Plon (réédition numérique FeniXX)
-
Marchands d'art
Yves Stavridès, Daniel Wildenstein
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 6 Avril 2020
- 9782259290388
Ce ne sont ni des mémoires ni une somme autobiographique. C'est juste un homme qui parle. Mais pas n'importe qui : Daniel Wildenstein, 82 ans, empereur et patriarche des marchands d'art. Basée à New York, la Wildenstein Inc. s'adosse à un stock évalué en milliards de dollars, qui balise près de six siècles de peinture. Petit-fils de Nathan, fils de Georges, « Monsieur Daniel » - c'est ainsi qu'on l'appelle à son institut ou sur les hippodromes - est donc le troisième maillon de la dynastie de marchands de tableaux la plus puissante au monde, et la plus secrète qui soit. Depuis près d'un demi-siècle, et du bout des lèvres, Daniel Wildenstein n'acceptait de parler que de ses chevaux. De rien d'autre. Il ne répondait à aucune question, à aucune attaque, à aucune polémique. Une véritable abstraction vivante. Pour la première fois de son existence, il a brisé son mutisme légendaire. Aujourd'hui, il nous raconte « quelques petites choses vues, entendues ou vécues ». Passent alors dans le paysage : Clemenceau, Picasso, Maurice de Rothschild, Randolph Hearst, Bonnard, Malraux, Paul VI et « quelques » autres... Daniel Wildenstein nous convie à une promenade intime, à travers des instants de sa vie, des portraits, des récits, des éclairages, des révélations, des réflexions. Et promène son oeil aigu de faucon pèlerin sur la fabuleuse planète des arts.
-
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
-
Le tourment du voyageur
Yves-Marie Rudel
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 11 Mars 2019
- 9782259272063
Bernard Hovène, voyageur de commerce bon vivant a, depuis plus de dix ans, rompu avec sa femme Solange. Il promène à travers la province sa satisfaction de soi-même et des autres, livré aux plaisirs de rencontre, lorsque, brusquement, un soir, dans un village de Bretagne, il est terrassé par un infarctus. Transporté au plus près, il est soigné efficacement dans le parloir d'une abbaye cistercienne. Son retour à la vie normale ne se fera pas sans peine, c'est moralement surtout que Bernard Hovène est frappé, au point qu'il repense sa vie et s'interroge sur la signification de son foudroiement. La peur s'est insinuée dans son esprit et dans ses moelles. Elle le ramène à l'abbaye du Relec où il a été naguère recueilli. Or, s'il comprend à quel point il s'est égaré dans sa recherche du bonheur, il n'est pas prêt à ployer les genoux. Il lui semble nécessaire, au préalable, de se réconcilier avec les siens et de rechercher les causes les plus lointaines de sa chute. Sur le premier point, l'échec le guette, car Solange refuse de croire à son repentir ; sur le second, son fils Guy lui fournira la clé du problème ; mais il faudra à Bernard Hovène, pour l'éclairer, un second avertissement, plus dramatique encore que le premier. Dans cette quête de l'âme à laquelle Yves-Marie Rudel nous convie à travers les épreuves d'un personnage qui nous ressemble, nous rencontrons de vivantes figures d'hommes et de femmes : Joseph et Nina, les vieux baladins ; Gervaise, une amie au coeur simple ; Frère Eugène et ses compagnons de silence. Tous acteurs d'un drame qui nous requiert, corps et âmes.
-
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
-
Tu ne seras pas médecin, mon fils !
Jean-Yves Neveux
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 25 Mars 2020
- 9782259297851
« Ce qu'est devenu mon métier me désole : j'ai envie d'en parler en levant le ton. Ma carrière est accomplie, je suis à quatre ans de la fin de mon parcours, et je n'ai rien à perdre. Je vais donc vous raconter ce que je pense de la médecine, et de la façon dont on la pratique désormais. Ce qui prime pour moi, c'est la qualité de cette profession que j'ai aimée avec passion. » Ainsi commence le livre du professeur Jean-Yves Neveux. L'année dernière, pour des raisons de budget trop tôt épuisé, il a dû ajourner des malades et retarder des opérations. Par chance, aucun d'eux n'est mort, mais cette interruption forcée lui a laissé un goût amer. Il a pu méditer sur la qualité et la morale de son métier. Voici donc ses méditations, sur le ton d'un récit alerte et rapide. Tout y passe, depuis ses interminables études, jusqu'à la faillite de la Sécu, en passant par le rôle à venir des assureurs privés, le regroupement des hôpitaux, la fermeture des lits, les remboursements absurdes, ou les lenteurs de l'administration. Sans jargon, il pose des questions et y répond, nous apprend comment un hôpital pourrait gagner de l'argent, ou comment notre système encourage l'immobilisme. Au fil du texte, il nous livre ses espoirs autant que ses doutes.
