plus d’un an de travail commun on put considérer que le pari était gagné : un fascicule comportant introduction, traduction et annotation communes de l’épître vit le jour. La démonstration était faite : puisqu’on pouvait traduire ensemble l’épître aux Romains, on pouvait se lancer dans la traduction de toute la Bible ! En outre un constat aussi intéressant qu’inattendu était apparu : les clivages ou désaccords de traduction ne se faisaient pas entre confessions mais entre traducteurs, qu’ils soient catholiques ou protestants. Un débat fraternel – un tel travail en commun ne se fait pas sans créer des liens solides – permit de résoudre les difficultés à la satisfaction de tous.
Une traduction de toute la Bible enfin possible
On se mit donc au travail pour l’ensemble de la Bible. A cet effet on constitua des équipes, toutes paritaires, de spécialistes. Pour cette tâche considérable on réussit à mobiliser presque 120 traducteurs, l’indispensable coordination étant assurée, tant pour le Nouveau Testament que pour l’Ancien, par deux équipes, elles aussi paritaires. Les noms du père François Refoulé et du pasteur Georges Casalis, infatigables chevilles ouvrières de l’entreprise, doivent être ici cités, même si le principe du travail collectif et de l’anonymat des traducteurs a toujours été respecté (on trouvera en regard de la page de titre la liste de tous ceux qui ont participé d’une manière ou d’une autre). Le Nouveau Testament put paraître en 1972, et l’Ancien en 1975.
A côté de cette édition dite « avec notes intégrales » (et références marginales) voyait aussi le jour une édition de volume plus réduit, dite « avec notes essentielles », ces dernières portant exclusivement sur les problèmes de texte ou de traduction, ainsi que sur le cadre historico-culturel à connaître pour pouvoir situer le texte lu. Il va de soi que les textes de ces deux éditions parallèles étaient strictement identiques et qu’ils devaient le rester au fur et à mesure des révisions.
Une première mise à jour (1988)
Après un usage d’une quinzaine d’années il devint évident qu’un toilettage de l’ensemble était nécessaire. Plusieurs raisons justifiaient cette mise à jour – qui s’impose d’ailleurs périodiquement à toute édition de la Bible.
En premier lieu, les éditeurs avaient reçu de lecteurs exigeants des remarques ou des suggestions concernant la traduction ou son annotation. Justifiées ou non, ces remarques devaient toutes être examinées.
En second lieu, le grand nombre de traducteurs était la cause d’une certaine diversité dans la traduction de certains mots ou de certains passages parallèles. Certes les évangiles synoptiques avaient été traduits de manière synoptique – c’est-à-dire que des libellés grecs identiques avaient été rendus en français de manière identique –, mais cela n’avait pas été le cas par exemple pour les passages parallèles des livres des Chroniques et des Rois. Une harmonisation s’avérait nécessaire.
En troisième lieu, la Bible représente une telle masse de textes à traiter que, malgré le soin rigoureux apporté à leur travail par les équipes engagées, un certain nombre de mises au point restaient indispensables.
Le fait mérite d’être souligné : à de rares exceptions près il a été possible de réunir à nouveau les mêmes équipes responsables pour la grande vérification qui donna le jour à une deuxième édition de la TOB, parue en 1988.
Le problème du Pentateuque en 2004
Une quinzaine d’années plus tard des spécialistes de l’Ancien Testament ont alerté le comité de l’AORB1 sur le fait que la conception qui prévalait quelques décennies plus tôt concernant la composition du Pentateuque avait vieilli et se trouvait de plus en plus contestée : il n’était plus possible de regarder, comme c’était encore le cas aux débuts de la TOB, l’ensemble des cinq premiers livres de la Bible comme une sorte d’œuvre composite empruntant à quatre documents antérieurs, qu’on appelait respectivement « yahviste », « élohiste », « deutéronomiste » et « sacerdotal ». L’AORB décidait alors de confier l’indispensable mise à jour à une équipe – toujours œcuménique – de cinq spécialistes du Pentateuque, chargée de reprendre les introductions et l’annotation du Pentateuque, en tenant compte des avancées de la science. La traduction, elle, ne subit que d’infimes ajustements. L’équipe des rédacteurs sollicités profita de l’occasion pour actualiser aussi les introductions générales à la Bible et à l’Ancien Testament, et pour réviser le tableau chronologique et en écarter les datations par trop aventureuses, comme par exemple celles des patriarches.
