Au sommaire du numéro printemps-été de Lurelu, un long article sur «La maternité dans tous ses états», où Nathalie Ferraris relève ce thème fréquent dans les albums et les romans pour jeunes. Danièle Courchesne, pour sa part, aborde «Un amour de papa» dans quelques albums destinés aux élèves du primaire.
Belle entrevue avec Patrick Isabelle, romancier jeunesse plutôt en vue ces années-ci, tandis qu'Annie Bacon et Virginie Egger répondent au questionnaire de «Créateurs d'ici». Passage obligé, Luelu a son article sur «Montréal dans le roman pour adolescents», dont il ressort que la métropole n'est pas si souvent mise en scène dans notre fiction. La chronqiue «Tourelu», qui s'intéresse à nos classiques, offre deux portions cette fois-ci, à la suite du décès inattendu d'Anique Poitras cet hiver, et de la doyenne Paule Daveluy l'automne dernier.
La scène appelle le son comme la lumière, et présenter une pièce sans univers sonore est aussi impensable que la jouer sans éclairage. C'est pourquoi la revue JEU propose pour son numéro hivernal un dossier thématique sur la musique. Car la musique représente bien plus qu'un élément de la mise en scène d'un spectacle ! En théâtre musical ou à l'opéra, les interprètes doivent multiplier les talents : en jeu, en chant, en danse. Les divers rôles de la musique sur scène sont ici explorés par les comédien.nes chanteurs et chanteuses Kathleen Fortin (en couverture), Jean Maheux, Dominque Quesnel et Émile Proulx-Cloutier et les compositeurs et compositrices Mikalle Bielinski, Ludovic Bonnier, Philippe Brault et Catherine Gadouas. Aussi au sommaire : un entretien avec Ariane Mnouchkine sur la production de Belles-Soeurs (As Comadres) au Brésil, un avec le dramaturge Laurent Gaudé et un autre avec Mélanie Demers, artiste multiplateforme et fondatrice de la compagnie de danse MAYDAY.
Dirigé par Christian Saint-Pierre, le dossier de ce numéro est consacré à la représentation de la banlieue dans le théâtre québécois. Marianne Dansereau, Claude Meunier, Annick Lefebvre, François Archambault et Steve Gagnon font partie des auteurs qui ont accepté de nous entraîner dans leurs banlieues réelles et imaginaires. Hors dossier, on trouve notamment un plaidoyer pour la culture signé Laurence Dauphinais, une Carte blanche dessinée par Julie Delporte et un entretien avec le chorégraphe Dave St-Pierre.
Avec ce dossier « Nouvelle décennie », la revue JEU célèbre la venue des années 2020 en mettant en valeur plusieurs figures montantes des arts du spectacle vivant, autrices et auteurs, metteuses et metteurs en scène, conceptrices et concepteurs. Un entretien avec Alexia Bürger, Alix Dufresne, Marie-Ève Milot et Solène Paré, quatre femmes qui renouvellent les pratiques de mise en scène, est suivi de rencontres avec la relève des directions artistiques de quelques théâtres. Les portraits de douze artistes émergent·es côtoient l'inventaire de compagnies de création en théâtre et en danse récemment établies. JEU s'intéresse aux initiatives visant à renouveler les publics, aux débouchés s'offrant aux finissants des études supérieures en théâtre de marionnettes, puis aux courants queer et néo-burlesque. Enfin, une prise de parole féministe de Marilyn Perreault et la mise en valeur de jeunes artistes autochtones, une entrevue avec Louise Lecavalier et un hommage à Andrée Lachapelle par Sylvie Drapeau complètent le menu. ( source : JEU)
