Près d'un enfant sur cinq manifeste à l'égard des mathématiques un sentiment qui va d'une légère anxiété à la phobie. Désamorcer ces craintes passe par une meilleure compréhension de la façon dont chacun apprend à manier les nombres et acquiert des raisonnements mathématiques. Les savoirs et les savoir-faire mathématiques chez l'enfant comme chez l'adulte font ainsi l'objet, depuis une vingtaine d'années, d'une attention particulière en psychologie cognitive et en neuropsychologie. Ces recherches nous font découvrir les mécanismes que nous mettons tous en oeuvre lorsque nous affrontons des situations mathématiques. En s'appuyant sur les résultats les plus récents et grâce au récit des expériences menées auprès des enfants, Michel Fayol nous invite à repenser la manière d'aborder la pédagogie du nombre.
Si les enfants apprennent à parler par simple immersion dans leur langue, il n'en va pas de même pour la maîtrise de l'écrit : lire, écrire, comprendre ou encore rédiger un texte sont autant d'activités qui ne s'acquièrent que par un long apprentissage. Car l'expression à l'écrit demande des savoirs spécifiques : savoir former rapidement et efficacement des signes graphiques complexes à reproduire ; disposer du vocabulaire nécessaire à l'exposition de son message, contrôler son orthographe, formaliser son discours en l'absence de retour immédiat d'un interlocuteur, prévoir l'enchaînement linéaire des idées, etc. Michel Fayol présente et analyse les principales étapes et difficultés rencontrées lors de l'acquisition du langage écrit. En exposant les résultats d'expériences menées auprès des enfants, il ouvre la voie à un meilleur accompagnement de cet apprentissage si essentiel.
Depuis Rabelais, on sait qu'il ne sert à rien de savoir l'alphabet comme Gargantua, au point de pouvoir le réciter à l'envers. Encore faut-il savoir apprendre. Dans L'Acquisition du langage, Michèle Kail a décortiqué la façon dont l'enfant apprend sa langue maternelle. Dans L'Acquisition de l'écrit, Michel Fayol propose quant à lui quelques méthodes pour mieux accompagner l'apprentissage indispensable de l'écriture et, dans L'Acquisition du nombre, désamorce les craintes et les phobies que peuvent susciter les nombres et les raisonnements mathématiques. Enfin, dans L'Acquisition de plusieurs langues, Michèle Kail explique pourquoi la pratique régulière d'au moins deux langues accroît la flexibilité cognitive, et comment il est possible de parvenir à cette maîtrise. À l'heure où les outils et les méthodes pour apprendre ont intégré le nouveau socle commun, cette somme réunit quatre ouvrages indispensables pour tous ceux, parents, enseignants ou autodidactes, qui veulent apprendre à apprendre, pour comprendre.
Les élèves l'apprennent souvent douloureusement : l'orthographe du français est l'une des plus complexe au monde. L'apprentissage des règles ne suffit absolument pas à assurer la maîtrise de la langue écrite tant les particularités sont nombreuses. Peut-être faut-il commencer par comprendre l'origine de ces difficultés. Quantité d'études ont, depuis quelques décennies, en France comme dans le monde anglo-saxon, permis de mieux cerner le fonctionnement de la langue ainsi que les spécificités de son acquisition. C'est en dressant le panorama de ces connaissances sur l'orthographe elle-même et sur les questions que posent son apprentissage qu'il devient possible d'améliorer les performances de chacun.Cet ouvrage, en croisant les apports de la linguistique et de la psychologie cognitive, propose une synthèse des connaissances actuelles sur l'orthographe et sa formation mais aussi sur ce qui, dans la manière de la transmettre, peut en faciliter l'acquisition.
Mondialisées et heureusesde l'être, trop de nos élites ont perdu le sens de l'intérêt national. Hommes politiques, hauts fonctionnaires, espions ou chefs d'entreprise se sont reconvertis dans la défense d'intérêts étrangers. Quitte pour certains à soutenir des positions antagonistes à celles de la France. États-Unis, Chine, Russie, Émirats du Golfe ou anciennes colonies : les puissances étrangères recrutent en masse au sein de l'intelligentsia française pour gagner du terrain dans les luttes de pouvoir et d'influence.
Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin, Dominique Strauss-Kahn, Bernard Kouchner recyclent leur carnet d'adresses et le prestige acquis dans leurs fonctions. D'anciens hauts fonctionnaires deviennent lobbyistes pour Apple, Amazon, Huawei, General Electric ou pour des fonds activistes qui déstabilisent notre économie. Naïveté coupable ou compromission ? Une partie de nos élites a en tout cas oublié la devise qui donnait sa raison d'être à l'ENA : " Servir sans s'asservir. " Fondée sur de nombreux témoignages et documents exclusifs, cette enquête implacable apporte un éclairage inédit sur les guerres de l'ombre qui se jouent loin des yeux du grand public.
