Monique me fait signe de la suivre, l'air très excitée. Du bout des ongles, elle tire délicatement un rouleau de carton et un orifice se dessine dans la cloison. La jeune femme y plaque son oeil, et sa respiration s'accélère instantanément. Elle vibre de la tête aux pieds. La vue de l'homme, de son sexe en pleine action la galvanise, et une folle envie de participer me prend. Je cherche autour de moi un objet assez gros pour calmer cette fièvre qui peu à peu me creuse les reins.
Je m'inclinai encore un peu et sentis sa main qui se faufilait alertement sous ma robe. Il me troussa alors carrément et tomba à genoux, saisissant mon cul à deux mains. Il enfouit son visage entre mes fesses, me reniflant comme un goret, me léchant fébrilement, prêt à me dévorer, bredouillant et me baisant en même temps.
Je m'appelle Dorothée de Lipschits, descendante d'une vieille famille polonaise. Mes yeux verts, étranges et cruels, recèlent des instincts démoniaques, des connaissances perverses. Ma poitrine est opulente, à la chair dure et ferme. La toison noire de mon sexe surgit, avec la sauvagerie dominatrice, comme la patte noire et velue de quelque bête étouffée entre mes cuisses.
Je m'appelle Régine. Je suis en seconde, au lycée. Mes bras et mes jambes sont encore un peu maigres. Mes seins sont ronds, beaux et bien hauts. Mon pubis se garnit doucement d'une belle toison. Cela fait quelque temps que je me caresse tous les soirs dans mon lit. Quand je vais boire une limonade au Select, je remarque que les hommes me suivent du regard et semblent attendre quelque chose de moi. Allons, il va falloir que je m'enhardisse pour enfin sentir d'autres mains que les miennes sur mon corps.
Sa main m'ouvrit les cuisses, se glissa jusqu'à ma vulve et le contact de sa paume sur mon clitoris eut alors plus d'effet que n'en aurait eu une verge durcie. Ses doigts s'agitèrent dans mon vagin, provoquant une explosion de plaisir qui envahit tout mon corps.
Je gémis sous les doigts, dont je ne sais à qui ils appartiennent, qui s'emparent de mon sexe et de mes seins. Une main se glisse sous mon chemisier, sort les deux globes de chair de la dentelle du soutien-gorge. Une bouche, puis une autre happent mes mamelons, que je sens jaillir sous la caresse.
Toutes les cinq, nous faisions onduler nos corps sur le tapis, et cela faisait comme un énorme serpent qui mord sa queue... Le bruit des claques sur les fesses se mêlait à nos gémissements, nos sexes étaient pleins de liqueur ; chaque partie sensible de nos corps était occupée par un instrument de plaisir : c'était merveilleux. Le temps n'existait plus...
Je me suis assise dans mon lit après avoir remonté l'oreiller dans mon dos. Evelyne est toujours nue. Je ne peux m'empêcher de trouver jolie la courbe de ses seins : fermes, blancs avec une petite pointe brune, toujours en quête de caresses, de baisers, de plaisirs, tendre chair chaude et douce, fruits à la peau veloutée, délicieux...
L'idée qu'une grosse verge bien noueuse pourrait se glisser entre ses cuisses ramena Christiane à des idées polissonnes. Sans même réfléchir, avec cet instinct de petites filles perverses, elle commença à se chatouiller doucement. Puis elle introduisit son doigt dans la fente mouillée, qu'elle agita, fermant les yeux et imaginant qu'un garçon la violait avec brutalité.
Pierre dut trouver que mes seins avaient suffisamment bénéficié de l'attention de sa langue. Il la fit descendre jusqu'au nombril. La pointe de la langue le lécha, le piqua comme si elle avait voulu le transpercer. Lasse de jouer avec lui, elle alla rendre visite à mes hanches, pour revenir ensuite au centre de mon ventre. A force de glisser elle arriva vers le bas, à la lisière de ma toison. Elle se perdit un moment parmi les poils. Enfin elle entra en contact avec ma fente.