Cet automne, JEU, revue de théâtre, propose un numéro mettant en lumière le travail et l'apport de la metteure en scène Brigitte Haentjens dans le milieu théâtral. Codirigé par Sophie Pouliot et Philippe Mangerel, cette édition regroupe les témoignages éloquents de la poète Louise Dupré ainsi que d'Alice Pascual, Christian Lapointe, Catherine Vidal et Olivier Kemeid, artistes dont les parcours ont été marqués par l'influence d'Haentjens. Son complice de longue date, l'acteur Sébastien Ricard, lui adresse aussi une lettre rendant hommage à sa démarche à la fois artistique, sociale et politique. La revue se penche aussi sur son oeuvre littéraire et son approche créative, et le dossier se clôt par une correspondance captivante entre Brigitte Haentjens et son successeur à la direction du Théâtre français du Centre national des Arts, Mani Soleymanlou. (source : JEU, revue de théâtre)
Après la pandémie, notre théâtre saura-t-il se relever et retrouver son ampleur, son dynamisme, son rayonnement ? Ce dossier « Renaissance » de la revue JEU traite de mémoire et de transmission, de deuil et de guérison, de filiation et de rupture générationnelle, d'espoir et de renouveau. D'une part, on y jette un regard sur des traumatismes sociaux vécus par l'humanité au cours de son histoire ; d'autre part, on y cherche dans notre passé récent des réponses d'artistes aux maux de l'ici et après, notamment celles et ceux dont la longévité au théâtre contribue à nous éclairer. Michel Vaïs y fait une confession audacieuse sur le retour en salle, à laquelle répondent quelques témoignages du public. On y donne la parole à des interprètes qui persistent et signent malgré « l'outrage des ans », dont Louise Laprade - qui partage la couverture avec François Grisé, créateur de Tout inclus, et Lydie Dubuisson, fière représentante de la génération montante. (source : JEU)
Coordonné par Sara Dion, le dossier de ce numéro est consacré au répertoire théâtral québécois. Sarah Berthiaume, Jean-Denis Beaudoin, Édith Patenaude et Guillaume Corbeil font partie des créateurs qui ont accepté de se pencher sur le sort de pièces signées par des auteurs comme Marcel Dubé, Françoise Loranger, René-Daniel Dubois et Jovette Marchessault. Hors dossier, on trouve notamment un appel à l'audace signé Paul Lefebvre, mais aussi des entretiens avec Daniel Wetzel, du collectif berlinois Rimini Protokoll, et Anne Teresa De Keersmaeker, célèbre chorégraphe flamande.
Cet hiver, la revue JEU vous propose un dossier sur le comédien et metteur en scène René Richard-Cyr. Au menu, entretien avec l'homme de théâtre, portrait de son travail de mise en scène par les acteur·rices dont il a assuré la direction et articles sur son rapport à l'oeuvre de Michel Tremblay, à la dramaturgie, au théâtre musical, à l'interprétation. Hors-dossier, trouvez du théâtre porté à l'écran, un hommage à André Brassard et à la directrice sortante du Théâtre CRI, un article sur la marionnette pour adultes et un sur les artistes de la neurodiversité. Le numéro propose également deux profils, celui du conseiller dramaturgique William Durbau et du comédien Mustapha Aramis. La rubrique À suivre, elle, vous signale des oeuvres en tournée et des démarches artistiques qui auraient pu vous échapper.