En 2003 ce travail a été publié en un fascicule séparé, donnant le Pentateuque sous sa nouvelle présentation avant que celui-ci ne soit intégré dans l’édition datée de 2004. L’édition dite « avec notes essentielles » était parallèlement mise à jour.
La nouvelle édition de 2010
Après cette révision du Pentateuque, une nouvelle édition de la TOB devenait nécessaire pour au moins deux raisons.
En premier lieu, une participation plus active de la partie orthodoxe se devait d’apparaître ici ou là dans l’annotation de certains passages et surtout dans l’adjonction des livres deutérocanoniques en usage dans la liturgie des Eglises orthodoxes : 3 et 4 Esdras,3 et 4 Maccabées, Prière de Manassé, Psaume 151.
En deuxième lieu, après la révision de 2004, qui portait sur le seul Pentateuque, il convenait de mettre à jour le reste de la traduction, d’autant que la science biblique a continué de progresser : elle permet aujourd’hui une approche plus précise de la datation de certains livres et un éclairage historico-culturel parfois plus précis du texte biblique grâce aux nouveaux progrès de l’archéologie.
Enfin, dans le prolongement des travaux d’un Paul Ricœur sur le phénomène de la lecture, par exemple, on est mieux à même de comprendre aujourd’hui comment un livre aussi complexe que celui d’Esaïe présente une unité jusqu’alors plus ou moins méconnue. Sur la base de ces constats les introductions, d’une part, et l’annotation, d’autre part, ont été l’objet d’un certain nombre de retouches.
Quant à la traduction elle-même, elle a été revue dans une double perspective.
En premier lieu, pour faire droit aux remarques de certains lecteurs, on a, quand cela se justifiait, procédé à des retouches ponctuelles.
Citons, à titre d’exemple, le cas de Gn 4.21, où on a remplacé cithare (désignation anachronique) par lyre ; ou de Gn 1.1, où l’on est revenu, sur le fond, à la traduction de 1975, tout en faisant apparaître l’aspect de titre ou de sommaire du premier verset de la Bible. Dans certains cas, on a préféré au décalque, fidèle à la forme du texte original, une traduction plus fidèle au sens. Ainsi en Mc 10.23, au lieu de « Qu’il sera difficile… ! », on lira « Qu’il est difficile… ! », car le futur a ici une valeur de sentence plus que de temps. N’entrons pas dans les détails des améliorations du français ou de l’orthographe – en particulier pour certains noms propres –, ni de la correction de coquilles ayant survécu aux relectures des éditions précédentes, ni de la rectification éventuelle de la ponctuation ou de la remise en place d’un numéro mal placé de verset, de référence marginale, voire d’un changement de sous-titre.
Outre ces retouches ponctuelles on a procédé à un certain nombre de retouches systématiques.
Les premières ont porté sur les noms divins. La quasi-totalité d’entre eux comportait en effet les qualificatifs « puissant » ou « tout-puissant ». Or ces qualificatifs sont en réalité étrangers aux noms divins respectifs pour lesquels il faut trouver un équivalent français. Ainsi la séquence très fréquente Adonaï (Elohim) Sabaoth, littéralement le Seigneur (Dieu) des armées, qui était rendue par « le Seigneur (Dieu), le tout-puissant » a été revue en le Seigneur (Dieu) de l’univers, qui rend mieux l’étendue des compétences du Dieu de la Bible.
Dans la même perspective l’appellation Shaddaï, qui était rendue par « le Dieu Puissant », a été tout simplement transcrite. Les meilleures études récentes, en effet, reconnaissent ignorer complètement sa signification. A la première occurrence (Gn 17.1) une note apporte sur ce point les précisions utiles.
Le titre pantokratôr, qui apparaît non seulement dans les livres deutérocanoniques de l’Ancien Testament, mais aussi dans le Nouveau Testament, est uniformément rendu par le Souverain.
Certaines expressions idiomatiques ont été conservées dans leur forme décalquée, mais leur signification est élucidée dans une note, ou bien elles ont été rendues par un équivalent français adéquat. C’est ainsi que le décalque « parler au cœur » a été rectifié en « parler contre le cœur », avec note explicative, voire carrément traduit comme en Gn 34.3 : « Il se prit d’amour pour la jeune fille et regagna sa confiance. »
La « guerre sainte » est devenue guerre de Dieu pour des raisons que chacun comprendra. « Conclure une alliance en faveur de » est devenu conclure une alliance avec, les « pasteurs » sont devenus des bergers, etc.
