Sarmad est un ancien militant communiste exilé à Londres où il gagne sa vie comme traducteur. Il est toujours amoureux d'Alef, restée à Bagdad, et qui a été contrainte de se marier avec le frère de Sarmad, Mohannad, haut responsable des services de sécurité du parti au pouvoir. Le temps passe, et un jour, il constate, ahuri, en se réveillant, que son sexe a rétréci jusqu'à disparaître - lui, le machiste qui était naguère si fier de sa virilité et de ses innombrables conquêtes féminines.
Bachar al-Assad à son père :Tu as massacre 20 000 personnes a Hama ? Moi, c'est beaucoup plus, beaucoup beaucoup plus, on compte les morts par centaines de milliers. Je ne te cache pas que j'ai ete aide par toutes sortes d'amis, les Iraniens et les Russes en particulier...
La France n'a cessé au XXe siècle d'être confrontée à la question de Palestine. Puissance impériale, son rôle fut loin d'être négligeable dans la genèse du conflit israélo-arabe. Ramenée aux dimensions d'une puissance moyenne, elle n'en a pas moins continué de peser sur l'évolution de ce conflit, parfois de manière décisive. Itinéraires de Paris à Jérusalem décrit les séquences successives de cette politique depuis la Première Guerre mondiale jusqu'à la crise du Golfe. Écrit par deux historiens arabes, il en retrace les métamorphoses et cherche à en retrouver les constantes. Il s'efforce, à chaque fois, de la situer dans son contexte régional et international, mais aussi d'en préciser les enjeux sur la scène intérieure française et d'éclairer les motivations idéologiques de ceux qui ont eu à la conduire ou à l'influencer. Qu'il s'agisse du Quai d'Orsay ou des partis politiques, des élites intellectuelles ou des institutions juives, tous les acteurs qui se sont trouvés directement ou indirectement concernés par la question de Palestine sont pris en considération. S'appuyant sur une vaste documentation, Samir Kassir et Farouk Mardam-Bey analysent les automatismes de pensée qui ont déterminé la perception du sionisme en France. Ils dissèquent l'alliance franco israélienne des années cinquante, faisant le point des connaissances actuelles sur l'affaire de Suez, et montrent comment la France a pris la terrible responsabilité de doter Israël de l'arme nucléaire. La politique arabe du général de Gaulle et de Georges Pompidou, tant contestée par les faiseurs d'opinion, fait ensuite l'objet d'un exposé détaillé et nuancé qui souligne en même temps ses aspects novateurs et ses limites. Le livre se termine par une étude de l'action entreprise par Valéry Giscard d'Estaing, puis par François Mitterrand, où l'accent est mis sur les glissements qui ont amené ce dernier, avec le soutien de la quasi-totalité de la classe politique, à s'aligner sur les États-Unis dans la guerre du Golfe.
La France n'a cessé au XXe siècle d'être confrontée à la question de Palestine. Puissance impériale, son rôle fut loin d'être négligeable dans la genèse du conflit israélo-arabe. Ramenée aux dimensions d'une puissance moyenne, elle n'en a pas moins continué de peser sur l'évolution de ce conflit, parfois de manière décisive. Itinéraires de Paris à Jérusalem décrit les séquences successives de cette politique depuis la Première Guerre mondiale jusqu'à la crise du Golfe. Écrit par deux historiens arabes, il en retrace les métamorphoses et cherche à en retrouver les constantes. Il s'efforce, à chaque fois, de la situer dans son contexte régional et international, mais aussi d'en préciser les enjeux sur la scène intérieure française et d'éclairer les motivations idéologiques de ceux qui ont eu à la conduire ou à l'influencer. Qu'il s'agisse du Quai d'Orsay ou des partis politiques, des élites intellectuelles ou des institutions juives, tous les acteurs qui se sont trouvés directement ou indirectement concernés par la question de Palestine sont pris en considération. S'appuyant sur une vaste documentation, Samir Kassir et Farouk Mardam-Bey analysent les automatismes de pensée qui ont déterminé la perception du sionisme en France. Ils dissèquent l'alliance franco israélienne des années cinquante, faisant le point des connaissances actuelles sur l'affaire de Suez, et montrent comment la France a pris la terrible responsabilité de doter Israël de l'arme nucléaire. La politique arabe du général de Gaulle et de Georges Pompidou, tant contestée par les faiseurs d'opinion, fait ensuite l'objet d'un exposé détaillé et nuancé qui souligne en même temps ses aspects novateurs et ses limites. Le livre se termine par une étude de l'action entreprise par Valéry Giscard d'Estaing, puis par François Mitterrand, où l'accent est mis sur les glissements qui ont amené ce dernier, avec le soutien de la quasi-totalité de la classe politique, à s'aligner sur les États-Unis dans la guerre du Golfe.