-
Le drame de Vichy (2). Finances sous la contrainte
Yves Bouthillier
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 13 Mars 2020
- 9782259303439
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
-
Les Maîtres de granit
Yves Pourcher
- FeniXX réédition numérique (Plon)
- Civilisations et mentalités
- 11 Juin 2016
- 9782402345583
En Lozère, la terre, la religion et la parenté tiennent les hommes d'une main de fer. L'ordre du granit fixe les droits et les rangs. Les maîtres du pays grandissent sur les domaines, et commandent dans la langue des paysans. Alors, dans l'aire du clocher et du château, les siècles s'usent sans rien changer.
Être notable sur cette terre de granit, c'est se soumettre à des rites, et veiller à ne jamais déroger. Yves Pourcher retrace, depuis le XVIIIe siècle - et jusqu'aux années les plus récentes - le parcours initiatique de ces élites, accompli sous la tutelle vigilante de l'Église et des familles. Il nous montre leur extraordinaire capacité de résistance aux grands chocs historiques qui ébranlent la France. La justice change ? Ici les coutumes l'emportent. La conscription réclame des hommes pour les armées du roi, de l'empereur ou de la République ? On la fuit. Il faut monter à Paris pour réussir. Chacun garde un bout de terre, car le Lozérien sait trop le prix des choses pour les abandonner. Et du village au canton, des lignées politiques se forment dans les passions électorales. Ici les Chambrun, les Las Cases, et là les Giscard, Ramadier et autres Mendras se succèdent de père en fils comme maire, conseiller général ou député.
Telle est cette Lozère des notables, conservatoire étonnant des coutumes qui semblent d'un autre âge. Le livre d'Yves Pourcher a été couronné par l'Académie française et l'Académie italienne. Cette nouvelle édition, remaniée et augmentée, a été publiée avec le soutien du Conseil général de la Lozère. -
Pour beaucoup de nos contemporains qui eurent vingt ans en 1940, l'an premier du XXe siècle fut cette année-là. Lorsque commence l'histoire de la France moderne, Fabien Sénégal a quatorze ans. Si jeune, il a déjà décidé de gagner la guerre, en ne la faisant pas. Jusqu'à la paix retrouvée, il demeurera ce qu'il est : un adolescent au corps d'adulte, produit des immoralités du temps, devenu homme avant son âge. Un irresponsable éternel, né pour jouer et pour jouir, non pour souffrir et mourir. Ainsi, quand il a affronté la puberté, ce n'est pas de l'éveil des sens qu'il s'est agi pour Fabien, mais de toute la violence des sens éveillés, qui hors de lui le projette. "Je serai un mineur détournable à merci, s'exclame-t-il. Je serai le mineur le plus détourné de France." Paroles, bulles de savon irisées, auxquelles la vie va se charger - en les chassant ou en les crevant - d'infliger démenti. Fabien Sénégal a dix-sept ans, lorsqu'il rencontre la plus grande passion qu'un jeune homme puisse connaître : figure de proue d'une dynastie forestière, Valérie Dardemonge est la femme de trente ans dont il a toujours rêvé. Il la rend folle, et elle le lui rend bien, sous le regard somnolent mais aigu des serpents - maîtres des lieux - et d'un enfant sorcier qui les charme et qui - lui - est le maître du destin.
Avec « L'Empire des serpents », vaste tableau de moeurs provinciales sous l'Occupation, Yves Salgues renoue d'une plume vigoureuse et sensuelle avec le roman. Journaliste écrivain, son livre L'Héroïne (1987) avait été salué par la presse unanime comme le meilleur témoignage jamais publié sur la toxicomanie. -
La Terre d'Arnhem
Yves Buin
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- Série grise
- 9 Octobre 2015
- 9782259235136
La terre d'Arnhem est située aux confins du Territoire du Nord de l'Australie. Région tropicale, peu hospitalière, elle possède, en son centre, la plus grande mine d'uranium du monde. Mais elle est, avant tout, un des lieux sacrés des Aborigènes, dont les premières traces, ici, remontent à cinquante mille ans. Excepté quelques rares autorisations, les Blancs ne sont pas admis à y pénétrer. Ainsi, en ce lointain austral ouvrant à tous les imaginaires, existe une terre inaccessible. Souvent, l'artiste entrevoit la beauté sans l'atteindre, et ce que désigne son art demeure, lui aussi, inaccessible. De cela, il vit ou meurt. Et Rimbaud disparaît dans son désert. Chacun à sa façon ne cherche-t-il pas sa Terre d'Arnhem ? Le siècle s'est coupé en deux, voici le temps de l'homme sans origine. Mais la Terre d'Arnhem interdite appelle une libre géographie de la mémoire. Elle n'est rien d'autre que ce point lumineux qu'André Breton a défini par une magistrale sentence : Tout porte à croire qu'il existe un certain point de l'esprit, où la vie et la mort, le réel et l'imaginaire, le passé et le futur, le communicable et l'incommunicable, le haut et le bas cessent d'être perçus contradictoirement. Sur ces terres en friche, où l'artiste a rejoint la géologie du monde, de souvenir en libre association, s'organise la dérive en poésie.
