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Jean Dhombres
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Tumeur même pas peur ! : Une victoire pour la vie
Isabelle Dhombres
- Les Impliqués
- Les Impliqués
- 8 Avril 2015
- 9782336375274
« Vous avez une tumeur au cerveau ». Je raccroche. Mon regard bute sur un écran de télévision. Un Boeing 767 n'en finit plus de s'enfoncer dans une tour du World Trade Center à New York. Suivi par un second. « Vous avez une tumeur au cerveau. » Mardi 11 septembre 2001 à 4.00 P.M., l'Amérique et moi sommes dans de beaux draps. Comment affronter la maladie, projetée dans le monde inconnu de l'hôpital ? Ce récit tente de répondre à la question, décapant avec humour toute dérive dans le pathos. Plus le dénuement est total, plus l'attachement à la vie grandit. Toutes les victoires sont bonnes à prendre. Un seul objectif : la guérison.
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Extrait
Le quiétisme est un système mystique ; il est la forme sous laquelle le mysticisme parut au sein de l’Église catholique dans la seconde moitié du 17e siècle. Qu’est-ce donc, avant tout, que le mysticisme ? Nous exposerons nos idées actuelles sur ce sujet avec franchise, mais non sans défiance ; car la question n’est pas pour nous, tant s’en faut, suffisamment éclaircie, et nous n’ignorons pas qu’elle appartient aux régions les plus élevées de la théologie chrétienne.
Le mysticisme est fondé sur une fausse détermination des rapports entre l’homme et Dieu.
Le bon sens, qui est la meilleure des philosophies, et l’Évangile, qui dépasse toutes les spéculations humaines, constatent l’existence de la personnalité infinie de Dieu et de la personnalité finie de l’homme. Mais ces deux personnalités, quoique distinctes, ne sont pas isolées. Nous ne sommes pas Dieu et Dieu n’est pas nous : mais nous sommes en Dieu et nous ne saurions être hors de lui. Il y a donc un rapport ontologique entre l’homme et Dieu. Ce rapport, l’Évangile ne le formule nulle part, pas plus qu’il ne formule le rapport ontologique du second élément du fini, le monde, avec Dieu. Il le laisse dans une incertitude complète en posant le fini (l’homme et le monde) comme une création. Et c’est en vain que la raison humaine prétendrait l’éclaircir, car elle manquera éternellement d’une base indispensable, la connaissance objective de Dieu. L’histoire de la philosophie est là pour attester son impuissance et pour prouver clairement qu’elle ne peut statuer un rapport entre les deux termes qu’en absorbant l’un dans l’autre, c’est-à-dire en niant l’un ou l’autre, ce qui est précisément la négation du rapport cherché.
Mais si le christianisme, comme toute saine philosophie, ne statue rien sur le rapport ontologique de l’homme à Dieu, il formule clairement un autre rapport. Prenons l’homme tel qu’il est, ensemble harmonieux de trois facultés, l’intelligence, le sentiment, la volonté ; nous trouverons que l’homme peut connaître Dieu, l’aimer et lui obéir. Connaître Dieu : ce rapport est donc avant tout un rapport de connaissance ; il deviendra ensuite un rapport d’amour et d’obéissance.
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Préface
Jésus-Christ pleurant sur Jérusalem
Joie, patience et prière
Les Armées Invisibles
Le découragement d’Élie
A quoi bon cette perte ?