Avec son dossier de l'hiver « Engagement et éc(h)o », JEU explore divers aspects du théâtre récent, où les questions environnementales ont surgi, en lien avec notre rôle citoyen. Anne-Marie Cousineau analyse les spectacles Bande de bouffons et Hidden Paradise, et Ralph Elawani annonce l'ère de l'écoconception. Dave Jenniss relate l'enseignement spécifique offert aux jeunes artistes autochtones par la compagnie Ondinnok, alors qu'Esther Thomas réfléchit sur le caractère politique du théâtre au Québec. Marie Labrecque répertorie des oeuvres aux enjeux écologiques et interroge François Archambault, auteur de Pétrole. Chantal Bilodeau explique son initiative internationale, Climate Change Theatre Action, et Normand Baillargeon se penche sur l'écoanxiété et les moyens de la contrer. Christine Beaulieu (en couverture) accorde un long entretien, Thomas Duret en appelle à la désobéissance, et les 50 ans du Black Theatre Workshop sont soulignés. Enfin, Philippe Couture analyse les retombées de l'annulation du Festival d'Avignon 2020 et Guylaine Massoutre rencontre le chorégraphe Édouard Lock. (source : JEU)
Source d'information, d'émerveillement, de plaisir et de stimulation intellectuelle, la littérature s'avère un filon considérable d'inspiration pour les artistes des arts vivants. C'est pourquoi l'édition printanière de Jeu se consacre au rapport entre scène et littérature. À la une, Fanny Britt et Jean-Philippe Baril Guérard, tous deux dramaturges et romanciers, livrent un échange épistolaire sur les spécificités du geste d'écrire, pour la scène ou pour le livre. Pierre Yves Lemieux, lui, expose sa démarche d'adaptation d'oeuvres littéraires, qu'il qualifie de « transcréation ». Puis, Marie-Christiane Hellot tente de cerner en quoi la figure de l'écrivain constitue une matière théâtrale inspirante. Hors dossier, James Oscar pose la question de la diversité au Festival TransAmérique et Jeu présente une enseignante au secondaire, qui utilise le théâtre pour faciliter l'intégration d'élèves en classes d'accueil, et un metteur en scène new-yorkais qui, par le biais de la tragédie grecque, favorise la résilience de toxicomanes, de soldats et de victimes de catastrophes naturelles.
Codirigé par Raymond Bertin et Christian Saint-Pierre, le dossier de ce numéro est consacré à la liberté d'expression, sujet brûlant s'il en est. Cette liberté de dire, de créer, de déranger, de provoquer n'est jamais garantie, toujours à conquérir et à protéger. Nous nous intéressons ici aux limites de la liberté d'expression dans la création artistique. N'est-il pas dans les fonctions mêmes de l'art de repousser, de tester, d'interroger ces limites? Hors dossier, on trouve notamment un coup de gueule de Carmen Jolin, une Carte blanche à Simon Boulerice, un entretien avec Catherine-Anne Toupin, et la recension d'une biographie de Paul Buissonneau.
Dirigé par Michelle Chanonat, le dossier de ce numéro estival de la revue JEU est consacré à Christian Lapointe, un créateur hors pair, qui fait l'objet de témoignages par les témoins directs de son travail. Qu'il s'agisse d'auteurs dont il a monté les textes, de comédiens, de concepteurs, d'une conseillère dramaturgique ou d'une metteuse en scène ayant travaillé avec lui, tous et toutes rendent compte d'une approche innovante, sans concessions. Hors dossier, on lira un texte sur le sexisme en danse dans la foulée du mouvement #MoiAussi, un entretien avec Daniel Danis dont la pièce Cardamone est créée aux Coups de théâtre et un portrait de la conceptrice Julie Vallée-Léger.
Sous la direction de Raymond Bertin, le dossier du numéro d'hiver de la revue JEU «Formation de l'acteur et de l'actrice », explore les différentes approches et méthodes d'enseignement du jeu. On y fait le tour des grandes écoles, mais également des nombreuses offres de formation continue - ateliers, stages, classes de maître - s'adressant aux interprètes de la scène. Ralph Elawani y signe une enquête sur l'affaire Sicotte et ses retombées, un an après. Dans son Coup de gueule, Jean-Philippe Baril Guérard plaide pour un enseignement du jeu non genré. Lise Roy (en couverture de ce numéro) évoque son amour des auteurs nordiques et ses visites dans les écoles de théâtre de Stockholm. Enfin, on dresse les portraits des chorégraphes iconoclastes Raimund Hoghe et Andrew Tay, de l'Odin Teatret et du concepteur Cédric Delorme-Bouchard
Dirigé par Raymond Bertin, le dossier de ce numéro s'intéresse à celles et à ceux sans qui les arts du spectacle vivant perdraient leur raison d'être. Au fil des ans, les publics changent, se renouvellent, se maintiennent. Leur composition, leurs motivations, leur développement, leur satisfaction font ici l'objet de réflexions et de témoignages. Hors dossier, on trouve notamment un plaidoyer des Femmes pour l'Équité en Théâtre qui révèle des chiffres effarants, un entretien avec la comédienne et auteure Rachel Graton et un hommage à la grande Janine Sutto signé Alexis Martin.