-
Renan a été le maître à penser de générations de Français. Détesté par les bien-pensants, admiré par les républicains, suspecté par les notables, encensé par les savants du monde entier, Renan incarne le prototype de l'intellectuel triomphant.
Sa « Vie de Jésus » est un best-seller de l'édition européenne, en même temps qu'elle déclenche le plus grand scandale des années 1860. Ses démêlés avec Napoléon III et Eugénie, ses polémiques avec les ultras du catholicisme, passionnent l'opinion française, à tel point que son premier cours - au Collège de France - se tient à guichets fermés.
Francis Mercury retrace l'exceptionnel itinéraire de l'enfant de Tréguier, aussi amoureux de sa Bretagne, que des sites funéraires d'Égypte et du Liban. À côté du Renan visionnaire du monde contemporain dans « Histoire du peuple d'Israël » ou dans « L'avenir de la science », se dessine le portrait d'un savant génial, pour qui "le plus haut degré de culture est de comprendre l'humanité". -
Roger Vailland ou un Libertin au regard froid
Yves Courrière
- FeniXX réédition numérique (Plon)
- 11 Juin 2016
- 9782402340519
Dr Jekyll ou M. Hyde, bolchevik ou libertin, amateur de "licornes" à peine pubères, ou de putains expérimentées, admirateur de Stendhal, Flaubert, Sade et Choderlos de Laclos, homme du XVIIIe siècle, mais témoin passionné des bouleversements de son temps, Roger Vailland est, par la pureté de sa langue et la rigueur de sa pensée, l'un des écrivains français les plus importants de notre époque troublée.
Naissance dans l'Oise en 1907, enfance parisienne, adolescence à Reims, fondateur, avec René Daumal et Roger Gilbert-Lecomte, de la revue le Grand Jeu, considéré puis rejeté par André Breton et Louis Aragon qui se révèlent ses ennemis attentifs dès 1929, Vailland, persuadé de sa vocation littéraire, et ami de Pierre Lazareff à Paris-Soir, se fait d'abord journaliste, toujours prêt, mais en vain, à écrire le grand oeuvre qui le fera sortir de l'anonymat.
La guerre lui sert de révélateur. D'abord tenté par la collaboration, comme Marcel Déat qui fut son professeur de philosophie à Reims, ou Robert Brasillach, son compagnon de khâgne au lycée Louis-le-Grand, il se reprend bien vite, entre dans la Résistance, et dirige - à Paris - un réseau de renseignement, dont l'état-major de Londres reconnaîtra les mérites. L'expérience servira de trame à « Drôle de jeu », son premier roman, prix Interallié en 1945, et qui fait entrer d'emblée Roger Vailland parmi les grands écrivains du demi-siècle. D'autres romans lui vaudront un public d'une fidélité absolue : les Mauvais Coups, Bon pied, bon oeil, Un jeune homme seul, Beau Masque, 325 000 francs, la Loi, la Fête, la Truite, presque tous portés au cinéma dont, durant deux décennies, Roger Vailland sera un des scénaristes dialoguistes les plus appréciés.
Un homme aussi complexe et attachant ne pouvait résister à la joie d'entrer au Parti communiste, dont l'aura séduisit l'intelligentsia de l'après-guerre. Il en sortira lorsque Nikita Khrouchtchev dévoilera, en 1956, l'étendue des crimes de Staline, et que les troupes soviétiques materont, férocement, la révolte de Budapest.
Romantique et cynique, surréaliste et classique, Roger Vailland fut un de ces "grands formats" littéraires, dont Yves Courrière (la Guerre d'Algérie, Des toques et des étoiles, Normandie-Niemen, Joseph Kessel ou Sur la piste du lion) aime faire découvrir le cheminement à ses lecteurs. -
Le Fardeau de la mémoire
Pierre-Yves Gaudard
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- Civilisations et mentalités
- 24 Août 2015
- 9782259237598
Le passé national-socialiste pèse très lourdement sur les Allemands. En effet, c'est en leur nom, et avec la complicité plus ou moins active de beaucoup d'entre eux, que les crimes les plus abominables de l'histoire de l'humanité ont été commis. Et même si, aujourd'hui, 70 pour cent d'entre eux sont nés après 1945, la terrible interrogation subsiste : comment nous, Allemands, avons-nous pu faire ou laisser faire cela ? Tout un peuple est ainsi sommé, de l'extérieur et aussi en lui-même, de faire face à cette question. La douleur qu'elle provoque, depuis cinquante ans, engendre des effets dévastateurs. Cet héritage de culpabilité, qui empoisonne les rapports entre les générations allemandes, explique, pour une bonne part, le mouvement terroriste de la bande à Baader, ainsi que certaines manifestations d'antisionisme. Le travail de deuil collectif a aussi alimenté les mouvements féministe et écolo-pacifiste, si puissants outre-Rhin. La réunification n'a pas mis un terme à ce processus psychique, social et politique.
