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Fayard (réédition numérique FeniXX)
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Que savaient sur le monde les hommes de la Renaissance ? Peu de chose. Leur science reposait sur les légendes de l'Antiquité. L'Inde demeurait mystérieuse, malgré le voyage de Marco Polo. En octobre 1492, Christophe Colomb vient de découvrir l'Amérique. S'élançant à sa suite et dans son sillage, des marins, des soldats - souvent des desperados, sans foi ni loi -, vont compléter la Découverte et poursuivre la Conquête en élargissant immensément le royaume espagnol. Ce sont les Conquistadors. Naïfs et roublards, sentimentaux et cruels, tour à tour qualifiés de bandits ou de héros, ce sont des hommes d'Espagne au courage extraordinaire. Une à une et parfois ensemble, surgissent les grandes figures de cette geste épique. Colomb, le « Découvreur des Indes » ; Cortès, qui combat l'empereur Montezuma, conquiert le Mexique ; Pizarre qui, avec une centaine de soldats, s'empare du puissant empire du Pérou ; Valdivia, qui s'empare du Chili... D'autres aussi, aucun n'est oublié : ceux qui errent du Rio de la Plata au Meschacébé, Fernand de Soto qui atteint le Mississipi, Orellana hanté par l'introuvable Eldorado. La Découverte et la Conquête ont duré cinquante ans : de Christophe Colomb (aux Bahamas en 1492) à Valdivia (fondation de Santiago du Chili en 1541). Elles portaient sur la nature, les hommes, les civilisations. De quoi stupéfier les Espagnols. Une nature multiple : archipel tropical, chaînes montagneuses, mortels marécages. Des hommes différents : Caraïbes, Aztèques, Quéchuas. Des civilisations anciennes. Qui s'en serait douté en Europe ? La première croisade coïncidait avec la fondation de l'Empire inca. L'histoire de la Conquête se déroule comme un film aux séquences dramatiques : grandes cérémonies aztèques, sacrifices humains, siège de Mexico, banquets cannibales, mais aussi la révolte des Indiens et les règlements de compte sanglants entre conquistadors. Une aventure vivante et colorée dont ressort une double conclusion : les civilisations précolombiennes étaient d'un haut niveau, les Espagnols construiront un empire, ouvert sur l'Europe, qui durera trois siècles et dont les Libertadors feront un ensemble de républiques où fait encore écho la chevauchée des Conquistadors.
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Arméniens quoiqu'il en coûte
Jean-Pierre Richardot
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 9 Octobre 2015
- 9782213690384
De plus en plus, les Arméniens font parler d'eux : prises d'otages, bombes, assassinats de diplomates turcs. Les gens disent alors : Mais qui sont les Arméniens ? - car généralement, ils l'ignorent complètement. Le livre de Jean-Pierre Richardot répond à cette question. Il ne sera plus possible de se la poser après avoir lu ce voyage à l'intérieur du monde arménien de France, de Suisse, du Liban, d'URSS, des États-Unis, etc..., qui constitue un grand reportage dans l'espace et dans le temps. Jean-Pierre Richardot établit dans ce livre un diagnostic très net : on va plus que jamais entendre parler du peuple arménien. Personne ne l'attendait, et pourtant il rentre en scène avec fracas, décidé à briser le complot mondial du silence. Sept millions d'hommes font irruption dans l'actualité, prêts à tout pour obtenir justice. Sept millions d'hommes, Arméniens quoi qu'il en coûte, ayant comme refuge central et comme carrefour de leur diaspora, un certain pays d'Europe : la France.
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Et si nous parlions de demain
Jean-Pierre Fourcade
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 9 Octobre 2015
- 9782213691008
Trop jeune pour écrire ses Mémoires, Jean-Pierre Fourcade a cependant ressenti le besoin de réfléchir à ce qui constitue l'essentiel de sa vie : l'action. Qu'il s'agisse de l'administration, de la construction de l'Europe, du cadre de vie, du chômage, du tiers monde, de la réforme fiscale ou de la sécurité des citoyens, ce haut fonctionnaire devenu homme politique après un passage dans le secteur privé, examine concrètement ce qui existe, fait l'inventaire des obstacles à l'évolution de notre société, et propose des solutions propres à rassembler les bonnes volontés. Il ne reste pas abstrait ou hermétique, sachant faire vivre d'une anecdote ou d'un souvenir telle ou telle de ses démarches. Écrite vigoureusement et simplement, cette invite à l'action nous concerne tous.