Le qualificatif « jaloux », quand il est accolé au nom divin, ayant toutes chances d’être compris au sens de « envieux », a été systématiquement remplacé. On lit maintenant : un Dieu exigeant. Quant à la « jalousie » de Dieu, elle a fait place à son zèle dans les cas où Dieu prend le parti de son peuple, et à son ardeur quand il s’en prend à lui.
Le verbe « prophétiser », quand il décrit l’activité du prophète, porte-parole de Dieu, ouvrait la porte à un contresens, dans la mesure où il était compris au sens usuel de « prédire ». Il a donc été avantageusement remplacé par parler en/comme prophète.
En ce qui concerne le Nouveau Testament, à la suggestion de l’Amitié judéo-chrétienne de France, la traduction systématique du grec Ioudaioi par « Juifs » dans l’évangile johannique a été entièrement revue. En français, en effet, le terme « juif » n’a que deux acceptions : (1) adepte de la religion juive, (2) descendant de Jacob. Or le grec de l’évangile johannique a, quant à lui, un éventail de quatre acceptions disponibles : outre celles du français, il peut désigner aussi, selon les cas, soit les Judéens (3), soit les autorités du judaïsme (4), en l’occurrence les membres du sacerdoce jérusalémite. Les acceptions (3) et (4) ne pouvaient donc pas être rendues comme les acceptions (1) et (2). Une équipe œcuménique a cherché à identifier l’acception convenable pour les soixante-huit cas où le terme « juif » se trouve dans l’évangile de Jean, proposant chaque fois l’équivalent français que le contexte rendait satisfaisant.
Editeurs et réviseurs espèrent avoir ainsi rendu plus aisée et donc plus profitable la lecture de la Bible.
Notes
1 ♦ Association œcuménique pour la recherche biblique, qui gère éditions et révisions de la Traduction œcuménique de la Bible (TOB).
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Je m'initie à l'astrologie : utiliser le pouvoir des planètes pour vivre mieux
Collectif
- mercileslivres
- 21 Février 2023
- 9782383554981
Aujourd'hui plus que jamais, nous sommes en quête de sens : qui suis-je ? Pourquoi j'existe? Qu'est-ce que j'aime vraiment ? Quels sont mes talents ? Ai-je une vocation ? Les questions existentielles fusent dans un monde où tout change rapidement et où les vérités tombent une à une. Nous cherchons à trouver des connexions, des réponses, des indices pour avancer, pour retrouver notre étoile originelle peut-être.
Au fil de ces pages, l'autrice souhaite mettre en lumière l'art de l'astrologie en tant qu'outil pour permettre à chacun de mieux vivre avec lui-même, avec les autres et avec l'univers. Apprenez à comprendre l'histoire, la symbolique, la métaphysique de cette discipline aux richesses multiples et ce qu'elle peut vous apporter.
Être curieux n'a jamais été un défaut, c'est la clé de tout, alors soyons-le ensemble... -
Les plus belles prières aux anges, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
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Les plus belles prières à l'Esprit Saint, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
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Pourquoi Padre ? Tome 2 : 86 questions réponses sur la foi et la vie chrétienne
Collectif
- Artège
- 3 Mai 2023
- 9791033614272
Se faire tatouer est-il un péché ? Ne pas communier régulièrement rompt-il la communion avec Dieu ? Dois-je suivre aveuglément l'Église ? Comment Dieu peut-il m'aider quand je souffre ? Les prêtres du Padreblog ne reculent devant aucune question, celles du quotidien comme les questions essentielles de la foi chrétienne, et ils y répondent chaque semaine sur KTO.Pour vivre chrétiennement dans le monde qui nous entoure et nourrir notre foi de la parole de Dieu, on peut compter sur la clarté et la solidité de leurs réponses. Ces courtes explications accessibles à tous sont complétées par une parole de la Bible et un extrait de l'enseignement de l'Église. Un ouvrage indispensable pour nourrir sa foi et en transmettre la flamme.
