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Eric Maria
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Les apprentis méritants ; le pays du sens droit
Eric Maria
- Les Presses Littéraires
- 1 Décembre 2017
- 9791031004242
Six Apprentis-Méritants... Shaïtan et ses armées...
Une aventure fantastique débute...
Le Pays du sens droit est une formidable saga qui s'annonce, ouvrant les verrous des mondes parallèles, des mondes singuliers, intimement liés par des cycles immémoriaux.
Les Apprentis-Méritants, premier volet de cette épopée, donne les clés du cycle des réincarnations sur Terre et l'admission des justifiés dans un monde nouveau : l'Entre-monde.
Pris en main dès leur arrivée par des maîtres initiateurs, Kémal, Tikenou, Galib et les autres sont contraints à quitter Salsabil, ville céleste du Grand Juge, et vont devoir se rendre chez les Envoyés pour suivre leur enseignement. Sans qu'ils le sachent véritablement, ils sont les garants du cycle des Existences et de surcroit de l'équilibre des trois mondes. Ils se lancent tous les six dans un voyage périlleux, guidés par des cavaliers Scythes et protégés par leur Ika et la Robe de Buraq.
Shaïtan est alors mandaté par son père Lucifer et se doit d'anéantir les Apprentis pour mettre un terme à la marche des Mondes, le libérant de la Matière dans laquelle il est prisonnier dans tout le Cosmos et particulièrement sur la planète Terre... -
« Durant quarante cinq années, j'ai servi ce journal du mieux que je le pus et maintenant que je suis sur le point de le quitter pour enfin vivre une retraite méritée, je suis triste et apaisé à la fois. Triste de ne plus faire partie d'un dynamisme exaltant et apaisé d'avoir laissé mon empreinte principalement dans cette chronique que j'animais et qui me tenait tant à coeur.
« Entre terroir et ruralité » était un espace de liberté qui me fut octroyé dès mes premiers pas dans le métier. Mon rédacteur de l'époque, pourtant parisien jusqu'aux bout des ongles, avait compris et encouragé toutes les initiatives journalistiques qui mettaient en avant le monde de la ruralité, les singularités des terroirs, les histoires du pays, la vie dans toute sa simplicité.
C'est pendant le discours de mon pot de départ que mon rédacteur me mit la puce à l'oreille quant à mes futures activités. Elogieusement, il retraça ma longue carrière dans les murs de « l'Indépendant », insistant sur la qualité de ma plume, la pertinence de mes reportages et cette « respectueuse élégance » que je mettais en avant pour me rapprocher de l'essence même du journalisme, à savoir la vie des femmes et des hommes de cette région.
Accusant cette nouvelle vie qui commençait pour moi, je me décidai alors à reprendre mes enquêtes, mes reportages, à puiser dans ce vivier d'informations que j'avais accumulé pendant ma carrière et à laisser libre cours à mon imagination ; pour que le romanesque s'imprègne des articles que j'avais écris bien des années auparavant et puisse vous offrir aujourd'hui les chroniques ci-dessous et celles à venir d'Archibald Pioc votre serviteur... » -
Depuis la mort de sa mère, Eric-Jean se sent délivré, étrangement libre. Il chasse alors le passé, s'inquiète du futur et vibre dans le présent.
Il veut désormais prendre la vie qui s'offre à lui de manière totale, sans renoncement. Il se sent happé par une soudaine liberté qui le déconcerte et qui éveille au plus haut point sa personnalité encore troublée par un passé douteux et obscur.
Plongé dans cette fébrilité existentielle et atteint d'une épilepsie prononcée, il fait la rencontre d'une jeune femme, étrangement séduisante, intelligente, qui devient la trame de sa réalité et qui se fait appeler Hédona.
Elle va très vite le sortir de sa vie morose, monotone et le faire pénétrer dans un monde dangereux, pernicieux, qu'il est loin d'imaginer.
De Madrid à l'île de Gozo, en passant par Moscou et Perpignan, Eric-jean va suivre par amour cette femme, prise dans l'étau d'un odieux chantage qui ne lui laisse que peu de choix... -
Une histoire à la con ou le devoir d'être
Eric Maria
- Les Presses Littéraires
- 1 Juin 2020
- 9791031010014
L'espoir suffit-il à guérir du désespoir ?
Jean est un retraité dépité, vivant seul, ne trouvant plus sa place dans la société. Il porte sur le monde un regard sévère, désillusionné. Il prend conscience de ce qu'a été sa vie et pense qu'il s'est oublié, que des pans entiers de son existence ont été mis aux oubliettes. Il décide de changer d'air et part au Maroc pour retrouver son vieil ami, Saïd...
Leïla est une femme d'une quarantaine d'années, d'origine marocaine, veuve et ayant une fille. Elle n'a plus de famille, peu d'amis et vit un drame personnel.
Elle est atteinte d'un cancer du foie, apprend qu'il ne lui reste que deux ou trois mois à vivre, est transcendée par l'amour qu'elle porte à sa fille.
Elle accepte cependant une proposition insensée, celle de faire un go-slow entre le Maroc et la France, moyennant un gros pécule qu'elle veut laisser à sa fille, avant de mourir.
La rencontre a lieu. Entre le désespoir d'une vie mal remplie, celle de cet homme, jeune retraité, et l'immense espoir de cette femme qui s'accroche à la vie coûte que coûte.
S'ensuit un road-movie, un périple entre le Maroc et la France où nos personnages vont être confrontés à des dangers, à leur rapprochement, à leurs sentiments.
Y parviendront-ils ? -
Luigi Zingales - Une vision partenariale, politique et sociale de la gouvernance
Maria Claudia Angel Ferrero, Veronique Bessiere, Eric Stephany
- Éditions EMS
- 16 Juillet 2018
- 9782376872016
Le point de départ des travaux de recherche de Zingales se situe dans le domaine de la gouvernance des entreprises, à travers sa thèse intitulée The Value of Corporate Control soutenue en 1992, sous la direction de James M. Poterba et Oliver Hart au MIT. Ses premiers travaux reçoivent rapidement une attention considérable avec trois articles majeurs, en relation avec le thème de sa thèse, publiés dans trois revues académiques de tout premier plan (Zingales, 1994, 1995a, 1995b). Tout en continuant à contribuer significativement au domaine de la gouvernance d'entreprise, Luigi Zingales a très rapidement franchi les limites de ce seul champ de recherche. En finance d'entreprise, il a revisité des questions très débattues notamment la structure financière et les contraintes financières des firmes, le rôle du financement dans la croissance, la décision d'introduction en bourse... Ses centres d'intérêt sont nombreux et variés, il suffit de parcourir le titre de ses publications pour apprécier cette grande diversité thématique, qui s'appuie sur des coauteurs multiples (par exemple, sur le rôle de la culture, de la religion, du genre, des médias...). Il est sans doute l'un des professeurs de finance les plus éclectiques, tout en proposant une réflexion riche. Il a également développé une réflexion politique sur le rôle des institutions et les évolutions du capitalisme, qu'il a ensuite déployée hors du seul cercle académique à travers la publication d'ouvrages et d'articles dans la presse économique. Cette publication propose deux éclairages sur ses travaux, dans deux domaines où Zingales a apporté une pensée novatrice, tout en s'inscrivant pour l'essentiel dans le paradigme contractuel : le premier synthétise ses apports à la compréhension de la gouvernance d'entreprise et à la résolution de plusieurs questions de finance d'entreprise, le second présente ses réflexions sur le système financier et le capitalisme.
