Des feuilles volantes à périodicités variables, comme les libelles, de la Gazette de Théophraste Renaudot jusqu'à nos journaux contemporains, cet ouvrage restitue la vie de ces périodiques, témoins et acteurs de la vie nationale et internationale et précise le rôle qu'ils ont joué dans l'évolution de nos sociétés.
Au fil d'une rêverie historique, l'inspiration poétique de Pierre Albert trace l'itinéraire de sa quête d'appartenance. La poésie épouse la douleur d'un espace mal habité et d'une humanité à la fois inspirée et écrasée par le Nord.
Depuis les « dead ducks » de René Lévesque jusqu'aux « cadavres encore chauds » d'Yves Beauchemin, plusieurs ont annoncé la disparition des Franco-Ontariens. Belle politesse, le cortège funèbre est là avant l'heure. Car « Le Dernier des Franco-Ontariens » vit toujours. Il s'en excuse. Mais il ne décevra personne. À ceux que ça intéresse, à ceux qui s'en fichent, il annonce sa disparition. / Par accident, contre son gré, il doit accomplir seul, comme un bouc émissaire, le destin de son peuple. Puisque son drame ennuie tout le monde, lui-même en premier, l'auteur honnête doit écrire un livre que personne ne voudra lire. / Son écriture volontairement inélégante se veut tout le contraire de la « vraie littérature ». Puisqu'il doit s'immoler, à l'autel de la société comme à l'hôtel du coin, l'écrivain emporte le langage à sa perte avec lui. / Mais de cet anti-poème surgit un anti-destin. Encore un livre sur la difficile survivance des Franco-Ontariens. Vous en avez ras le bol ? Alors, réjouissez-vous : c'est le dernier.
En cette année du 100e anniversaire de la mort de Claude Debussy, ce livre accompagné de deux CD a l'ambition d'une exploration dans l'univers debussyste sous des angles pluriels, inédits, originaux ou inattendus parfois, sans exclure quelques échappées d'humour faunesque... faites par une pléiade de grands debussystes, chercheurs, professeurs, compositeurs, interprètes. Refusant comme le préconisait Debussy de « démonter les oeuvres comme de curieuses montres », ils ont choisi d'investiguer les traces que la musique de Debussy a laissées chez quelques compositeurs contemporains majeurs.
Ce manuel scolaire (terminale scientifique) est écrit par les promoteurs du programme de la nouvelle option de spécialité Informatique et Sciences du Numérique (ISN).
En quatre thèmes, Langage, Information, Machine et Algorithme, ce manuel explique les concepts fondamentaux de l'Informatique.
Entre exposés de connaissances et exercices, une large place est accordée aux activités pratiques ainsi qu'aux ouvertures vers un certain nombre de questions de sociétés liées au développement du monde numérique (réseaux sociaux, vie privée, gouvernance, licences, etc.).
Public
Lycéens inscrits à la spécialité ISN ;
Enseignants de la spécialité ISN ;
Centres de documentation et d'information des lycées ;
Lecteurs souhaitant comprendre les bases de l'informatique.
Préface de Gérard Berry, professeur au Collège de France.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
L'éducation est, pour les sociétés démocratiques, un problème et un enjeu majeurs. S'il est vrai que nulle société ne peut faire l'économie d'une réflexion sur les conditions qui permettront d'assurer la bonne transmission des savoirs et des pratiques sans lesquels elle ne pourrait subsister, il n'en demeure pas moins que le problème de l'éducation paraît singulièrement aigu pour les sociétés démocratiques et modernes qui se doivent d'articuler les exigences de l'éducation aux valeurs de l'individualisme.
On parle communément d'une " crise de l'éducation ", et l'on associe parfois celle-ci à la mise à mal de l'autorité. Autour de ce thème, se livre aujourd'hui un dur combat d'idées sur la pédagogie de l'âge démocratique. De quelle nature est cette crise de l'éducation ? Et quelles solutions pouvons-nous envisager ? Albert Jacquard, Pierre Manent et Alain Renaut en débattent et font émerger, à cette occasion, des clivages qui permettent d'éclairer d'un jour nouveau ces interrogations.