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Quand l'Amérique s'appelait Nouvelle-France (1608-1760)
Jean-Marc Soyez
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- Quand?...
- 25 Septembre 2015
- 9782213690155
Sur la route de la Chine, une barrière insoupçonnée : le royaume de Canada, pays où il y a plus d'ours que d'hommes. Jacques Cartier en rapporte deux Iroquois, de l'or et des diamants. Hélas, les diamants sont du quartz, l'or de la ferrite, et la future Nouvelle-France se résume à un proverbe : faux comme diamant du Canada. Il faudra attendre 70 ans pour voir Champlain devenir maître du Saint-Laurent et créer Québec. La Nouvelle-France est née. Peu nombreux, mais incroyablement dynamiques, les colons débarquent. Puis c'est le tour des filles du roi qui feront de vertueuses, solides et prolifiques pionnières. La vie de chacun de ces hommes, de ces femmes est un formidable roman d'aventures vraies. Moins au nom de Dieu qu'au nom de ses fourrures, trop rares dans une France mal chauffée, Louis XIV et Colbert s'intéressent à ce continent dont les explorateurs découvrent la fabuleuse immensité. À chaque printemps, les Iroquois reprennent le sentier de la guerre. Le fusil en bandoulière, les Canadiens défrichent. Bientôt ils chassent, se déplacent, guerroient et cuisinent à l'indienne. Vient la paix. Si, pour les coureurs des bois, le terrible hiver semble long, sur les pistes sans fin le temps passe vite. Nous voilà au milieu du XVIIIe siècle. La Nouvelle-Angleterre, minuscule, compte treize petites colonies mais vingt fois plus d'habitants que la Nouvelle-France. Malgré d'innombrables défaites, les très prochains Américains s'en empareront.
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Bretagne et univers
Jean-Pierre Foucher
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 25 Septembre 2015
- 9782213691138
Utilisant les services de messageries mystérieuses, l'auteur donne rendez-vous à un certain nombre de personnages populaires, dont la rencontre, en divers pays de Bretagne, fournira l'un des attraits majeurs de ce périple à travers traditions et coutumes de la Bretagne armoricaine. L'ouvrage n'est nullement un simple livre de folklore. C'est une chronique vivante, conteuse, romanesque, du cycle de l'année bretonne. Les événements de la vie sociale s'y conjuguent avec les événements de la vie personnelle. On ne cesse de voyager de Cornouaille en Vannetais, de Léon en Trégor ; de Quimper au Faouët, de Locronan à Guérande, à Dinan, à Rennes, à Ouessant... Le lecteur accompagne les chanteurs de l'An neuf en tournée dans les campagnes des Monts d'Arrée. Il surprend les courtoisies de la demande en mariage. Il apprend les vertus des fontaines et des grandes pierres ; les traditions des populations maritimes. Il se retrouve parmi les pèlerins de la grande Troménie de Locronan, parmi les champions d'aujourd'hui de lutte bretonne, et il termine son périple à la Grande Assemblée des Conteurs.
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Les Loups de la croisade
Jean-Luc Dejean
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 4 Décembre 2015
- 9782213690896
Ce livre raconte l'histoire d'un commando pendant la première Croisade. Des guerriers pittoresques, assortis de moines truculents, entourent le légat du pape et son chef d'armée. Les dames ne sont pas absentes de ce tumultueux pèlerinage. Rogier le bon géant, Picabén l'astucieux coutilier, et leurs hommes taillent une route difficile. Brigands et pillards de tout poil attaquent les convois, que suivent la horde des pauvres et les chariots peints des prostituées. Constantinople. Le très rusé empereur d'Occident réunit les chefs de guerre : Français, Normands d'Angleterre et de Sicile, Provençaux et Flamands sont au grand rendez-vous. Qui commandera en chef ? Raimond de Toulouse ou Bohémond de Tarente, Robert Courteheuse ou Godefroy de Bouillon ? L'histoire véritable, attestée par les chroniqueurs, affleure tout au long de ce roman.
