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Les éditions esse
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Brisant les divisions sédimentées entre zones rurales et zones urbaines, ce numéro fait place aux imaginaires agricoles et aux relations entre les humains et la terre qui nous mettent au défi de repenser notre compréhension de l'agriculture, sa relation aux différentes histoires de la colonisation, l'avenir de l'agroécologie, ainsi que notre parenté à la terre elle-même.
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Esse n 102 : (re)voir la peinture - juin 2021
Collectif
- Les éditions esse
- 28 Juin 2021
- 9782924345405
Le dossier du numéro printemps-été de la revue Esse consacré à la peinture s'inscrit dans une tentative de susciter des analyses critiques de la pratique picturale. Tout en offrant une sélection qui témoigne de la pluralité des approches esthétiques et conceptuelles de cette forme artistique, (Re)voir la peinture propose des réflexions sur différentes stratégies déployées dans les pratiques ou dans les réseaux de diffusion de l'art. Si la recherche picturale est toujours centrale à l'univers des peintres, plusieurs utilisent leurs oeuvres comme de puissants outils d'émancipation ou de revendication, ou encore comme un moyen de poser un regard critique sur la société. Le numéro propose aussi des portfolios des artistes Maude Maris, Cinga Samson, Marigold Santos, Alexandre Pépin, Niap, Antonietta Grassi, Cindy Ji Hye Kim et Cindy Phenix. (source : Esse)
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Esse n°103 : Sportification - Septembre 2021
Collectif
- Les éditions esse
- 12 Octobre 2021
- 9782924345436
Les relations entre le sport et l''art contemporain sont multiples et variées. Comment s'y prennent les artistes pour saisir les enjeux et les connotations du sport et montrer les dessous de ce qu'on présente souvent comme un univers apolitique ? Le dossier Sportification du numéro d'automne de la revue Esse fouille de manière extensive la question du sport en tant que phénomène esthétique, sociopolitique, culturel et social étroitement lié aux arts visuels et aux arts de la performance. Hors du dossier thématique, lisez l'article lauréat de la plus récente édition du Concours Jeunes critiques Oliver Beer's Sound Projects: Exploring the Acousmatic Possibilities of Visual Spaces par Jasmine Sihra, un tête-à-tête avec Irene F. Whittome et une incursion dans l'atelier de Thea Yabut. (source : Esse)
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L'édition hivernale de la revue Esse s'intéresse aux collectifs. Le dossier se penche sur la problématisation, par le travail collaboratif, des rapports de pouvoir au sein des établissements et des regroupements du milieu des arts, et à son effet sur l'implantation de structures moins hiérarchiques. Devant l'urgence d'agir, dans un monde où l'état d'exception est devenu permanent, des laboratoires d'action sociale, des regroupements de recherche interdisciplinaires et des forums internationaux de discussion se créent au seuil du champ de l'art. En quête de formes alternatives « d'être ensemble », ces nouveaux collectifs ravivent les préoccupations de plusieurs décennies de création en commun. Le numéro propose aussi des portfolios de Nicolas Fleming, Darren Rigo et Waar Ward, projets hybris, BUSH Gallery, Synthetic Collective et ruangrupa, ainsi qu'un tête-à-tête avec Angela Grauerholz et une incursion dans l'atelier d'Hugo Bergeron. (source : Esse)
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Cette édition de la revue Esse propose un dossier « Nouveau nouvel âge » qui se penche sur le retour de l'occulte en art, lequel se remarque dans la réappropriation de l'ésotérisme. Les oeuvres résultent d'une approche bienveillante et holistique, et sont mues par un désir de justice autant écologique que sociale. Le dossier s'intéresse à ce qu'il y a de lumineux et de performatif dans cette philosophie et ses rituels. Retrouvez-y un entretien avec Chrysanne Stathacos et des essais autour de la pratique artistique de Julian Yi-Zhong Hou, Zadie Xa, Amanda Amour-Lynx, James Gardner, Alana Bartol, Jamie Ross et Fabrice Samyn, entre autres. Aussi au sommaire, des portfolios de Betye Saar, Bianca Bondi, Shanie Tomassini, GaHee Park, Christina Battle et Maggie Groat, un tour dans l'atelier de Kuh Del Rosario, un tête-à-tête entre David Elliott et Nicola Grenier, ainsi que plusieurs comptes-rendus d'exposition.
