Filtrer
Rayons
Langues
Prix
Jennifer Belanger
-
Avec Troubles, nos ombres, Jennifer Bélanger aménage un espace sécuritaire où peuvent s'exprimer librement les personnes LGBTQ2IA+, hors des injonctions au bonheur et à la célébration. Ici, les ombres sont invitées à troubler la parole, avec leurs bagages remplis d'enfances difficiles, de traumatismes sociaux, de violences conjugales et de blessures encore vives qu'il importe de nommer pour valoriser nos expériences singulières, plurielles, complexes. Dans ce collectif, des vies sont mises en résonance pour qu'elles ne soient plus des exceptions, pour qu'elles forment un noyau commun à leur existence : celui des amitiés, des amours dissidentes, de la résistance et de la survie.
-
Prendre soin de sa mort
Jennifer Belanger, Martine Delvaux
- Atelier 10
- Nouveau Projet
- 1 Avril 2021
- 9782897596170
Considéré dans ce texte: Cory Taylor, Anne Bert et la militance des femmes pour l'aide médicale à mourir. L'écriture comme exploration des confins de l'existence. «The Old Guard». L'immortalité, la prière et le chant des oiseaux. La toute-puissance du système médical et ses limites.
-
Moebius. No. 178, 2023
Jennifer Belanger, Kesso Saulnier, Chantal Fortier, Elise Denis, Adele Rico-Lamontagne, Laurence Perron, Karolann St-Ama
- Moebius
- 22 Août 2023
- 9782924781517
La revue Moebius présente son nouveau numéro portant le titre : « Le lit ne sera plus jamais blanc ». La citation-thème est tirée de Choir, de Rosalie Lavoie.
Ces mots ruisselant de nos gorges baignent nos horizons de rouge. Nous pressentons l'incendie : cela s'enflamme déjà sous nos paupières. Nos émotions s'embrasent. Nous voulons être de bois, pour mieux nous enraciner à ce meuble qui nous plombe : brûler. Mais nos sèves coulent encore. Une déclaration, ou quelque chose d'une prière murmurée : « plus jamais ». Espérer que nos corps douloureux soient avalés, entiers, dans le ventre du matelas. Que les draps n'en gardent rien, sinon le froissement. Les jours passent en ombre sur nos visages. Nous demeurons pourtant vivants·es. Au creux de nos insomnies, nous nous replions sur la noirceur, nous y réinventons.
Le liminaire « États de veille » est écrit par les codirecteurs·rices du numéro, Jennifer Bélanger et Kesso Saulnier. Les collaborateurs·rices du numéro en fiction et en poésie sont : Chantal Fortier, Elise Denis, Adèle Rico-Lamontagne, Laurence Perron, Karolann St-Amand, Aurélie Thibault, Mélanie Boilard, Marc-Étienne Brien, Sarah Boutin, Mélanie Bizier, Britany Duquette, Mimi Haddam, Monique St-Germain
Trois rubriques closent le numéro : la résidence d'écrivaine (« Noeud, soeur, coeur » par Maryse Andraos) la rubrique penser la création (« Écrire pour se souvenir » par Myriam Tousignant, la rubrique lettre à un·e écrivain·e vivant·e (« Une épître de son temps » par Maya Cousineau Mollen). -
Modernités culturelles au féminin
Jennifer Belanger, Cato Fortin, Marie-Eve Sevigny, Marie-Pier Tardif, Camille Toffoli
- Éditions Somme toute
- 20 Août 2024
- 9782897944926
Cet ouvrage se propose d'étudier différentes manifestations de la modernité culturelle au féminin dans la foulée des propositions théoriques et méthodologiques formulées dans le groupe de recherche « La vie littéraire au Québec » et tout particulièrement des enjeux que ça soulève du point de vue d'une histoire culturelle des femmes au Québec. Chacune des cinq contributions qui forment ce collectif nous replonge, à partir d'un cas, au coeur de la participation des femmes à la vie culturelle de la première moitié du XXe siècle : Michelle Le Normand, Éva Circé-Côté, Angéline Hango, le mensuel Points de vue et le Ladies' Morning Musical Club.
Avec des textes de Jennifer Bélanger, Cato Fortin, Chantal Savoie, Marie Ève Sévigny, Marie-Pier Tardif et Camille Toffoli. -
Une jeune femme aux prises avec des douleurs chroniques cherche à comprendre et à apprivoiser son mal. Depuis quelque temps, elle s'évanouit dans les lieux publics, sans que la médecine puisse l'expliquer. Des années plus tôt, elle a rompu avec sa mère, alors que cette dernière était hospitalisée. Tout semble pourtant la ramener à l'enfance, dans un univers clos, en tête à tête avec une mère qui passait ses journées en robe de chambre devant la télé, à fumer.