Le très célèbre roman d' Alexandre Dumas, dans une version abrégée, annotée et commentée. Un « petit classique numérique » pour les 4e.
L'oeuvre
o Edmond Dantès, emprisonné durant quatorze ans pour une faute qu'il n'a pas commise, n'entend pas pardonner à ses ennemis. Échappé de prison et devenu miraculeusement riche, il se vengera de ceux qui ont cherché à détruire sa vie.
o Le roman d'aventures par excellence, dans une version abrégée.
Pour traiter, de manière stimulante, le thème « Individu et société : confrontation de valeurs ? » du nouveau programme de français en 4e.Les compléments pédagogiques
Sous la direction d'Hélène Potelet.
o L'ouvrage comprend :
- des repères sur le contexte d'écriture du roman ;
- des questionnaires, avec des « petites leçons » sur les notions en jeu ;
- des textes en écho, pour construire une culture littéraire ;
- un bilan de lecture permettant de faire la synthèse ;
- un dossier « histoire des arts ", avec des reproductions en couleur.
o Et, sur www.oeuvresetthèmes.com, umn guide pédagogique et des fiches photocopiables pour l'enseignant.
« Connaître l'histoire du lieu où l'on demeure... N'est-ce pas faire de nous des citoyens soucieux du patrimoine et de l'avenir d'un espace commun? » (Francis Back). D'Hochelaga à Montréal en passant par Ville-Marie, ce numéro estival de Cap-aux-Diamants se consacre au « Montréal inédit ». Sous la direction de Francis Back, éditeur invité, ce numéro aborde des sujets inusités et inédits liés par la vie des anciens résidents de la métropole. Entre autres, Gilles Proulx présente Abraham Bouat, pionnier de l'hôtellerie montréalaise et Frank Mackey revient sur le métissage et la descendance des esclaves noirs dans la foulée de l'abolition. Rénald Lessard nous instruit sur Montréal et la reddition de la Nouvelle-France, alors que Francis Back traite de la mode. Pierre Monette et André Delisle relatent l'emprise des révolutionnaires américains sur la ville et Jean-Luc Allard offre un album photo de Montréalais en guise de conclusion de ce dossier soulignant le 375e anniversaire de la métropole.
La révolution technologique provoquée par la cybernétique et qui s'est incarnée par la suite dans l'informatique et la réseautique a radicalement transformé notre rapport à la communication et à l'information. En développant un appareillage technologique permettant comme jamais auparavant de diffuser et de recevoir des messages, l'humanité a délégué aux machines le soin de transporter, stocker et réguler l'information, pour le meilleur et pour le pire. Le cinquantième anniversaire de la mort de Norbert Wiener, fondateur de la cybernétique, est une bonne occasion de faire un tour d'horizon des effets de ces mutations technologiques telles qu'elles s'expriment dans quelques ouvrages parmi une abondante bibliographie parue au cours des dernières années, sans distinction de genre : on retrouvera dans ce dossier des analyses d'essais aussi bien que de romans, d'ouvrages scientifiques et de séries télévisuelles, en passant par le roman graphique.
Vous trouverez ici tous les textes du dossier « politiques culturelles », du No 303 de la revue Liberté.
L'idée même d'un ministère de la Culture, quand on y pense, peut sembler saugrenue. L'art et la pensée ayant prouvé depuis longtemps à quel point ils pouvaient s'avérer de sérieux empêcheurs de gouverner en rond, on peut se demander en quoi un État pourrait avoir envie de stimuler ce qui prend tant de plaisir à le picosser ou à nourrir une mâchoire souvent prompte à le morde. Pour mettre en place un tel processus, il faut quand même y croire.
Georges-Émile Lapalme, fondateur du ministère des Affaires culturelles y croyait.
Le ministère, lui ayant heureusement survécu, demeure encore à ce jour son héritage. Et celui de ceux qui s'en moquaient.