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L'art, par sa nécessité de s'ouvrir au monde, est particulièrement affecté par les enjeux planétaires des déplacements. À la croisée de l'art contemporain, du loisir, de l'écologie et de toute la culture de destination, ce numéro observe les stratégies déployées par les artistes et la pensée critique afin de revisiter la notion même de tourisme. Bien que l'impact néfaste de l'industrie touristique soit indéniable, il y a dans ce dossier une tentative de ne pas sombrer dans la tourismophobie en ne pointant que ses failles. Esse no. 111 propose plutôt un tour guidé de situations et de lieux où l'art et le tourisme se rencontrent.
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Esse arts + opinions Tome 81
Collectif
- Les éditions esse
- esse arts + opinions
- 2 Juin 2014
- 9782924345047
Pour souligner son 30ième anniversaire, esse a délaissé l'habituel dossier thématique pour donner carte blanche à quelques auteurs invités à poser un regard sur des oeuvres ou des pratiques qui ont particulièrement retenu leur attention au 21e siècle. Se distinguant toutefois d'un palmarès des meilleures oeuvres de la dernière décennie, l'ensemble des textes permet plutôt de constater à quel point les voix et les formes d'écriture sur l'art sont aujourd'hui plurielles, à l'instar des pratiques dont elles soulignent la pertinence. Ce numéro propose donc un portrait éclaté de l'art et de la critique d'art qui se pratiquent en 2014, une aventure en images et en mots, un bref mais palpitant voyage dans l'univers d'une douzaine de commissaires.
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Esse arts + opinions Tome 78
Collectif
- Les éditions esse
- esse arts + opinions
- 28 Novembre 2013
- 9782924345016
Ce n'est pas d'hier que la danse et les arts visuels se côtoient sur des terrains communs ou composent, par différents métissages, des oeuvres transdisciplinaires faisant appel à leurs champs de compétences respectifs. Aujourd'hui encore, le foisonnement des collaborations interdisciplinaires fait état d'un intérêt renouvelé pour les pratiques hybrides. Dans ces oeuvres, du moins celles qui nous intéressent ici, il ne s'agit pas simplement de traverser, voire d'investir l'espace d'accueil propre à chacun en présen¬tant des chorégraphies dans des musées ou en utilisant des oeuvres d'art comme éléments de décor d'une oeuvre scénique. Il est plutôt question, pour les artistes, danseurs et chorégraphes, de réfléchir aux différentes formes de collaboration qui leur permettent de mener leurs pratiques vers d'autres horizons. C'est dans cette optique que nous avons voulu aborder le présent dossier, en observant la danse contemporaine et ses rencontres avec les arts, avec la performance, de même qu'avec le théâtre, le cirque et le cabaret.
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Esse arts + opinions Tome 77
Collectif
- Les éditions esse
- esse arts + opinions
- 28 Novembre 2013
- 9782924345023
Le dossier Indignation se veut d'abord l'écho des bouleversements sociaux et politiques qui ont pris forme depuis 2011 et que rien, d'ailleurs, ne semble vouloir essouffler. Dans ce contexte comment les artistes s'indignent-ils ? Si certains d'entre eux décident, de façon ponctuelle ou récurrente, d'exprimer leur indignation par le truchement de l'art, d'autres choisissent surtout l'action politique et prennent part aux manifestations populaires. Ce numéro s'attarde aux différents motifs d'indignation et aux stratégies employées par les artistes et les citoyens pour signifier leur mécontentement. La seconde partie du numéro présente plusieurs comptes rendus d'expositions et événements présentés sur la scène internationale.
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Revue esse Tome 84 ; printemps-été 2015
Collectif
- Les éditions esse
- esse arts + opinions
- 11 Mai 2015
- 9782924345078
Au cours des dernières décennies, de nombreuses pratiques artistiques ont repensé le rapport entre l'oeuvre et l'exposition en travaillant celle-ci comme un médium ou comme un dispositif. Il en résulte une multiplication des façons de gérer ou de s'approprier l'espace muséal, par l'exploration de nouveaux formats ou de nouvelles modalités. Libérée de la simple monstration, l'exposition est devenue une oeuvre en soi. Ce numéro s'intéresse donc particulièrement aux artistes et aux commissaires qui oeuvrent en commun pour repousser les limites de l'exposition et offrir aux spectateurs une tout autre expérience. En complément du dossier, esse publie un spécial Québec à la Biennale de Venise (BGL, Jean-Pierre Aubé, Simon Bilodeau et Guillaume Lachapelle) et à la Biennale de La Havane (Stéphane Gilot).