Immersion dans le système France InsoumiseJean-Luc Mélenchon est l'autre gagnant de la présidentielle 2017. Fort de ses sept millions de voix, il se positionne comme l'opposant numéro 1 à Emmanuel Macron, avec en ligne de mire
un second tour inédit en 2022. Mais comment ce pur produit de la vie politique dans laquelle il
évolue depuis quarante ans, républicain convaincu et franc-maçon, est-il parvenu à s'imposer
comme l'homme du renouveau, de la vertu et l'ambassadeur de l'antisystème ?
Dans cette minutieuse enquête, Mélanie Delattre et Clément Fayol nous emmènent au coeur de
la nébuleuse France insoumise, tout jeune mouvement qui se veut populaire et innovant mais se
révèle gangrené par les mêmes travers que ceux qu'il vilipende : une organisation verrouillée
par un chef omnipotent et ses fidèles lieutenants, d'habiles optimisations de campagne, d'encombrants protégés et de vieux réseaux qui se mêlent à une jeune garde maîtrisant sur le
bout des doigts les codes du marketing et de la communication politique.
S'il peut compter sur une armée de militants séduits par le discours de leur leader charismatique,
Jean-Luc Mélenchon s'appuie avant tout sur une poignée d'alliés de longue date, cooptés pour conquérir le pouvoir et pour qu'advienne la " révolution populaire ". Aujourd'hui, leur objectif
est clair : prendre l'Élysée.
Un éclairage inédit sur le monde très fermé des insoumis, ses finances, ses lieutenants et son incontournable chef de file, presque aussi insaisissable que son hologramme.
Une enquête inédite au coeur de la nébuleuse nommée Daech...
Un cartel nommé Daech est une enquête minutieuse sur le fonctionnement opérationnel de l'État islamique. Par le récit inédit d'opérations de commandos, les portraits exclusifs de fidèles de l'organisation chargés d'opérations de contrebande de pétrole ou d'objets d'art pillés, ce livre montre comment Daech s'enracine au-delà de ses enclaves territoriales. En s'arrêtant sur des noms et profils d'agents clandestins, trafiquants de drogues, d'armes ou de personnes qui sont recherchés par les services secrets du monde entier, le livre s'attache à décrypter des faits jamais révélés.
Les hommes du drapeau noir ont organisé une industrie du crime au service d'objectifs idéologiques. Des pratiques criminelles alliées à une stratégie plus extrême et plus tentaculaire que ses prédécesseurs djihadistes d'al-Qaeda. Avec un recrutement de masse et des institutions hiérarchisées, l'organisation a professionnalisé le terrorisme international. Une menace née de la rencontre entre des groupes djihadistes criminels, des services secrets de dictatures arabes déchues, des petits délinquants de banlieues et de l'Internet. Une créature mutante qui ne peut être détruite par des bombes. Un défi d'un tout nouveau genre pour les services de sécurité occidentaux.
Cette enquête sur les méthodes et les objectifs de l'État Islamique s'appuie sur des documents inédits de l'EI, des témoignages de ses membres, des archives secrètes américaines ainsi que les fiches intégrales des renseignements libyens sur le djihadisme. Un décodage de la stratégie de la nébuleuse islamiste pour comprendre comment le groupe s'est assuré de survivre à la perte des territoires conquis et esquisser des solutions pour lutter contre une organisation en perpétuelle mutation.
La didactique de philosophie, comparativement aux didactiques des autres disciplines, ne doit pas être un ensemble tout fait de méthodes d'enseignement de la philosophie. Au contraire, elle se doit d'être une interrogation permanente sur deux aspects : comment enseigner la philosophie et quelles sont les difficultés rencontrées lors de l'enseignement de la philosophie ? En d'autres termes, la didactique de philosophie se veut interrogative aussi bien sur les méthodes d'enseignement de la science philosophique et les problèmes relatifs.
Adolf42 a écrit : MDR @Stalineapoil !!! Churchill a trop kiffé ton post sur Trotsky :) Trop le swag ! À l'heure où les maîtres du monde s'alpaguent sur Twitter, qu'une épouse de président se fait financer un site indigent à coups de millions du contribuable, où l'on reproche à Hillary Clinton de s'emmêler les pinceaux entre ses boîtes mails persos ou professionnelles, on n'ose imaginer nos grandes figures des livres d'histoires, nos grands hommes, rompus à l'immédiateté, la précipitation, la concision exubérante cosubstantiel à internet.
