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Plon (réédition numérique FeniXX)
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Moliere memoires imaginaires
Jacques Darras
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 13 Janvier 2017
- 9782259233828
« Molière...
Ce livre est un rêve éveillé.
C'est aussi un pari ; à vous de dire s'il est ou non stupide.
C'est sa vie de comédien, au jour le jour, telle qu'il l'a vécue et telle qu'un comédien a voulu la revivre.
Tout l'amour que j'y ai mis fera peut-être excuser la liberté que j'ai prise. »
Jean-Pierre Darras -
Pourquoi dites-vous ca.riant
Darras/Jp
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- Entracte
- 17 Septembre 2019
- 9782259232852
Jean-Pierre Darras a une passion : son métier de comédien ; il aime le théâtre et tout ce qui y touche. C'est ce qu'il raconte avec bonheur dans cet ouvrage de souvenirs d'une carrière très riche en aventures. Bien que Jean-Pierre Darras soit né à Paris, ses origines sont provençales. Si l'on retrouve dans ces souvenirs la verve du Parisien, on appréciera avec gourmandise l'alacrité, la couleur, le goût d'une vie heureuse de l'homme du Midi. C'est avec un style alerte et sûr, plein de bonheur, que Jean-Pierre Darras nous raconte ses difficultés, ses joies, dresse le portrait de personnalités connues, nous fait le récit de sa vie.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Le crépuscule des blancs
Jean Escoffier
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 14 Mars 2019
- 9782259265690
En l'espace d'une nuit, celle du 9 au 10 mars 1945, qui vit les Japonais s'emparer de ce qu'on appelait encore « l'Indochine française », les Blancs du Cambodge passèrent de l'état de maîtres absolus, à celui de captifs méprisés et menacés.
Au camp d'internement de Phnom Penh, Julien, un jeune métis, qui militait dans un mouvement nationaliste, rejoint de son propre gré les Français, qui avaient refusé jusqu'alors à le reconnaître comme un des leurs.
Dans cet univers à part, le pressentiment des dangers à venir n'empêche pas une sérénité insolite de s'établir parmi les internés. Mais les servitudes que l'on doit partager - et les besoins qui se contrarient - vont bouleverser l'existence et les moeurs de chacun.
Au sein de cette ville nouvelle, Julien trouvera l'amour - et même un certain bonheur - mais la libération de ses compagnons entraînera finalement sa propre perte, et la défaite tant attendue des Japonais, loin de ramener la paix, sera le signal d'une nouvelle flambée qui durera jusqu'à l'heure de Dien-Bien-Phu.
On se souviendra longtemps du personnage de Julien, d'autant plus orgueilleux qu'il se sent plus humilié. Peut-être ce garçon de vingt ans exprime-t-il seulement, avec plus de force que quiconque, ce malheur d'être double, ce sentiment d'exil parmi les hommes, cette impression enfin de n'être pas comme les autres, qui obsèdent n'importe quel adolescent... -
Titien
Jean Babelon
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- Les maîtres de l'histoire
- 7 Novembre 2017
- 9782259261616
"Michel-Ange, c'est la tourmente et la révolte des éléments en discorde, la douleur choisie comme un principe de connaissance et de régénération ; Titien, c'est l'assurance, sans doute illusoire, d'une vérité conquise, et d'une possession tranquille de la beauté." Jean Babelon nous présente Le Titien (1488-1576), peintre et graveur italien, auteur d'une oeuvre picturale majeure, souvent considéré comme l'un des plus grands portraitistes de son temps, et qui n'a jamais cessé ses recherches jusqu'à son dernier souffle.
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La Chine, l'URSS et les autres
Jean Guiloineau
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 16 Novembre 2017
- 9782259254755
« La Chine et le Viêt Nam sont unis comme les lèvres et les dents. » C'est ce qu'affirmaient, il n'y a pas si longtemps, les dirigeants de Pékin, après avoir fait de la Chine, durant les deux guerres d'Indochine, « la base arrière du Viêt Nam ». Puis, soudain, en 1978, à l'étonnement du monde, les deux alliés se font la guerre. Pour la première fois dans l'Histoire, deux pays se réclamant du marxisme-léninisme en viennent aux armes.