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Ce centième numéro de la revue Esse explore le thème de la futurité qui offre de nouvelles avenues pour penser une suite du monde plus positive hors des schèmes traditionnels de l'utopisme critique. Alors que selon notre façon chronologique de concevoir le temps, le passé influencerait le présent et ce dernier agirait sur le futur, la futurité propose que le futur que nous anticipons détermine nos actions présentes. Ainsi l'avenir que nous nous figurons agirait directement sur le présent en modelant ces actions. La notion de futurité peut également se comprendre comme une forme de réparation inscrite dans une perspective décoloniale. Les pratiques comme l'afrofuturisme et le futurisme autochtone, qui ciblent particulièrement ces enjeux, sont un point central des réflexions sur la futurité. Découvrez également des oeuvres sortant des cadres temporels, combinant savoir traditionnel et technologie, mythes ancestraux et fiction spéculative, des oeuvres résolument critiques et engagées dans l'à-venir. (source : Esse)
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Les collaborateurs du numéro printemps-été d'esse, se sont penchés sur la pratique de l'esquisse. Les formes multiples réunies sous le terme d'esquisse ont en commun une fonction préparatoire et, par conséquent, un statut d'inachèvement. Ainsi l'esquisse ouvre sur un large éventail de stratégies et suscite de nouvelles recherches sur la matérialité, la temporalité et la spatialité de l'oeuvre. Pour ce faire, elle emprunte encore la voie traditionnelle du dessin, de la peinture et de la sculpture, mais aussi, parfois, celle des nouvelles technologies, autant qu'elle fait référence à l'ébauche d'un mouvement ou à l'attitude brève. À l'image du foisonnement des possibilités, ce dossier se détourne volontairement d'une approche essentiellement disciplinaire du dessin pour s'attarder plutôt à l'intention créatrice logée dans l'esquisse et aux fluctuations de ses aboutissements.
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Pour son numéro automnal, la revue esse s'est intéressée au travail. Comment les artistes s'emparent-ils du geste laborieux ? Sont-ils aussi aliénés que les travailleurs du capitalisme ou peuvent-ils plutôt être des modèles pour imaginer une vie moins axée sur le travail ? Ce dossier propose de réfléchir sur le temps ouvré et le travail improductif, les mécanismes du pouvoir bureaucratique, la servitude volontaire ou l'autoexploitation des artistes, en abordant de façon sensible et engagée les tensions que ces enjeux soulèvent, que ce soit par rapport aux dynamiques de pouvoir, aux iniquités dans les conditions de travail ou au recours à une main-d'oeuvre non-salariée. Le numéro rend également compte de pratiques d'artistes jetant la lumière sur la situation des autres travailleurs et travailleuses, leurs conditions salariales, leurs gestes routiniers, leur expérience physique ou psychique, de même que les matériaux qui accompagnent leur labeur.
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Esse n 95 empathie / empathy - janvier 2019
Collectif
- Les éditions esse
- 27 Février 2019
- 9782924345245
Devant les troubles que connait le 21e siècle, le fait de cultiver l'empathie, cette capacité à éprouver les sentiments et les émotions d'autrui apparait comme un potentiel antidote à l'individualisme exacerbé et aux sirènes du repli sur soi identitaire. Mais est-ce que l'empathie peut réellement changer le monde ? Le dossier du numéro d'hiver de la revue esse se penche sur la place de l'empathie dans la création contemporaine et tente de vérifier si l'art peut contribuer à tisser des ponts sensibles entre des personnes géographiquement, socialement et culturellement éloignées, dont les expériences divergent. La rubrique « Portfolio » présente, elle, le travail de Sylvie Cotton, Yann Pocreau, Maryse Goudreau et Duke & Battersby. Le numéro est complété par une large sélection de comptes rendus d'expositions récentes
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Le numéro printemps-été de la revue esse s'articule autour de la thématique du conflit. Quelles formes de discours émergent des pratiques artistiques et des oeuvres qui traitent des conflits ? Existe-t-il une posture narrative propre aux oeuvres et aux expositions qui s'engagent dans le récit, la critique ou l'analyse des conflits ? Par extension, puisque ceux-ci ne se résument pas aux guerres, comment l'artiste et le commissaire s'inscrivent-ils en témoins des conflits sociaux, des luttes et des inégalités issues du racisme et du colonialisme ? Ce sont quelques questions auxquelles ce numéro propose de réfléchir. En plus du dossier principal, retrouvez au sommaire plusieurs comptes-rendus d'expositions récentes, un article sur I Don't Get It d'Aleesa Cohene et un sur le travail posthumaniste de Carolee Schneemann. Mis en lumière dans la rubrique Portfolio, découvrez les oeuvres de Martin Bureau, Gohar Dashti, Emily Jacir, Hajra Waheed et Michael Love.