Pire, à croiser le fer avec des Julien Assange. La classe surannée d'un De Gaulle, la verve enfl ammée d'un Mussolini mégalo ou les poses christiques d'un Che Guevara sont réduits à 140 caractères espaces compris, un gif à 72 dpi, un like ou encore un post bourré de fautes rédigé par un assistant illettré. C'est l'exercice auquel s'est livré Reuzé... Et ça vaut le détour(nement).
L'intelligence économique est devenue un outil incontournable pour construire les stratégies des organisations. Dans un monde d'hyperconcurrence, les savoir-faire de la veille, de la protection et de l'influence sont indispensables à la compétitivité.
Ce manuel explore les aspects théoriques et les enjeux opérationnels de l'intelligence éoconomique. Le cours est illustré par une dizaine d'études de cas et par de nombreux éclairages techniques.
Cette nouvelle édition prendra en compte les évolutions de la discipline et sera parfaitement à jour des pratiques actuelles.
Un conte nostalgique et émouvant qui vous transporte dans une région peu connue du nord de la Nouvelle-Calédonie. Ce récit qui fait la part belle à la splendeur de la nature évoque également des faits historiques bien plus sombres qui hantent encore les mémoires.
Comment et pourquoi les enfants apprennent-ils à parler ? Pourquoi certains d'entre eux éprouvent-ils des difficultés pour y parvenir alors même que d'autres y réussissent précocément ? Quelles conséquences peut avoir une situation de bilinguisme sur cet apprentissage ? Peut-on acquérir une compétence native dans une nouvelle langue à l'âge adulte ? Quelles sont les difficultés rencontrées plus spécifiquement à l'écrit ? Les chercheurs ne sont pas encore en mesure de répondre de manière précise à toutes ces questions. Pourtant, les deux dernières décennies ont vu se préciser un grand nombre de réponses ou d'éléments de réponse. Cet ouvrage propose un large aperçu des avancées obtenues, à l'interface de plusieurs disciplines des sciences cognitives, concernant l'acquisition de la langue maternelle, le bilinguisme et l'acquisition des langues secondes, l'apprentissage de l'écrit et les troubles du langage, oral ou écrit. Cet ouvrage offre au lecteur un vaste panorama des recherches récentes et de leurs résultats, ainsi que des méthodes parfois extrêmement sophistiquées qui permettent de les obtenir. Il présente dans le même temps, les questions qui restent en suspens et que la décennie à venir aura à affronter. Il fournit aux enseignants, aux thérapeutes, aux parents et aux étudiants un ensemble de textes rédigés par quelques-uns des meilleurs spécialistes internationaux de l'acquisition du langage.
Pourquoi et comment relire Henri Fayol aujourd'hui ?
Pour la première fois, cet ouvrage réunit Le Traité et La Notice. Ces deux textes s'éclairent mutuellement et donnent à l'oeuvre de Fayol une actualité inattendue. Le Traité d'Administration industrielle et générale, publié en 1916, dans un Bulletin de la Société de l'Industrie Minérale, puis chez Dunod en 1917, a installé Henri Fayol, comme l'un des précurseurs des sciences de Gestion. La Notice des travaux scientifiques et techniques de M. Henri Fayol, qu'il publie en 1918, a probablement été préparée pour l'Académie des sciences : elle décrit sa carrière ainsi que ses travaux industriels et scientifiques. Sa doctrine administrative y apparaît inséparable du développement des sciences, qui façonne une nouvelle représentation du futur et impose de nouveaux devoirs aux dirigeants. Le croisement de ces deux textes est l'une des voies du renouveau des études fayoliennes.
Les deux textes, enchainés pendant la Guerre et, les deux, fruits d'une expérience murie dans les décennies précédentes, se complètent mutuellement. On connait mieux le Fayol dirigeant en découvrant le Fayol savant et innovateur. On comprend mieux l'originalité de ses concepts administratifs à la lumière de son parcours de dirigeant et de savant. Loin de figer une entreprise ou une administration dans un carcan procédural et bureaucratique - comme on l'a trop souvent cru - les principes fayoliens constituent un moyen privilégié pour affronter un environnement technique et concurrentiel "avec une grande part d'inconnu". Ils instaurent la "prévoyance", le "perfectionnement" - aujourd'hui, la recherche et l'innovation - ainsi que "l'union du personnel" comme des responsabilités majeures du dirigeant. Se dévoile ainsi la modernité du message fayolien, qui s'adresse autant à l'entreprise qu'à l'État : la bonne gestion doit se poser comme objectif de tenir ensemble l'innovation et la responsabilité sociale. Fayol aimait dire "nous réparons le passé et préparons l'avenir".