Pourquoi ce combat singulier ? Que s'est-il donc passé ?
Les causes profondes du conflit, ne sont ni à Pékin ni à Hanoï. Il faut les chercher dans les relations de la Chine avec le reste du monde et, plus encore, dans le conflit latent qui l'oppose à l'URSS. L'ouvrage de Jean Guiloineau, spécialiste des affaires chinoises, replace la guerre sino-vietnamienne dans son contexte international à la lumière de la fameuse (et cependant trop méconnue) « théorie des Trois Mondes », qui explique la stratégie et la tactique chinoises en matière de politique étrangère. Car, désormais, la Chine est entrée dans le concert des nations, et tout prouve qu'elle entend y tenir son rôle : le traité de paix et d'amitié sino-japonais, l'établissement de relations diplomatiques avec les USA, ou encore les voyages de Hua Guofeng en Europe.
Pour saisir le sens des immenses bouleversements qui s'annoncent, pour comprendre le nouvel ordre du monde, et les dessous du grand jeu chinois, voici un livre clef. -
Mayas d'hier et d'aujourd'hui
Jean Babelon
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- D'un monde à l'autre - Découverte du p
- 26 Avril 2018
- 9782259263153
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Ni saints, ni maudits
Jean Montaurier
- FeniXX réédition numérique (Plon)
- 12 Décembre 2018
- 9782402308281
Il est donné au prêtre de Jésus-Christ d'entrer, plus que quiconque, dans les profondeurs de l'âme, au-delà des apparences et de faire tomber les masques. Il le fait assez peu par science acquise, point du tout par don naturel, ce qui le transformerait en sorcier, et pas nécessairement par goût, mais par effet d'une grâce appelée sacerdotale, ce qui le situe exactement dans son rôle de consacré au service des hommes qu'il doit conduire à Dieu. Cela se comprend sans peine, pour peu que l'on admette que les rendez-vous entre Dieu et l'homme se nouent en ces lieux invisibles où deux abîmes se reconnaissent, se touchent et se confondent comme les eaux profondes de deux immenses océans. Dieu se doit d'y introduire le prêtre pour qu'il puisse accomplir honnêtement sa mission. Si donc le prêtre en parle, un jour, ou en écrit, ce ne sera ni en psychologue ni en écrivain, mais en témoin. Et ce que les hommes sont, dès lors, en droit d'exiger de lui, c'est la certitude d'une authenticité. En ce sens précis, Ni saints ni maudits ne revendique d'autre privilège que celui de s'inscrire à la suite de tant d'essais de ce genre, dans lesquels la vérité est recherchée pour elle-même, l'homme aimé comme Dieu l'aime et Jésus-Christ considéré comme l'unique Rédempteur avec tout ce que cette réalité contient d'espérance et de joie.
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Le « geste » héroïque du 18 juin, le redoutable défi qu'il impliquait, la lutte entreprise pour imposer aux alliés la « France libre » d'abord, la « France combattante » ensuite ; la libération du territoire, le gouvernement provisoire, le retrait de la scène politique ; le retour, en 1958, enfin, tout cela ne peut plus être ignoré. C'est un De Gaulle moins connu que révèle aujourd'hui Jean Auburtin, ancien président du Conseil municipal de Paris : un De Gaulle plus intime, moins officiel, vu sous un jour plus particulier. Plus précisément, l'auteur qui a rencontré, en 1934, dans un salon ami, le lieutenant-colonel de Gaulle, évoque les événements internationaux qui jalonnent cette époque, commentés au cours d'entretiens spontanés. Ils attestent l'acuité de vision, le don de « prospective », la passion du bien public qui, par delà le problème militaire - préoccupation dominante de ce soldat - animait, déjà, le futur chef de l'État. Malgré sa tristesse devant l'incompréhension, parfois la malveillance, sa foi dans le triomphe final de la France n'a jamais vacillé. S'il est vrai, comme il l'a écrit, dès 1932, dans le Fil de l'épée, qu'il n'y a pas de « gloire d'homme d'État que n'ait dorée l'éclat de la défense nationale », pressentait-il obscurément que cette symbiose, c'est en lui qu'elle s'opérerait ? Recueillir le trésor en déshérence, puis « assumer la France », cette mission que lui réservait le destin, peut-être se profilait-elle déjà chez le jeune lieutenant-colonel des années 1934-1935, évoqué dans ces souvenirs vécus.