-
Frère de Louis XVI, le comte d'Artois, jeune prince débauché, inaugure - avec sa cour - les salles à manger de son château de Maisons. Un valet à la Fragonard, mélange de Candide et de Figaro, nous raconte sa journée au service de ces aristocrates adonnés à leurs rituels extravagants, aux plaisirs et au vice.
S'inspirant d'une journée authentique, à quelques années de la Révolution, l'auteur plonge son espiègle valet dans un univers de luxe démesuré, d'or et de pompe, où les repas sont sans fin, la « bouche » d'un raffinement inouï, les dames sans vertu et les princes sans grandeur.
On joue des sommes astronomiques ; les joutes amoureuses baignent dans la perversité ; comédiens et comédiennes du Français régalent leurs hôtes de farces grasses et triviales.
Les frasques que l'on découvre des coulisses, au hasard des salons et des alcôves de Maisons, s'achèvent en huis clos pathétique.
D'une fidélité minutieuse aux manières et au langage de l'époque, ce roman vrai sur les ultimes feux d'une société de cour, précipitant sa chute en débordements surannés, réjouira les passionnés du XVIIIe siècle et tous ceux qui, des « Liaisons dangereuses » à « Barry Lyndon », « Ridicule » ou « Que la fête commence », parent ce monde finissant d'un parfum inoubliable. -
Des toques et des étoiles
Yves Courrière
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 16 Juin 2016
- 9782259233378
Ce n'est pas un hasard si Antoine Coste qui, depuis son adolescence, vit "la toque dans les étoiles", est devenu l'un des plus grands chefs de notre temps, et si son restaurant "À Marie Aubarède" jouit d'une réputation internationale reconnue par les plus grands critiques gastronomiques, et la très sérieuse Encyclopédie universelle.
Une grand-mère merveilleuse - la fameuse Marie Aubarède, qui a créé, à la fin du XIXe siècle, un petit restaurant de rouliers sur le Causse, au-dessus de Brive, et a, au fil des années, magnifié la "cuisine de bonne femme" -, un père chef de partie dans l'ultra classique grande brigade du Régina de l'avenue Montaigne, lui a tracé la voie : il sera le troisième cuisinier de la dynastie.
C'est la saga de cette famille, qui n'existe que pour l'amour du bien-manger, qu'Yves Courrière nous conte avec tendresse et enthousiasme. Pour la première fois, un romancier nous fait pénétrer dans le monde secret - et farouchement défendu - des coulisses de la grande cuisine.
Cette oeuvre, saluée par la critique et nombre de grands restaurateurs, a reçu le Grand Prix International de littérature gastronomique et est, aujourd'hui, adaptée pour la télévision par Pathé-Cinéma et Antenne 2, dans une série de six épisodes aussi passionnants que gourmands, réalisés par Roger Pigault. -
Les Excès de la passion
Yves Courrière
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 25 Septembre 2015
- 9782259233668
Benoît Travail, ancien ouvrier agricole, est devenu - à cinquante ans passés - le riche homme de Maricy-les-Grand'Pierres, petit village paisible du Beaujolais. Âpre au gain, brutal, jouisseur, il n'a qu'un amour dans sa vie : la vigne. Du moins le croit-il, jusqu'à l'arrivée de Marietta, sa jeune belle-soeur, que la nature a dotée d'un corps parfait et accueillant, et d'un cerveau qui cliquette comme un tiroir-caisse. Jean Jordan, journaliste connu, romancier à gros tirage, s'est réfugié aux Grand'Pierres pour tenter de s'autoguérir par l'écriture de la passion malheureuse qui le lie à sa trop riche épouse, Leticia. Loin des bruits du monde, il est, enfin, à l'abri des excès de la passion, et attend sereinement les grands vents d'équinoxe de la quarantaine. Bientôt, les façades se lézardent, et les fils du destin des deux hommes se nouent brutalement, justifiant la réflexion désabusée d'Alphonse Copinot, cantonnier philosophe, qui observe avec intérêt la quête désespérée de ces deux hommes apparemment comblés par la vie : Jadis c'était le cul et la religion qui menaient le monde, aujourd'hui c'est le cul et le fric.
-
Le général Delestraint
François Yves-Guillin
- Plon (réédition numérique FeniXX)
- 22 Mai 2020
- 9782259288088
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.