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Mourir à New York
Jean-Pierre Lahary, Elie Vannier
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 18 Décembre 2015
- 9782213690070
La morgue de New York présente à peu près autant de ressemblance avec celles de Londres, Tokyo ou Paris, qu'un super porte-avions de la marine américaine avec les voiliers pour enfants du jardin des Tuileries ! L'homme qui parle ainsi s'appelle Jean-Pierre Lahary. Français d'origine, il vit aux États-Unis depuis près de 20 ans. C'est à lui que sont confiées les autopsies les plus délicates, les plus compliquées de la morgue de New York. Il est également Conservateur du musée de Criminologie et Médecine légale. Elie Vannier, Rédacteur en chef à RTL, a passé plusieurs semaines dans cette morgue, recueillant les confidences de Jean-Pierre Lahary, essayant de comprendre pourquoi celui-ci est considéré comme l'un des deux ou trois grands spécialistes mondiaux de l'autopsie ; et pourquoi c'est toujours à lui que font appel les autorités de la plupart des pays occidentaux pour identifier les centaines de victimes des accidents d'avions. Grâce à l'aide du FBI et de la police new yorkaise, Jean-Pierre Lahary et Elie Vannier ont reconstitué les grandes affaires criminelles qui seraient demeurées inconnues ou inexplicables sans l'intervention des spécialistes de la morgue de New York, cette vitrine de l'enfer où aboutissent chaque année 90 000 corps. À travers les affaires de moeurs, les règlements de compte de la Mafia, les meurtres rituels, les drames de la misère ou de la drogue, Jean-Pierre Lahary et Elie Vannier dressent un extraordinaire tableau de la mort, mais peut-être surtout de la vie à New York.
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Histoire d'Espagne : des origines à nos jours
Jean Descola
- FeniXX réédition numérique (Fayard)
- Les Grandes études historiques
- 12 Août 2016
- 9782402140256
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Nous, les frères Barberousse, corsaires et rois d'Alger
Jean-Louis Belachemi
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 11 Juin 2016
- 9782213694443
Ils étaient quatre frères, nés dans l'antique Lesbos, qui vivaient pauvrement de pêches et de rapines. Ainsi commence ce conte oriental, qui est en fait la véritable histoire des frères Barberousse.
Deux d'entre eux allaient devenir les plus célèbres Corsaires de tous les temps. Arudj, dit Bras d'Argent, était l'aîné. D'abordages en chevauchées, il conquit le royaume d'Alger, mais non sa reine. Convoitises, atrocités et fanatisme constituaient l'insolite univers de ce Louis XI en burnous. Les Espagnols n'eurent de cesse de le poursuivre, et finirent par lui couper la tête, à laquelle ils réservèrent un sort peu ordinaire...
Kheir ed-Din lui succède alors. Fort de son étrange armée, il s'approprie la barbarie, l'étreint dans sa poigne de fer, et organise la piraterie à grande échelle. Devant tant de succès, Soliman le Magnifique le nomme grand amiral de sa flotte. Les palais de Constantinople n'atténuent pas longtemps sa soif de domination, et le voilà reparti à l'assaut de la Méditerranée. François Ier tente de le séduire. Il l'invite même à Toulon, pour parer aux menaces de son puissant voisin Charles Quint. Autrement habile que son infortuné frère, Kheir ed-Din se jouera sans cesse des pièges tendus par ses ennemis et s'éteindra, à la veille de ses quatre-vingts ans, dans les bras de sa jeune et très amoureuse épouse espagnole.