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Cette collection, consacrée au roman et à l'art romanesque, ne comporte que des oeuvres d'auteurs français et étrangers, encore inconnus chez nous, la plupart oeuvres de jeunes écrivains. Elle paraît sous la direction de la revue Roman, et sa couverture, comme celle de la revue, est composée par Henri Matisse.
La revue Roman a été fondée en 1951, par Pierre de Lescure, Célia Bertin, et une équipe de romanciers soucieux d'accomplir, loin des parades littéraires, leur tâche d'artistes. Il ne s'agissait pas de s'isoler de son époque, mais parce qu'un roman, c'est précisément une tentative pour mieux comprendre les hommes, Roman s'attache aux nécessités intérieures, qui déterminent la forme extérieure de la création d'art.
C'est pourquoi la collection Roman, préoccupée de recherches et d'exigences techniques, ne considérera pas une technique comme une recette. Les jeux de l'esprit n'ont plus cours, et on n'hésitera pas à parler d'« engagement », car le romancier est « engagé » tout entier dans son oeuvre, à cause de ce qu'il aime et de ce qu'il veut. Les ouvrages publiés, en exprimant les visions et les « métiers » les plus divers, seront tous liés à la présence humaine.
On voudrait tenter de rendre au mot roman, si souvent galvaudé, la réalité vivante qu'il doit avoir. -
Sophie et le serpent
Jean-Francois Besson
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 11 Mars 2019
- 9782259265805
Sophie a vingt ans. Elle est hardie, jalouse de sa liberté et décidée à réussir. Jacques est jeune, calme, assez secret, incertain. Il a toujours fait grande impression sur Sophie qui croit l'aimer. Elle l'aime d'ailleurs, mais elle a peur de cet amour dont elle voudrait faire une réussite parfaite. Quand Sophie rencontre Élisabeth, celle-ci dirige un grand journal féminin. Sophie éprouve pour elle une attirance, une curiosité et une admiration qui vont dépasser bientôt le stade de l'amitié. Survient Édouard, quarante ans, brillant mais aigri, qui fait à Sophie une cour fiévreuse et maladroite. Son amertume et son brio ne manquent pas d'agrément. Élisabeth, Édouard, Sophie et Jacques se rejoignent pendant les vacances. Mais ce quadrille léger finira mal : on retrouve le corps d'Édouard, précipité dans le vide du haut d'une falaise. Pour Sophie, c'est peut-être la fin de la jeunesse... Ce livre est écrit dans une langue limpide dont on a perdu l'habitude. Au delà de la fluidité des caractères, on reconnaîtra dans Sophie et le Serpent le roman d'une jeune fille d'aujourd'hui qui se cherche sans vouloir cesser de se divertir, qui n'accepte d'autre loi que celle, impérieuse, de sa jeunesse et dont le charme acide éclaboussera le lecteur avant qu'il ait le temps d'être surpris.
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Colonie de vacances
Jean Romaguy
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- Les sentiers de l'aube
- 27 Février 2019
- 9782259274289
Est-il rien de plus vexant, quand on a dix-sept ans, un beau sifflet tout neuf, et la responsabilité de trente petits parisiens, que de s'entendre appeler « Bébé » par le moniteur-chef de la Colonie de vacances ? Poupette voudrait bien qu'on la prenne au sérieux... D'autant plus qu'il se passe des choses étranges à la Colonie... Tout a commencé le jour où la jeune surveillante a trouvé dans un berceau, au bord de la rivière, un petit enfant blond mystérieusement abandonné... Mais Poupette s'enflamme si facilement, elle vibre si intensément dans les jeux que le grand François a peut-être raison, tout en éprouvant pour elle une vive et secrète sympathie, de se méfier d'une jeune fille aussi imaginative, impulsive et enthousiaste... Pourtant, quand Bob et Jeannot, les deux garçons chers au coeur de Poupette, auront découvert par hasard ce que recèle la cave du jardinier, le drame se précipitera et la Colonie de vacances de Saulville connaîtra des heures d'angoisse...