Dirigé par Michelle Chanonat, le dossier de ce numéro est consacré à la représentation de la mort au théâtre. Indicible, inénarrable et irreprésentable, la qualifiait le philosophe Vladimir Jankélévitch. La mort est un des tabous les plus forts des temps modernes. Le théâtre serait-il le dernier endroit où l'on en parle, où on la représente, où on la figure? Sont notamment abordées les démarches de Marcel Pomerlo, Denis Lavalou, Rabih Mroué, Lina Saneh, Denise Guilbault, Michel Nadeau et Pier-Luc Lasalle. Hors dossier, on trouve entre autres un récit de voyage signé Annick Lefebvre et Olivier Sylvestre, une entrevue avec Akram Khan et un portrait de Ivan Viripaev.
Dirigé par Catherine Cyr, le dossier de ce numéro est consacré aux corps atypiques. Le corps « normal » est une fiction. Au carrefour des discours sociaux et des représentations imaginaires, entre le corps standardisé du monde de la mode et celui, supposément neutre, de la médecine, s'érigent des morphologies plurielles, composites. Sont notamment évoquées les démarches de Romeo Castellucci et Sébastien David. Parmi les créateurs à qui on donne la parole, mentionnons Debbie Lynch-White, Menka Nagrani et Catherine Bourgeois. Hors dossier, on trouve notamment des textes de Dave St-Pierre et de René-Daniel Dubois, ainsi qu'un entretien avec le metteur en scène torontois Chris Abraham.
Après les vacances d'été, les auteurs et illustrateurs se remettent au travail la tête remplie d'images et de souvenirs qui inspireront sans doute leur prochain ouvrage. Ce thème colore l'article de Myriam de Repentigny intitulé « Les écrivains voyageurs » en soulignant les liens qui se tissent bien souvent entre la pulsion d'aventure et de dépaysement et l'écriture. D'autre part, la chronique d'Isabelle Crépeau nous fait découvrir le grand voyageur Marc Laberge, auteur et fondateur du Festival interculturel du conte du Québec. Le numéro d'automne est aussi l'occasion pour l'équipe de Lurelu de partager ses coups de coeur, dont plusieurs titres se retrouvent à l'honneur en tant que finalistes des nombreux prix littéraires de l'automne.
Chez Lurelu, l'automne est la saison des coups de coeur. Parmi ceux des collaborateurs de cette édition, un livre se distingue : Le lion et l'oiseau de Marianne Dubuc. Cette illustratrice de talent fait aussi l'objet d'une entrevue avec Isabelle Crépeau et ses oeuvres sont étudiées dans la chronique « Des livres à exploiter ». D'autres articles intéressants se bousculent au sommaire, notamment celui sur les plus récentes adaptations de romans jeunesse au cinéma, ou celui sur les auteurs « pour adultes » qui s'aventurent du côté du livre jeunesse. De plus, sous la plume de Raymond Bertin, nous découvrons le parcours et le talent multiforme de Marilyn Perreault qui se dit inquiète pour l'avenir du théâtre jeunes publics.
La revue s'ouvre sur un sujet plutôt tabou : la nudité dans les albums jeunesse. Aborder le sujet sans détour et avec humour, ou s'autocensurer pour éviter les critiques des parents et du milieu scolaire? Andrée Poulin s'est penchée sur la question en recueillant les témoignages d'auteurs et illustrateurs, éditeurs et lecteurs. En entrevue, Isabelle Crépeau retrace le parcours de carrière de Pierrette Dubé, auteure de 17 livres jeunesse, depuis la réception de deux prix lors de la première édition du concours littéraire de Lurelu en 1986. À ce propos, « Les prix, ça ne change pas le monde, sauf que... » s'intéresse aux retombées et aux impacts véritables sur la carrière des lauréats. Puis, bien que beaucoup d'encre ait déjà coulé à ce sujet, la crise du livre perdure et Lurelu analyse cette fois-ci les chiffres, les salaires des auteurs étant en chute libre depuis plusieurs années.