Les prêtres de Padreblog aiment se retrouver pour croiser leurs regards sur le monde et sur l'Église. Ils proposent des contenus sur les réseaux sociaux pour décrypter l'actualité, approfondir la foi et aider à sa transmission. -
Dans l'encyclique Ut unum sint (1995), le pape Jean-Paul II invitait les autres chrétiens à rechercher ensemble les formes dans lesquelles le ministère de l'évêque de Rome « pourra réaliser un service d'amour reconnu par les uns et par les autres ». De nombreuses réponses à cette invitation ont été proposées, ainsi que des réflexions et des suggestions issues de divers dialogues théologiques oecuméniques.
L'Évêque de Rome se présente comme un « document d'étude ». Il ne prétend pas épuiser l'argument ni résumer le magistère catholique à ce sujet. Son but est d'offrir une synthèse objective des développements oecuméniques récents sur le thème, reflétant ainsi les idées mais aussi les limites des documents de dialogue eux-mêmes. L'étude se termine par une brève proposition de l'Assemblée plénière du Dicastère pour la promotion de l'unité des chrétiens, qui identifie les éléments de réflexion les plus significatifs pour un exercice renouvelé du ministère d'unité de l'évêque de Rome.
Préface du Cardinal Kurt Koch. -
Les plus belles prières pour bénir les repas et remercier Dieu de ses dons, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
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Les plus belles prières à sainte Rita, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
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Ouvert par Jean XXIII le 11 octobre 1962 et clôturé sous le pontificat de Paul VI le 8 décembre 1965, le concile Vatican II est certainement l'événement le plus marquant de l'histoire de l'Église catholique au XXe siècle. L'ensemble des documents promulgués par ce concile (4 Constitutions, 3 Déclarations et 9 Décrets) est rassemblé dans cet ouvrage.
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Il y a des siècles, les peuples scandinaves élaborèrent des alphabets simples composés de runes. Bien davantage que de simples lettres, chaque rune possède un symbolisme et une magie qui lui sont propres.
Étroitement associées aux dieux Ases - le clan d'Odin, de Thor, de Freya et autres figures mythiques du panthéon nordique - les runes nous transmettent des messages secrets et des énergies mystiques.
Avec ce livre, découvrez vous aussi la signification et la magie que recèlent les 24 symboles qui composent l'alphabet runique du Vieux Futhark. Apprenez à utiliser les runes pour prédire l'avenir et profiter pleinement de leurs pouvoirs magiques !
En bonus : un poster qui vous livrera les informations clés de chaque rune. -
Mots de naissance ; paroles pour une célébration
Collectif
- Bayard Adulte
- Livrets et sacrements
- 3 Mars 2021
- 9782227497849
Un enfant vient de naître, et ceux qui l'attendaient sont bouleversés. De Victor Hugo à Jacques Brel, en passant par Pablo Casals, Khalil Gibran ou saint Augustin, voici des mots pour dire une histoire qui commence, avec ses gestes de tendresse, ses espérances et l'immense bonheur de tout réinventer.
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La traduction de Louis Segond est très prisée chez tous les protestants de langue française depuis 1910. La révision de 1978 a modernisé le vocabulaire et rendu le style plus fluide.
Edition sans notes, avec glossaire
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Avant-propos à l'édition 2010
L’idée d’une version de la Bible qui soit commune aux confessions chrétiennes francophones est ancienne : elle remonte à Richard Simon au xxe siècle. Mais elle n’a pris vraiment corps et atteint le grand public que dans les années soixante du xxe siècle.
Le test de l’épître aux Romains
Pour vérifier que l’entreprise était viable, on essaya de traduire en commun l’épître aux Romains, selon le principe « qui peut le plus peut le moins ». On sait que l’interprétation de cette épître a donné lieu, dans le passé, aux affrontements les plus vifs entre protestants et catholiques.
Le projet initial avait en fait été de procéder à une révision œcuménique de la Bible de Jérusalem. Mais les premiers essais, sur l’épître aux Romains, confiés aux professeurs P. Bonnard (Lausanne) et P. Prigent (Strasbourg), ont rapidement conduit les responsables à constater qu’on était déjà au-delà d’un simple travail de révision, et qu’en réalité on avait commencé une œuvre nouvelle.
Il fut donc décidé de constituer une équipe paritaire de six traducteurs. On était en 1965. L’entreprise se trouvait alors encouragée du côté catholique par la récente promulgation de la Constitution dogmatique Dei Verbum du concile Vatican II. Au bout d’un peu plus d’un an de travail commun on put considérer que le pari était gagné : un fascicule comportant introduction, traduction et annotation communes de l’épître vit le jour. La démonstration était faite : puisqu’on pouvait traduire ensemble l’épître aux Romains, on pouvait se lancer dans la traduction de toute la Bible ! En outre un constat aussi intéressant qu’inattendu était apparu : les clivages ou désaccords de traduction ne se faisaient pas entre confessions mais entre traducteurs, qu’ils soient catholiques ou protestants. Un débat fraternel – un tel travail en commun ne se fait pas sans créer des liens solides – permit de résoudre les difficultés à la satisfaction de tous.