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- Je vous donne carte blanche, Petitjean. Tous les moyens sont bons dans cette affaire y compris la provocation, le chantage, l'enlèvement, le meurtre. Il n'y allait pas de main morte le Grand Muphti. Pourtant Petitjean allait largement dépasser ses consignes. Écrit par un professionnel du renseignement, ce livre est à la fois un roman et un document sur le métier d'agent secret. Un métier qui demande parfois de l'héroïsme. Et qui parfois aussi comme le dit Petitjean est - Un métier de pute, un métier de salaud !
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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An 2021, les enfants fous
Jean Marabini
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 11 Mars 2019
- 9782259272124
En l'an 2021, trente ans après le génocide atomique, douze milliards d'hommes vivent encore sur la terre, nés de mères inconnues et de mâles professionnels dans les Parcs de la Résurrection, sorte de grand cirque génital, consacré à la permanence de l'échange sexuel. Les heurts, les remous, les révolutions, les courants, les spasmes, les meurtres et les cris de cette nouvelle société se retrouvent dans le premier roman de Jean Marabini. C'est là une oeuvre forte et originale qui, dans un cadre futuriste, garde toute la passion de l'aventure des générations, où les jeunes jouent, à leur tour, leur vie avec leurs fureurs, leurs rêves, leurs intransigeances et leurs impératifs : « Je ne veux pas du confort, je veux le bonheur... C'est la tâche de la jeunesse d'imaginer, l'imagination seule est révolutionnaire... L'imagination doit donc être au pouvoir », dira l'un de ces « Enfants fous ». Et, nous comprenons que quelle que soit la conclusion du roman, - que soit terminée ou non la révolution de la jeunesse, - son procès restera toujours en appel.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Un homme se souvient de celui qui lui a sauvé la vie, son cousin, né à Kiev, émigré à Berlin, puis à Paris : Georges Margolin. Héros de la guerre, il devient chef de la jeunesse pétainiste, avant d'entrer dans la Résistance. Arrêté, déporté, il meurt à Auschwitz. À travers la tragédie de la guerre, le drame de l'émigration, une vie amoureuse violente et décevante, les faits d'armes, Vichy, le courage et l'ennui - évoqués comme autant de forêts obscures où il trace sa voie -, le romancier cherche à reconstituer un temps perdu, et emprunte au souvenir et à l'imagination, de quoi recréer la vie d'un homme en même temps que lui donner sens.
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L'ombre qui me ressemble
Jean Nomis
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 10 Décembre 2018
- 9782259269575
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Autocritique de la France
Jean Choffel
- FeniXX réédition numérique (Plon)
- 4 Janvier 2019
- 9782402642491
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Ni récit pur, ni étude historique, ce gros roman qui exigera plusieurs volumes nous apporte la grande fresque d'une époque, une éducation sentimentale et la connaissance de l'univers romanesque de Jean Davray. Politiciens, financiers, diplomates, réfugiés, peintres et médecins, amants et victimes, toute une société renaît dans ce premier tome auquel on pourrait donner pour épigraphe la noble parole de Térence : « Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m'est étranger ». L'action nous transporte à Paris en 1934. Les jeux de l'art, de la politique et de l'érotisme baignent pour le lecteur, qui ne peut ignorer ce qui arrivera en 1939, dans un éclairage particulier. Le sentiment esthétique imprègne chaque page. Il est beaucoup question d'art dans ce livre, et ce n'est peut-être pas le hasard qui nous mène en Italie. La grâce de certains êtres leur devient une manière de justification. Et la beauté inspire le seul mouvement véritablement religieux de l'ouvrage. Mais est-il obligatoire que la beauté soit uniquement physique ? L'amour du beau peut conduire à une morale. Certes Jean Davray n'est pas dogmatique. Pourtant rien n'interdit de croire que sa morale, sans songer à nous l'imposer, il nous la laisse entrevoir. Le Bruit de la vie, ce titre nous rappelle la célèbre définition de Shakespeare dans Macbeth, qui inspira aussi son plus beau roman à Faulkner : « Une histoire... pleine de fureur et de bruit... ».