Telle est la trame de cette fantastique épopée, minutieusement documentée. Jean-Louis Belachemi n'a pas cherché à dissocier l'Histoire de la légende car, dit-il, "en terre d'Islam, l'une sans l'autre n'est bien souvent qu'un moulin sans eau". Il a, surtout, voulu faire revivre, d'une plume aussi généreuse et impitoyable que ses héros, cette turbulente famille du XVIe siècle. -
Méfiez-vous de l'Irlande
Jean-Loup Coudent
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 25 Février 2016
- 9782213691176
Quand on est français, jeune, sans attaches familiales, curieux - un peu trop curieux pour ne pas se brûler les doigts - et beaucoup trop amoureux pour garder son sang-froid, la verte Irlande peut vous réserver des surprises. De taille. Comme celles qui attendent notre héros chez les Buhling où, pour retrouver sa douce Berthe, il s'est fait engager comme chauffeur. À en croire Berthe et les horreurs qu'elle raconte, ses patrons seraient tous des sadiques - le mari, la femme, l'amant, la belle-soeur (borgne) et les neuf enfants... Une histoire pleine de sang et de fureur, où l'on passe du trafic des armes (pour ou contre l'armée clandestine) à celui de la drogue et des médicaments, du chantage à la folie meurtrière, le tout dans un langage savoureux où la gouaille parisienne et l'humour britannique font bon ménage.
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La Panzerdivision Wiking : la lutte finale (1943-1945)
Jean Mabire
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 7 Octobre 2016
- 9782213690360
Dès le printemps 1940, alors que la guerre à l'Ouest vient seulement de commencer, les Allemands font appel à des volontaires de pays que la propagande nationale-socialiste revendique comme germaniques. Quelques milliers de Danois, de Norvégiens, de Finlandais, de Suédois, de Hollandais, de Flamands, et même de Suisses, répondent à cet appel. Ils vont constituer, avec des citoyens du Reich et des nationaux roumains ou hongrois d'origine allemande, une unité militaire de vingt mille hommes placés sous les ordres de Félix Steiner, ancien officier des troupes d'assaut de 14-18. Placés en tête des troupes d'invasion dans le secteur méridional du front de l'Est, ces volontaires germaniques vont se battre jusqu'aux montagnes du Caucase et manquer de peu d'atteindre les rives de la mer Caspienne. Cette aventure, tragique et méconnue, a été racontée dans un premier volume : La division Wiking, Arthème Fayard éditeur, 1980. Ce deuxième tome évoque la lutte finale des volontaires germaniques. Leur unité devient une division blindée : La Panzerdivision Wiking. Un bataillon d'Estoniens remplace celui des Finlandais, puis arrivent en renfort, avec le chef du Rexisme Léon Degrelle, les deux mille volontaires belges de la brigade d'assaut Wallonie. Avec d'autres unités de la Wermacht, ces hommes de la Waffen SS, que commande désormais le Gruppenführer Gille, sont alors encerclés près de Tcherkassy, sur le Dniepr, et ils ne parviendront à percer les lignes soviétiques qu'au prix de pertes effroyables. Les survivants quitteront alors l'Ukraine pour se battre sur la frontière polonaise. Ils résisteront pendant des mois devant Varsovie, mais ils seront incapables, au début de l'année 1945, de reprendre Budapest. Vient alors la longue marche qui les conduit vers la captivité, à travers l'Autriche et la Bavière. Du premier au dernier jour, les Vikings du IIIe Reich n'auront jamais quitté le front de l'Est, où ils ont été les plus rudes soldats d'une guerre gigantesque et impitoyable.
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Gtz von Berlichingen, un chevalier d'empire du XVIe siècle germanique, n'avait pas vingt ans quand il perdit au combat la main droite. Sa carrière mouvementée ne fut pas terminée pour autant, car un artisan de village lui fabriqua une prothèse, qui lui permit de continuer à manoeuvrer l'épée. De là son surnom de Poing-de-Fer. Un tel personnage, très populaire dans son pays natal, et qu'une fort grossière réponse à un adversaire a rendu aussi célèbre que Cambronne chez nous, fut choisi comme « patron » par une division allemande, formée à l'automne 1943. 17e division de « grenadiers blindés » de la Waffen SS, elle cantonnait dans la région de la Loire, en réserve générale de l'Armée de l'Ouest. Dès l'annonce du Débarquement, la division Gtz von Berlichingen fut dirigée sur la Normandie. Elle combattit aux environs de Carentan, puis dans la zone des prairies marécageuses - au nord de la route de Périers à Saint-Lô - fut encerclée à Roncey, reconquit et abandonna Mortain, avant d'être prise au piège de la poche d'Argentan-Falaise, où furent rayées de la carte les forces allemandes de Normandie. À la fin du mois d'août 1944, il ne restait pas - à la 17e division SS - un millier de combattants sur les dix-sept mille hommes mis en route le 6 juin !