Une traduction de toute la Bible enfin possible
On se mit donc au travail pour l’ensemble de la Bible. A cet effet on constitua des équipes, toutes paritaires, de spécialistes. Pour cette tâche considérable on réussit à mobiliser presque 120 traducteurs, l’indispensable coordination étant assurée, tant pour le Nouveau Testament que pour l’Ancien, par deux équipes, elles aussi paritaires. Les noms du père François Refoulé et du pasteur Georges Casalis, infatigables chevilles ouvrières de l’entreprise, doivent être ici cités, même si le principe du travail collectif et de l’anonymat des traducteurs a toujours été respecté (on trouvera en regard de la page de titre la liste de tous ceux qui ont participé d’une manière ou d’une autre). Le Nouveau Testament put paraître en 1972, et l’Ancien en 1975.
A côté de cette édition dite « avec notes intégrales » (et références marginales) voyait aussi le jour une édition de volume plus réduit, dite « avec notes essentielles », ces dernières portant exclusivement sur les problèmes de texte ou de traduction, ainsi que sur le cadre historico-culturel à connaître pour pouvoir situer le texte lu. Il va de soi que les textes de ces deux éditions parallèles étaient strictement identiques et qu’ils devaient le rester au fur et à mesure des révisions.
Une première mise à jour (1988)
Après un usage d’une quinzaine d’années il devint évident qu’un toilettage de l’ensemble était nécessaire. Plusieurs raisons justifiaient cette mise à jour – qui s’impose d’ailleurs périodiquement à toute édition de la Bible. En premier lieu, les éditeurs avaient reçu de lecteurs exigeants des remarques ou des suggestions concernant la traduction ou son annotation. Justifiées ou non, ces remarques devaient toutes être examinées.
En second lieu, le grand nombre de traducteurs était la cause d’une certaine diversité dans la traduction de certains mots ou de certains passages parallèles. Certes les évangiles synoptiques avaient été traduits de manière synoptique – c’est-à-dire que des libellés grecs identiques avaient été rendus en français de manière identique –, mais cela n’avait pas été le cas par exemple pour les passages parallèles des livres des Chroniques et des Rois. Une harmonisation s’avérait nécessaire.
En troisième lieu, la Bible représente une telle masse de textes à traiter que, malgré le soin rigoureux apporté à leur travail par les équipes engagées, un certain nombre de mises au point restaient indispensables.
Le fait mérite d’être souligné : à de rares exceptions près il a été possible de réunir à nouveau les mêmes équipes responsables pour la grande vérification qui donna le jour à une deuxième édition de la TOB, parue en 1988.
Le problème du Pentateuque en 2004
Une quinzaine d’années plus tard des spécialistes de l’Ancien Testament ont alerté le comité de l’AORB1 sur le fait que la conception qui prévalait quelques décennies plus tôt concernant la composition du Pentateuque avait vieilli et se trouvait de plus en plus contestée : il n’était plus possible de regarder, comme c’était encore le cas aux débuts de la TOB, l’ensemble des cinq premiers livres de la Bible comme une sorte d’œuvre composite empruntant à quatre documents antérieurs, qu’on appelait respectivement « yahviste », « élohiste », « deutéronomiste » et « sacerdotal ». L’AORB décidait alors de confier l’indispensable mise à jour à une équipe – toujours œcuménique – de cinq spécialistes du Pentateuque, chargée de reprendre les introductions et l’annotation du Pentateuque, en tenant compte des avancées de la science. La traduction, elle, ne subit que d’infimes ajustements. L’équipe des rédacteurs sollicités profita de l’occasion pour actualiser aussi les introductions générales à la Bible et à l’Ancien Testament, et pour réviser le tableau chronologique et en écarter les datations par trop aventureuses, comme par exemple celles des patriarches.
En 2003 ce travail a été publié en un fascicule séparé, donnant le Pentateuque sous sa nouvelle présentation avant que celui-ci ne soit intégré dans l’édition datée de 2004. L’édition dite « avec notes essentielles » était parallèlement mise à jour.