La Noël des assiégés
Un émouvant renouvellement de l’année
Le grain de blé dans le sillon
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Table des matières
1. Jésus-Christ rejeté et reçu
2. Le bonheur
3. Le sommeil
4. Efficacité de la prière
5. Les mauvaises lectures
6. La mère des fils de Zébédée
7. Les paroles
8. Amen
9. La charité
10. Montre-nous le Père
11. Le jour des morts
12. Le Ciel
Supplément. L’entrée de Jésus à Jérusalem
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Introduction
1. Le cri d’Asaph, ou l’idée de Dieu
2. Le péché
3. La Croix
4. Rois et Sacrificateurs
5. Thomas et la Résurrection de Jésus-Christ
6. L’oeuvre du Saint-Esprit
7. Élie et la veuve de Sarepta
8. Jésus et la samaritaine
9. Paul et Barnabas à Lystre
10. Égoïsme et matérialisme
11. La parabole des vignerons
12. La prière secrète et sa récompense publique
13. Les trois âges de la vie
14. Le ravissement et l’écharde de saint Paul
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Chronique de Nantes en l'an II
Nicole Dhombres, Anne-Claire Dere
- FeniXX réédition numérique (Siloë)
- 7 Mai 2016
- 9782402442978
La vie de la municipalité nantaise en l'an II de la République - c'est-à-dire du 22 septembre 1793 au 21 septembre 1794 - s'inscrit dans le véritable chantier d'expérimentation d'une société nouvelle dont les maîtres d'oeuvre se trouvent à Paris à la Convention montagnarde. Le nouveau maire Jean-Louis Renard se verra de ce fait chargé d'exécuter à l'échelon local les directives émanant du pouvoir jacobin. Mais il devra aussi gérer au quotidien une ville harcelée par les Vendéens et confrontée au dramatique problème de sa survie. Siégeant matin et soir tous les jours de cette année terrible, dévoués corps et âme à leurs concitoyens, modérés et responsables, tels apparaissent les conseillers municipaux à travers les délibérations jusqu'ici inédites du conseil communal. Un conseil où la personne de Carrier n'est pratiquement jamais présente, son personnage tutélaire étant ainsi volontairement relégué au second plan. Le devant de la scène est occupé par d'autres acteurs, des « hommes des Lumières » comme le chirurgien Darbefeuille, le pharmacien Hectot, l'industriel Gaudin, ou le chimiste Athénas, ou encore ces honnêtes et vertueux artisans et commerçants chers au coeur de Robespierre, qui trouvent alors la première chance historique de faire entendre leur voix. Sortant du cadre étroit de la vie de la municipalité, ce livre cherche à couvrir tout le champ de l'actualité et pour ce faire revêt la forme d'un magazine bimensuel où sont présentés et analysés les événements, les hommes et les décisions du moment. Il veut reconstituer, grâce surtout aux matériaux d'archives, le « vécu » de l'an II, la dynamique d'une ville, indépendamment des jugements que l'Histoire a portés sur tel ou tel aspect.
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La sonate au bord de l'eau
Raoul Dhombres
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 17 Septembre 2019
- 9791037629951
C'est dans une petite ville du Midi, à proximité des gorges du Tarn, au confluent de deux rivières, que se situe le roman de Raoul Dhombres. A l'âge de dix ans, André Séverac vit en vase clos, trop choyé par sa mère. Remarquablement doué pour la composition musicale, le jeune André va découvrir en accompagnant son père, pêcheur passionné, une source d'inspiration au bord de ces rivières. L'eau devient l'élément enrichissant. Il y a aussi la truite qui se trouvera mêlée à cette inspiration, quelques années plus tard, alors que les dons du jeune compositeur s'affirment dans une sonate. Une truite qui l'entraîne dans des aventures avec le braconnier de la région dont l'histoire est vécue. L'atmosphère de ce roman est pleine de fraîcheur ; on sent que Raoul Dhombres a mis dans son livre toute la tendresse qu'il porte à son pays.
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Homage to Evangelista Torricelli's Opera Geometrica 1644-2024
Jean Dhombres, Raffaele Pisano, Paolo Bussotti, Patricia Radelet De Grave
- Springer
- 22 Mars 2024
- 9783031069635
Evangelista Torricelli exemplifies the use the moderns made of the ancients' mathematical methods. Celebrating Evangelista Torricelli's monumental Opera geometrica, this book marks 380 years since its publication (1644-2024). This homage to Torricelli introduces the magnificent major work in Mechanics and Mathematics of a brilliant Archimedean-and-Galilean scientist to modern readers.Opera geometrica deals with Motion & Mechanics and Geometry & Infinitesimals. In quibus Archimedis doctrina Torricelli also presents his mechanical principle of equilibrium - the foundation of the modern Principle of Virtual Work/Static.