À l'heure où la loi redéfinit la responsabilité des entreprises, où il faut préparer des transitions difficiles, les Presses des Mines ont voulu par l'édition conjointe du Traité et de la Notice, souligner l'actualité de la théorie administrative fayolienne. Introductions critiques : Armand Hatchuel et Blanche Segrestin : "Relire Fayol, à l'heure de l'entreprise responsable". Marco Bertilorenzi et Jean-Philippe Passaqui : "Entreprise et société : aux origines de l'oeuvre de Fayol".
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Alors qu'il existe un nombre considérable de publications concernant la lecture et son acquisition ou la compréhension du langage, très peu d'ouvrages abordent les problèmes soulevés par la production verbale. Le présent ouvrage cherche à combler partiellement ce manque. Il présente un panorama des méthodes, des données, des orientations issues des principaux courants de recherche traitant de la production verbale, selon une approche de psychologie cognitive. Il s'attache à la production verbale écrite et orale. Il aborde les différents niveaux de cette production : le mot, la phrase, le texte. L'objectif poursuivi est beaucoup plus de fournir une vue d'ensemble du domaine que de défendre une thèse. En conséquence, l'ouvrage se présente d'abord comme un outil de travail destiné aux étudiants avancés, aux enseignants des universités et IUFM, aux formateurs et aux pédagogues avertis.
Le langage est une fonction fondamentale de l'être humain, d'abord actualisée dans la communication orale, puis objet de multiples remaniements à l'écrit. Le développement du langage est un domaine où le débat sur l'inné et l'acquis reste vif. Les connaissances nouvelles sur le développement du cerveau, en relation avec le fonctionnement normal et pathologique, sont ici essentielles. Rendre compte à la fois des acquisitions langagières très précoces et de la plasticité des systèmes qui les supportent est au coeur des modèles théoriques actuels. Ces modèles intègrent les données issues des comparaisons interlangues, interindividuelles et de la pathologie. Marquée par une forte interdisciplinarité, l'étude du développement du langage s'appuie aujourd'hui sur des travaux issus de la linguistique, de la psychologie et de la neuropsychologie, des neurosciences cognitives, de l'intelligence artificielle et des sciences de l'éducation. Réunissant quelques-uns des meilleurs spécialistes du domaine, ce volume est consacré à l'émergence du langage chez le bébé et le jeune enfant : le fonctionnement cérébral et les bases biologiques de l'acquisition du langage (à partir des techniques d'imagerie), la perception et la production de la parole avant deux ans, la constitution du lexique, l'acquisition de la phonologie et le bilinguisme précoce, l'acquisition d'une langue des signes, l'analyse du contexte social interactif et, enfin, les diverses pathologies de l'oral. Cet ouvrage est un outil d'information et de réflexion destiné aux étudiants de 2e et 3e cycles, ainsi qu'aux enseignants et aux chercheurs de psychologie, de linguistique, de sciences de l'éducation et autres disciplines connexes des sciences cognitives. Il s'adresse aussi à tous les professionnels de l'éducation et de la remédiation, ainsi qu'aux étudiants et enseignants des écoles d'orthophonie et des Instituts universitaires de formation des maîtres.
L'introduction est commune aux deux volumesChap. I -- Perspectives sur l'acquisition du langage -- Michèle KailChap. II -- Méthodes d'investigation et démarches heuristiques -- Michèle Kail et Dominique BassanoChap. III -- Bases cérébrales de l'acquisition du langage -- Ghislaine Dehaene-Lambertz, Anne Christophe, Britt Van OoijenChap. IV -- La perception et la production de la parole avant deux ans -- Josiane Bertoncini, Bénédicte de Boysson-BardiesChap. V -- La constitution du lexique, le développement lexical précoce -- Dominique BassanoChap. VI -- Acquisition de la phonologie et bilinguisme précoce -- Ranka Bijeljac-BabicChap. VII -- L'acquisition d'une langue des signes : données empiriques et questions apparentées -- Christiane Lepot-FromentChap. VIII -- Interaction, conversation et acquisition du langage dans les trois premières années -- Edy VenezianoChap. IX -- Les pathologies de l'oral -- Anne Van Hout
L'Action Ecole et Sciences cognitives a été lancée en avril 2000 par le Ministère de la recherche pour faire le point sur les méthodes nouvelles avec pour mission de tisser une nouvelle alliance entre les disciplines concernées par l'étude des processus de développement de l'enfant, les mécanismes de l'apprentissage, les modalités d'acquisition et de transmission des savoirs et les disciplines.Il s'agit de construire les interfaces entre pratiques pédagogiques et recherche fondamentale en sciences cognitives. L'articulation entre la recherche fondamentale sur le développement et les apprentissages et le système éducatif correspond au souci de créer une alliance nouvelle entre des communautés qui n'ont guère l'habitude de dialoguer.