La nouvelle édition de 2010
Après cette révision du Pentateuque, une nouvelle édition de la TOB devenait nécessaire pour au moins deux raisons.
En premier lieu, une participation plus active de la partie orthodoxe se devait d’apparaître ici ou là dans l’annotation de certains passages et surtout dans l’adjonction des livres deutérocanoniques en usage dans la liturgie des Eglises orthodoxes : 3 et 4 Esdras,3 et 4 Maccabées, Prière de Manassé, Psaume 151.
En deuxième lieu, après la révision de 2004, qui portait sur le seul Pentateuque, il convenait de mettre à jour le reste de la traduction, d’autant que la science biblique a continué de progresser : elle permet aujourd’hui une approche plus précise de la datation de certains livres et un éclairage historico-culturel parfois plus précis du texte biblique grâce aux nouveaux progrès de l’archéologie.
Enfin, dans le prolongement des travaux d’un Paul Ricœur sur le phénomène de la lecture, par exemple, on est mieux à même de comprendre aujourd’hui comment un livre aussi complexe que celui d’Esaïe présente une unité jusqu’alors plus ou moins méconnue. Sur la base de ces constats les introductions, d’une part, et l’annotation, d’autre part, ont été l’objet d’un certain nombre de retouches.
Quant à la traduction elle-même, elle a été revue dans une double perspective.
En premier lieu, pour faire droit aux remarques de certains lecteurs, on a, quand cela se justifiait, procédé à des retouches ponctuelles.
Citons, à titre d’exemple, le cas de Gn 4.21, où on a remplacé cithare (désignation anachronique) par lyre ; ou de Gn 1.1, où l’on est revenu, sur le fond, à la traduction de 1975, tout en faisant apparaître l’aspect de titre ou de sommaire du premier verset de la Bible. Dans certains cas, on a préféré au décalque, fidèle à la forme du texte original, une traduction plus fidèle au sens. Ainsi en Mc 10.23, au lieu de « Qu’il sera difficile… ! », on lira « Qu’il est difficile… ! », car le futur a ici une valeur de sentence plus que de temps. N’entrons pas dans les détails des améliorations du français ou de l’orthographe – en particulier pour certains noms propres –, ni de la correction de coquilles ayant survécu aux relectures des éditions précédentes, ni de la rectification éventuelle de la ponctuation ou de la remise en place d’un numéro mal placé de verset, de référence marginale, voire d’un changement de sous-titre.
Outre ces retouches ponctuelles on a procédé à un certain nombre de retouches systématiques.
Les premières ont porté sur les noms divins. La quasi-totalité d’entre eux comportait en effet les qualificatifs « puissant » ou « tout-puissant ». Or ces qualificatifs sont en réalité étrangers aux noms divins respectifs pour lesquels il faut trouver un équivalent français. Ainsi la séquence très fréquente Adonaï (Elohim) Sabaoth, littéralement le Seigneur (Dieu) des armées, qui était rendue par « le Seigneur (Dieu), le tout-puissant » a été revue en le Seigneur (Dieu) de l’univers, qui rend mieux l’étendue des compétences du Dieu de la Bible.
Dans la même perspective l’appellation Shaddaï, qui était rendue par « le Dieu Puissant », a été tout simplement transcrite. Les meilleures études récentes, en effet, reconnaissent ignorer complètement sa signification. A la première occurrence (Gn 17.1) une note apporte sur ce point les précisions utiles.
Le titre pantokratôr, qui apparaît non seulement dans les livres deutérocanoniques de l’Ancien Testament, mais aussi dans le Nouveau Testament, est uniformément rendu par le Souverain.
Certaines expressions idiomatiques ont été conservées dans leur forme décalquée, mais leur signification est élucidée dans une note, ou bien elles ont été rendues par un équivalent français adéquat. C’est ainsi que le décalque « parler au cœur » a été rectifié en « parler contre le cœur », avec note explicative, voire carrément traduit comme en Gn 34.3 : « Il se prit d’amour pour la jeune fille et regagna sa confiance. »
La « guerre sainte » est devenue guerre de Dieu pour des raisons que chacun comprendra. « Conclure une alliance en faveur de » est devenu conclure une alliance avec, les « pasteurs » sont devenus des bergers, etc.