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Pour son numéro hivernal, la revue esse art + opinions propose un numéro sur le savoir. « Comment l'art réinvente-t-il la science, la recherche, l'éducation et leurs institutions ? Quel genre de savoir produit l'artiste ? Quel est le rôle des commissaires d'expositions face à la nécessité de retrouver des espaces de partage de connaissances dans nos démocraties affaiblies ? Comment le musée se positionne-t-il comme lieu de savoir au moment où l'université est de plus en plus soumise aux impératifs de rentabilité économique et le financement privé ? » Les collaborateurs et collaboratrices tentent de répondre à ces questions en proposant des textes qui problématisent les rapports entre art et savoir dans les pratiques artistiques et commissariales contemporaines. Retrouvez-y aussi des portfolios des artistes Hannah Jickling & Helen Reed, Cindy Mochizuki, Caroline Boileau et Pam Hall, ainsi que de nombreux comptes rendus d'exposition et de publications récentes.
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Nombre d'artistes ont recours aux plantes à la fois comme motif, comme matière, comme objet relationnel ou encore comme mode de résistance politique. Plus que jamais interdisciplinaire, ce dossier de la revue esse puise ses références dans les domaines de la science, de l'anthropologie ou de la botanique. Inévitablement, les préoccupations environnementales et l'impact de l'intervention humaine sur la biodiversité végétale y occupent une place importante, tandis que les oeuvres suggèrent différentes façons d'entrer en communication avec la nature. Généralement invitées pour ce qu'elles sont, mais aussi parfois pour les métaphores qu'elles suscitent, les plantes qui apparaissent dans ces pages évoquent parfois l'exploitation et la domination humaine, ou encore l'effondrement des écosystèmes - mais parfois aussi, de façon plus optimiste, la résistance, la solidarité, la collaboration et l'espoir d'un renouveau. En plus du dossier, découvrez des portfolios de Carrie Allison, Lorna Bauer, Benny Nemerofsky Ramsay, Eve Tagny et Laura St. Pierre. (source : Esse )
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Pour son édition hivernale, la revue Esse s'intéresse aux nouveaux matérialismes. En mettant en avant l'expressivité de la matière, son dynamisme et son agentivité, les théories néomatérialistes se distinguent de la philosophie matérialiste classique, qui tend à percevoir la matière comme étant essentiellement passive et inerte. Ce dossier réfléchit à la reconfiguration de la matière à l'aune de pratiques sociales, politiques, artistiques et scientifiques qui ne sont plus enfermées dans le spectre humain, mais relèvent de la « vie » tout entière, y compris le « non-vivant». Le numéro présente aussi des portfolios des artistes Eugene Park, WhiteFeather Hunter, Maude Bernier Chabot, Susan Schuppli et Stanley Février et des comptes rendus d'expositions vues en présentiel et en virtuel. (source : Esse)
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Principal fondement de l'organisation sociale et premier lieu de socialisation, la famille bénéficie d'une attention particulière dans les arts visuels depuis le début de l'histoire de l'art. Alors que l'art contemporain semble bien engagé dans une mise en examen des pratiques culturelles, la famille est réinvestie sous toutes ses formes. Nombre de pratiques actuelles revisitent ses traditions, ses lieux et ses tabous, interrogent ce qu'elle a d'indicible et inventent à partir d'archives et d'expériences biographiques, de nouvelles formes intimes de sociabilité. Ce numéro réfléchit aux histoires de famille telles qu'elles sont réécrites en art actuel. Au sommaire de ce numéro de la revue Esse, trouvez aussi des portfolios des artistes Rachel Echenberg, Delvin Lugo, Zinnia Naqvi et Clare Samuel, ainsi qu'une visite de l'atelier de Sara A.Tremblay et un tête-à-tête entre l'artiste Gilbert Boyer, son fils, une poète et un historien de l'art.