This outstanding source and research book spotlights the relevance and originality of Torricelli's Mechanics, and is the first and most profound analysis of the Opera geometrica to date. The historical study is achieved in extensive Introduction, 5 Essays and an accurate Transcription of Opera geometrica with parallel side-by-side text, including substantive explicative notes. The book is an accessible avenue to understanding this work by leading authorities who offer much-needed insights into the relationship Physics-Mathematics, Mechanics and Fundamentals. It appeals to historians, epistemologists and scientists. -
Une histoire de l'imaginaire mathématique : Vers le théorème fondamental de l'algèbre et sa démonstration par Laplace en 1795
Dhombres/Alvarez
- Hermann
- 18 Août 2011
- 9791037028136
L'histoire est un choix et non une nécessité. Au contraire de la mathématique enseignée qui, par souci d'économie et d'efficacité pédagogique, se présente comme une pensée presque toujours unique. Nous choisissons le théorème fondamental de l'algèbre, juste avant qu'il porte un tel nom. On l'énonce aujourd'hui sous une forme minimale : un polynème non réduit à une constante et à coefficients réels possède au moins une racine de forme complexe. Pour rester dans un cadre élémentaire, ce premier volume s'arrête juste avant la première preuve de Gauss, et bien sûr avant l'intervention de Galois. La simplicité de l'énoncé du théorème fondamental de l'algèbre n'est contaminée par aucune écriture symbolique absconse. Polynèmes, constantes, coefficients, racines, nombres complexes, nullité d'une expression algébrique, ces quelques mots disent le contexte du théorème. Parlons d'une banalisation d'une forme polynomiale : ce théorème est devenu sens commun, celui de l'algébre élémentaire, voire aussi de l'algébre commutative. L'histoire est celle de la notion d'imaginaire inventée par Descartes jusqu'à sa réduction à un nombre complexe. Mais l'adjectif « complexe » qualifie la nature du nombre, et non un type de raisonnement. Car le théorème et ses preuves font comprendre ce qui est simple, et la complexité réfère seulement à la présence de deux unités de mesure, au lieu d'une seule, comme lorsque l'on écrivait autrefois une longueur en 2 pieds 3 pouces. Sous le prétexte qu'il s'agit aussi d'une histoire érudite et que plus de cent cinquante années s'écoulèrent entre une affirmation de Descartes en 1637 et la dernière démonstration envisagée qui est celle de Laplace en 1795, notre rôle ne doit surtout pas être de surcharger de difficultés, même en prenant en compte les diverses tentatives d'enseignement des mathématiques à cette période, les difficultés non résolues d'Euler et de Lagrange, et l'avancée de Jean d'Alembert. La simplicité recouvre bien des débats, sur le rôle du signe et de sa mise en oeuvre dans la pensée en général et il n'est pas banal de voir ainsi hésiter de grands mathématiciens sur ce qui est devenu simple, mais on apprend beaucoup sur ce que c'est que penser en mathématiques.
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Une histoire de l'invention mathématique : Démonstrations du théorème fondamental de l'algèbre dans le cadre de l'analyse de Gauss à Liouville
Jean Dhombres, Carlos Alvarez
- Hermann
- 15 Mars 2012
- 9782705675448
Pour sa thèse qu'il exposa dès 1797, Gauss a fourni une démonstration difficile et topologiquement incomplète du théorème qui affirme l'existence d'au moins une racine complexe à tout polynôme réel non constant : tel se présente le théorème fondamental de l'algèbre. Gauss ne supposait pas l'existence des entités qui avaient été imaginées par Descartes pour permettre la décomposition de tout polynôme en facteurs du premier degré. En 1795, Laplace avait en effet rigoureusement démontré que ces « imaginaires », une fois supposés, se réduisaient aux nombres complexes, lesquels accaparaient le nom de « quantités imaginaires ». Une dizaine d'années après, Argand fournissait une démonstration aisée du théorème fondamental. Des démonstrations inventives différentes se succédèrent, de Gauss encore, de Cauchy, de Liouville, etc., et trouvèrent une place variable dans les grands traités classiques des mathématiques européennes jusqu'à la fin du XIXe siècle, où l'analyse réelle restait séparée de l'analyse complexe. C'est cette période d'un siècle que le présent volume inventorie, donnant à lire en français les textes correspondants, explicitant le contexte intellectuel des preuves, mais réservant pour un prochain et dernier volume les explications algébriques à la façon de Galois et les preuves données au XXe siècle.
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Trois etudes sur la loi constructale d'adrian bejan
Bachta/Dhombres
- Editions L'Harmattan
- Épistémologie et philosophie des science
- 9 Octobre 2015
- 9782296197145
La théorie constructale, conçue par Adrian Bejan dans le cadre des systèmes soumis à l'écoulement, ouvre des perspectives immenses dans différents domaines impliquant des flux de matière, de connaissance, d'information, etc. Progressivement, cette théorie s'appliquera à tous les problèmes de design d'ingénierie et de nature faisant appel aux lois de la physique ordinaire. Elle sera utile aussi dans le domaine de la construction de systèmes d'intelligence artificielle ou de vie artificielle.