Le qualificatif « jaloux », quand il est accolé au nom divin, ayant toutes chances d’être compris au sens de « envieux », a été systématiquement remplacé. On lit maintenant : un Dieu exigeant. Quant à la « jalousie » de Dieu, elle a fait place à son zèle dans les cas où Dieu prend le parti de son peuple, et à son ardeur quand il s’en prend à lui.
Le verbe « prophétiser », quand il décrit l’activité du prophète, porte-parole de Dieu, ouvrait la porte à un contresens, dans la mesure où il était compris au sens usuel de « prédire ». Il a donc été avantageusement remplacé par parler en/comme prophète.
En ce qui concerne le Nouveau Testament, à la suggestion de l’Amitié judéo-chrétienne de France, la traduction systématique du grec Ioudaioi par « Juifs » dans l’évangile johannique a été entièrement revue. En français, en effet, le terme « juif » n’a que deux acceptions : (1) adepte de la religion juive, (2) descendant de Jacob. Or le grec de l’évangile johannique a, quant à lui, un éventail de quatre acceptions disponibles : outre celles du français, il peut désigner aussi, selon les cas, soit les Judéens (3), soit les autorités du judaïsme (4), en l’occurrence les membres du sacerdoce jérusalémite. Les acceptions (3) et (4) ne pouvaient donc pas être rendues comme les acceptions (1) et (2). Une équipe œcuménique a cherché à identifier l’acception convenable pour les soixante-huit cas où le terme « juif » se trouve dans l’évangile de Jean, proposant chaque fois l’équivalent français que le contexte rendait satisfaisant.
Editeurs et réviseurs espèrent avoir ainsi rendu plus aisée et donc plus profitable la lecture de la Bible.
Notes
1 ♦ Association œcuménique pour la recherche biblique, qui gère éditions et révisions de la Traduction œcuménique de la Bible (TOB).
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Heureux ceux qui accueillent
Collectif
- Éditions du Cerf
- SPIRITUALITE HORS COLLECTION
- 8 Juin 2023
- 9782204155458
Les écrits rassemblés ici dévoilent ce qui faisait le coeur et la vitalité de la vie monastique des frères de Tibhirine : l'hospitalité, la rencontre avec l'autre.
Ainsi, sous leur plume, l'accueil à la porterie ou à l'hôtellerie est élevé au rang de « sacrement de la rencontre » et la Bible et le Coran consonnent au creux d'une lecture spirituelle. C'est aussi le récit inspirant du quotidien de leur voisinage, de leurs visiteurs, de leur pays d'accueil et des nombreuses relations de communion entretenues à travers le monde grâce à une correspondance nourrie.
À l'heure où les replis identitaires sont manifestes, l'hospitalité vécue à Tibhirine et plus largement dans toute l'Église d'Algérie est un style de vie et le rappel qu'il n'y a pas d'autre moyen pour signifi er la fraternité humaine et nourrir l'espérance. -
Les plus belles prières tirées des psaumes, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
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Prières en poche : Elisabeth de la Trinité
Collectif
- Artège
- Prières en poche
- 15 Juin 2022
- 9791033612773
Les plus belles prières de sainte Elisabeth de la Trinité, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
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La Bible Parole de Vie utilise des mots simples, ceux du langage de tous les jours. Cette version est tout indiquée pour découvrir la saveur et l'actualité de la Bible. Parole de Vie est une traduction respectueuse du texte original, réalisée par des spécialistes et reconnue par toutes les Eglises.
Edition avec les livres deutérocanoniques
Avec notes, introduction à chaque livre et vocabulaire
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Les plus belles prières de sainte Faustine à la Miséricorde Divine, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
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Chantons en Eglise : recueil de chants pour la messe et la louange
Collectif
- Bayard Adulte
- Chants et prières
- 26 Mai 2021
- 9791036337932
Figurent dans ce recueil les chants des répertoires les plus en vogue dans les paroisses de France, dont 200 chants du répertoire des communautés nouvelles (Emmanuel et Chemin Neuf). Également les premiers chants liturgiques de Lucien Deiss, Joseph Gelineau, Julien David, etc., et une vingtaine de cantiques en latin.
Le livre présente l'intégralité des textes de la liturgie de la messe.
Un important index thématique complète l'ouvrage : parties de la messe (chant d'entrée, de communion, etc.), temps liturgiques (avent, noël, carême, etc.), les sacrements (baptême, mariage, obsèques), thèmes spirituels (unité, création, etc.).