La prolifération des écrans et des divertissements fait la vie dure à la lecture. Cette dernière a-t-elle un avenir chez les jeunes? La collaboratrice Andrée Poulin s'est penchée sur la question et dresse un portrait des habitudes de lecture chez les enfants de tous âges dans un dossier fouillé de sept pages. En entrevue, l'illustrateur Roger Girard, mieux connu sous son nom de plume « Rogé », nous parle de son parcours et de son engagement envers les enfants d'ici et d'ailleurs, comme en témoigne son album Mingan, mon village, couronné de succès en 2013. À découvrir aussi, l'univers du Théâtre jeunesse Les Gros becs, situé à Québec, tel que raconté par sa directrice Louise Allaire.
Dirigé par Christian Saint-Pierre, le dossier de ce numéro est consacré à la représentation scénique des réseaux sociaux. Qu'est-ce que Facebook, YouTube, Twitter, Skype, Instagram et même les jeux vidéo en ligne ont changé au théâtre ? La question est étudiée sous toutes ses coutures, du fond à la forme, en passant par le social, toujours d'un point de vue québécois et, le plus souvent, par les créateurs eux-mêmes. Parmi les spectacles dont il est question, mentionnons Cinq visages pour Camille Brunelle, Le ishow, Noyade(S) et Chatroom. Hors dossier, on trouve notamment des entretiens avec Gideon Arthurs, nouveau directeur de l'École nationale de théâtre, la metteure en scène Brigitte Haentjens et le comédien Guillaume Cyr.
Fonfon, La Smala, Druide, Bambou, Plume et Sarcelle... Dix maisons d'éditions se consacrant aux livres jeunesses ont vu le jour en cinq ans. Pourquoi une telle prolifération de petites enseignes alors que le marché est saturé depuis un bon moment? Lurelu s'est intéressé à ce qui motive les personnes à se lancer dans l'édition jeunesse au Québec. En entrevue, l'écrivaine Linda Amyot, dont les deux romans jeunesse ont été doublement primé, nous parle de son processus d'écriture, de ses liens avec les jeunes lecteurs et de sa relation avec la critique. À découvrir aussi dans ce numéro, la 10e édition du festival Petits bonheurs qui se consacre aux spectacles pour les tout-petits, le texte gagnant du premier prix, catégorie 10 ans et plus, du concours littéraire Lurelu 2014 ainsi qu'une section critique bien remplie avec près de 160 publications recensées.
Est-ce que le droit d'auteur est toujours respecté en milieu scolaire? Une collaboratrice de Lurelu en a discuté avec certains éditeurs et créateurs. Les activités pour jeunes de Bibliothèque et Archives nationales du Québec font l'objet d'une chronique et d'un article. Par ailleurs, divers éditeurs accordent des entrevues dans ce numéro d'hiver : Frédéric Gauthier et Martin Brault, de La Pastèque, de même qu'Yves Nadon et France Leduc, fondateurs de la toute nouvelle maison «D'eux». Quant à Marie-Fleurette Beaudoin, elle parle de la difficulté de produire des livres-disques, chez Planète rebelle, éditeur spécialisé dans le conte. Les divers prix littéraires décernés l'automne dernier font l'objet des trois pages d'«À l'honneur» et un article dresse le bilan des quarante années des Prix littéraires du Gouverneur général.
Dirigé par Emilie Jobin, le dossier de ce numéro est consacré aux nouveaux territoires féministes. Alors que s'opère une authentique résurgence de la pratique féministe en théâtre et en danse, nous donnons la parole à de jeunes créatrices et créateurs du Québec dont le féminisme se conjugue au présent. Mentionnons Elkahna Talbi (alias Queen Ka), Annick Lefebvre, Anne-Marie Olivier, Philippe Dumaine, Marie-Ève Milot, Marie-Pier Labrecque et Dana Gingras. Hors dossier, il est entre autres question de Dominic Champagne, Angela Konrad, Annabel Soutar et Yves Sauvageau.