Ces semaines d'enfer, sous les assauts incessants des chasseurs-bombardiers alliés, totalement maîtres du ciel, et face aux attaques des soldats américains, supérieurs en nombre, bien armés et courageux, constituent un des épisodes les plus dramatiques de « la bataille des haies », en Normandie. Le hasard de la guerre a placé les soldats de la division Gtz von Berlichingen dans les secteurs les plus durs. Côte à côte avec les paras du Reich, ces hommes de la Waffen SS, dont beaucoup, très jeunes ou assez vieux, n'étaient même pas volontaires, ont connu l'extrême limite de la résistance humaine face à la peur, à la faim, à la mort. Et leurs adversaires eux-mêmes reconnurent en eux la farouche volonté de se battre jusqu'au bout, à l'image du vieux reître souabe Gtz von Berlichingen, le chevalier manchot au Poing-de-Fer. -
Goliath contre Goliath : histoire des relations américano-soviétiques (1)
Jean Elleinstein
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 9 Novembre 2018
- 9782213690247
Au cours de cette période s'affirme la permanence mondiale des deux super-puissances. « Copyright Electre »
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Vie et mort d'un caïd : Jo Attia
Jean Marcilly
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 16 Juin 2016
- 9782213694665
Jean Marcilly a débuté, à 18 ans, dans le journalisme. Après avoir effectué le premier reportage au-delà du "rideau de fer", il travaille dix ans au New York American Journal, à la rubrique des affaires criminelles françaises. C'est alors qu'il entre en contact avec le "Milieu", et qu'il se lie avec Attia, d'une amitié qui ne cessera qu'à la mort de Jo.
Il s'occupe ensuite de cinéma, part cinq ans au Mexique, où il enquête sur les Indiens. Il est aussi passionné par les chevaux (voir son livre « Les cavaliers de l'Apocalypse », en 1973). Il a été, successivement, chef des informations à Ici Paris, rédacteur en chef de Noir et Blanc, puis directeur des informations à France Dimanche.
Jo Attia n'a jamais parlé, ni sous les tortures de la Gestapo, ni sous la schlague à Mauthausen, ni lors des interrogatoires de police.
Une drôle d'enfance pas drôle, des dons certains pour la boxe, qui l'a aidé à bien se tenir en prison, à ne pas tuer pour rien lors des premiers "casses", et à survivre aux "Bat'd'Af'", un patriotisme d'acier, un courage tout simple pour sauver les faibles : c'est aussi Jo Attia. Il est mêlé à toutes sortes d'activités, la "bande des tractions avant", l'affaire Ben Barka, l'affaire Argoud.
On lui a consacré des centaines d'articles de journaux, et cet énorme "dossier de presse" est à la mesure de sa légende : Il fait le poids.
La vérité est encore plus extraordinaire, entre les deux plateaux de la balance, celui de la société impitoyable et celui du "Milieu", pitoyable, comme Jo qui joue les fléaux, Jo l'archétype de l'aventurier des temps modernes, grand capitaine égaré, Mandrin de vocation, James Bond d'occasion et Arsène lupin de la mystification. -
Les Bateaux de pêche de Bretagne
Herve Gloux, Jean-Yves Manac''h
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 16 Juin 2016
- 9782213694771
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Histoire Véritable
Jean Lambert
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- Romans
- 16 Juin 2016
- 9782213689852
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Catholiques, protestants
Leon Cristiani, Jean Rilliet
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- Bibliothèque Ecclesia
- 31 Janvier 2019
- 9782706217906
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Ces entretiens donnés dans le cadre de la "Causerie religieuse" de Radio-Luxembourg ont abordé différentes questions que se posent nécessairement les parents, chrétiens ou non-chrétiens, soucieux d'une éducation spirituelle pour leurs enfants. On sait l'importance des premières années de l'enfant. Comment assurer heureusement ce départ ? Comment éduquer ensuite la volonté, en suscitant chez l'enfant une liberté réelle ? Comment parler de Dieu ? D'autres sujets ont également été retenus, parce qu'ils préoccupent les parents : illustrés et cinéma, école et catéchisme, et particulièrement l'éducation des pré-adolescents, ces 12-14 ans si difficiles à comprendre. Sans chercher à faire un traité de pédagogie familiale, Jean Orchampt, prenant appui sur les recherches actuelles des psychologues en même temps que sur l'expérience de nombreux foyers, a simplement souhaité répondre à l'inquiétude des parents en partageant avec eux les perspectives d'une vision chrétienne de l'éducation.