Que sera la prochaine guerre ? Entre quelles nations éclatera-t-elle ? Comment s'engageront les hostilités ? Où seront les champs de bataille ? A quels engins de destruction les belligérants auront-ils recours ? Jusqu'où sera poussée l'atrocité de leurs effets ? Autant de questions que petits et grands se posent, en France comme ailleurs, non sans quelque anxiété. C'est pour répondre à ce désir de savoir ce que nous réserve l'avenir, que l'amusant conteur Pierre Giffard et le prestigieux dessinateur Robida ont écrit et illustré cette nouvelle publication. Il semble indubitable que le conflit armé dont la planète est menacée sera le plus horrible que l'humanité ait jamais eu depuis le commencement des siècles. Ce sera vraiment LA GUERRE INFERNALE, assez atroce pour rendre désormais impossibles toutes les guerres. Et au moment où des fous prêchent l'antipatriotisme, au moment où d'autres fous rêvent de déchaîner sur leur pays, pour des motifs futiles, toutes les calamités d'un pareil fléau, nous croyons que l'heure est venue de montrer ce que doit être, ce que sera la prochaine guerre, LA GUERRE INFERNALE. Il faut lire ce roman d'aventures extraordinaires, où s'associent les facultés de vulgarisation divinatrice de Pierre Giffard et les coups de crayon prophétiques de Robida (Présentation d'époque, 1908). La Guerre infernale est parue en fascicules hebdomadaires (30) en 1908 et la même année en 2 tomes puis en 1 seul tome. Une réédition en a été faite en 2002 en 3 tomes. En tout, près de 1000 pages, 500 illustrations en NB et 30 couvertures en couleurs !
Pierre Giffard (1853-1922) né à Fontaine-le-Dun (Seine-Maritime), homme de lettres, journaliste et grand reporter, pionnier de la presse sportive. Engagé volontaire à 17 ans en 1870, il finit lieutenant ! Il deviendra un journaliste fameux au Figaro puis au Petit Journal, puis rédacteur en chef du premier journal sportif Le Vélo. Il organise les premières compétitions cyclistes, automobiles, le Marathon de Paris ; se présente à la députation sans succès ; écrit nombre d'ouvrages de vulgarisation scientifique (en collaboration avec Robida) et à partir de 1904, des romans d'aventures dont le chef-d'oeuvre reste cette fameuse Guerre infernale. - Albert Robida (1848-1926), un des très grands illustrateurs des XIXe et XXe siècle. Egalement auteur de nombreux récits d'anticipation.
Voici une nouvelle édition entièrement recomposée (d'après l'édition de 1908), proposée en 3 tomes et reprenant l'ensemble des illustrations d'origine et les couvertures des fascicules.
Le 4 août 1897, des ouvriers agricoles découvrent à La Alcudia, site de l'antique Ilici (Elche, au sud de la province d'Alicante), une sculpture ibérique datant du ve-ive siècle av. J.-C. et connue sous le nom de Dame d'Elche. Sa singularité et « l'étrangeté troublante de sa beauté » (Pierre Paris) attirent l'attention des archéologues européens. Très vite considérée comme le chef-d'oeuvre de l'art ibérique, la statue devient une source d'inspiration pour les artistes et, sous la plume des idéologues régionalistes et nationalistes espagnols, une icône identitaire. Le but de cet ouvrage, écrit par un archéologue et une anthropologue, n'est pas seulement de dire ce qu'était la Dame dans l'Antiquité mais aussi et surtout ce qu'elle est devenue pour les hommes et les femmes de notre époque qui se sont interrogés sur elle, l'ont admirée, aimée et souvent réinventée.
« Indépendance pour la Guyane » n'est pas un roman, hélas. Mais quel roman ne pourrait-on faire de la vie de cet Ubu vieux de trois siècles qu'est le colonialisme français en Guyane ! En 1976, le poids de l'administration française sur la Guyane est plus lourd et moins supportable que jamais. Si le peuple guyanais veut survivre à ce qu'Aimé Césaire a dénoncé comme un « génocide par persuasion » et que le gouvernement français appelle le Plan de développement de la Guyane, il ne lui reste plus qu'une chance. La saisira-t-il ? La Guyane sera-t-elle encore longtemps le seul pays d'Amérique du Sud à ne pas être indépendant ?
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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« Indépendance pour la Guyane » n'est pas un roman, hélas. Mais quel roman ne pourrait-on faire de la vie de cet Ubu vieux de trois siècles qu'est le colonialisme français en Guyane ! En 1976, le poids de l'administration française sur la Guyane est plus lourd et moins supportable que jamais. Si le peuple guyanais veut survivre à ce qu'Aimé Césaire a dénoncé comme un « génocide par persuasion » et que le gouvernement français appelle le Plan de développement de la Guyane, il ne lui reste plus qu'une chance. La saisira-t-il ? La Guyane sera-t-elle encore longtemps le seul pays d'Amérique du Sud à ne pas être indépendant ?
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Réflexions inédites sur la nature et la peinture et en particulier celle d'Anne-Marie Jaccottet.