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La Bible, livre de Dieu, livre des hommes (6)
Jean-Marie Paupert
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- Je sais, je crois
- 4 Mars 2019
- 9782706244544
La collection « Je sais - Je crois » (traduite en 7 langues) présente - de la façon la plus complète et la plus simple - tout ce qu'on peut désirer connaître sur n'importe quel sujet où est impliquée la religion.
Le présent volume se propose de cerner l'essence de l'Évangile que, pour cela, il scrute d'abord en lui-même : dans son environnement historique, dans son univers physique, moral et dogmatique ; puis, en sa vie éternelle dans la pensée de l'Église : patristique, médiévale, réformée et moderne. -
La gamelle dans le dos, mai-juin 1940
Robert Auboyneau, Jean Verdier
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 4 Mars 2019
- 9782706211423
La gamelle dans le dos ! La gamelle dans le dos ! c'est en chantant cette marche guerrière de 1940 que le bataillon des « Aigles » vivra - suivant en cela le sort de toute l'armée française - la grande vadrouille de la « bataille de France ». Le livre commence le 9 mai 1940 dans les environs de Saint-Quentin où le 4e bataillon du 510e R.I.M. somnole dans la drôle de guerre. Il se termine le 4 juin à Dunkerque où le fantassin de deuxième classe Plume tire la leçon de trois semaines de combats : « Ce n'est pas les prisonniers que je compte, répondit Plume entre deux hoquets, c'est les cons. » Entre ces deux dates historiques, les hommes du 4e bataillon - depuis son chef le commandant Mishlein, « surnommé le Pneu par un de ces jeux de mots si mauvais qu'ils finissent par en devenir excellents », jusqu'à l'âme de l'unité, le cuisinier Lépi, ancien chef de chez Maxim's (« A partir de ce moment, note Lépi, le 10 mai 1940, dans son carnet de route, je ne cuis pas, j'accommode. ») - auront vécu vingt-six jours mémorables. Ils auront avancé en Belgique, reculé en France, tourné en rond dans les deux pays, pour échouer, après des pérégrinations tour-à-tour cocasses, tragiques, et même parfois héroïques, dans la poche de Dunkerque. Médecin militaire en 1939, le docteur Jean Verdier a, lui-même, vécu, sur le terrain, la campagne de France. Robert Auboyneau, neveu du glorieux marin de la France Libre, s'est toujours posé des questions sur cette inexplicable défaite. De leur collaboration naît un ouvrage hautement révélateur sur ces « jours qui ébranlèrent le monde » et entraînèrent la chute de la France. Délaissant les grandes explications stratégiques et historiques, Robert Auboyneau et Jean Verdier ont reconstitué, jour par jour, et presque heure par heure, l'aventure d'une poignée d'hommes pris dans la tourmente de la guerre-éclair : c'est donc de l'intérieur et sur un ton entièrement nouveau qu'ils font revivre une tragi-comédie qui, parce qu'elle a dépassé tous ses acteurs, n'a pas encore reçu, à ce jour, un éclairage valable. Le résultat est saisissant : Courteline affrontant Hitler, Clochemerle dans le vrombissement des Panzers et sous le mugissement des Stukas. Mais aussi, par éclairs, Les Croix de Bois d'une génération trop souvent mise en accusation. A la guerre comme à la guerre !
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Le choix
Jean Noli
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- Grands documents contemporains
- 4 Mars 2019
- 9782706211751
Une nation vaincue et terrassée qui possède toujours une Marine intacte, organisée et redoutable : telle est la situation paradoxale de la France au lendemain de l'armistice du 24 juin 1940. Du coup, la Flotte française devient un enjeu capital. Pour les Britanniques, assiégés dans leur île, les navires français représentent une chance de survie. Pour les Allemands qui déferlent, les escadres françaises sont le moyen inespéré de maîtriser l'invincible Home Fleet. Alors, attaqués ou capturés par l'allié de la veille, menacés par l'ennemi vainqueur, les marins de France vont vivre la période la plus tragique et cruelle de leur histoire. Pour eux, l'heure du choix a sonné. Doivent-ils rester fidèles à l'amiral Darlan, le chef incontesté qui a promis à Churchill et à Hitler que ses bâtiments de guerre ne tomberaient jamais entre les mains des Allemands ou des Anglais ? Doivent-ils rejoindre le général de Gaulle, cet officier inconnu qui proclame, à Londres, la nécessité de poursuivre la lutte ? En ces journées de souffrance et de gloire, ce choix était un déchirement. Les uns, à bord des escadres de Vichy, respectueux de la discipline et de la hiérarchie, révoltés par l'agression anglaise de Mers-el Kébir, restent fidèles, même à contre-coeur, au gouvernement Pétain. En un combat désespéré, ils ouvriront le feu sur les forces alliées et gaullistes qui viennent prendre pied en Afrique. Les autres, missionnaires de la croix de Lorraine, embarqués sur une poignée de corvettes et de sous-marins, se lancent, aux côtés des Anglais, dans une lutte implacable contre la Kriegsmarine, à un moment où les loups de l'amiral Doenitz sèment la terreur dans les convois et « font trembler l'Océan ». Ce sont les batailles des uns et des autres, leurs cas de conscience, les douloureux combats fratricides, les péripéties qui aboutiront à la réconciliation et à la participation, côte à côte, à la victoire que Jean Noli retrace - sans passion politique - à partir de témoignage des officiers et des matelots des deux camps. Riche en étonnantes révélations sur un sujet que personne n'avait abordé jusqu'à ce jour, Le Choix est un grand livre de guerre, la fresque poignante d'un temps où les grands déchirements politiques et les sanglants affrontements militaires rendaient la mer doublement cruelle.
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La traite des pauvres
Jean-Loup Dariel
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- 4 Mars 2019
- 9782706211959
« L'homme importé, si traditionnellement exploité qu'il paraît à beaucoup naturel qu'il le soit, cesse peu à peu d'être l'esclave docile et silencieux que la pauvreté livrait jusqu'à présent, pieds et poings liés, aux nations prospères. Puisqu'on le destine aux travaux les plus pénibles - ceux que les nationaux refusent -, il ne veut plus être traité en sous-homme. Il prend conscience de son utilité, de sa force. Il s'organise, proteste, exige. En même temps, il fait peur, provoque chez ceux qu'il sert une hostilité qui, à la moindre occasion, se transforme en haine raciale. « Il n'est pas étrange que l'immigration suive la même courbe que l'ancienne et honteuse traite des Noirs à laquelle elle ressemble par tant d'aspects. Après avoir été utilisée sans mesure, considérée comme le seul remède possible à nos besoins économiques et démographiques, elle se transforme en une série d'équations insolubles. Les maux qu'elle sécrète par nature sont inguérissables. Intérêt et morale ne sont pas faits pour cohabiter. L'immigration provoque même aujourd'hui le scandale. Trop de plaintes ! Trop d'injustice ! Trop de crimes ! »
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Les loups de l'amiral
Jean Noli
- Fayard (réédition numérique FeniXX)
- Grands documents contemporains
- 4 Mars 2019
- 9782706212031
Jean Noli a retrouvé les survivants des Loups Gris. Ce sont les témoignages des commandants de bord et des marins qui ont permis à l'auteur de reconstituer les récits des combats acharnés que les U-Boot et les flottes Alliées se sont livrés pendant la Bataille de l'Atlantique. Ce fut une bataille impitoyable. Ce sont les combats, l'héroïsme, les prouesses techniques, les victoires et les sacrifices de ces marins - en dehors de tout fanatisme politique unis à leur Chef par une identique passion de la mer - que retrace Les Loups de l'Amiral.