Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
En Sologne, il a fallu dix ans à l'Inventaire général pour venir à bout de l'exploration systématique et minutieuse d'un territoire vaste de 5000 km2. L'ouvrage n'expose pas la totalité des résultats mais livre une présentation raisonnée sur une seule des catégories d'oeuvres répertoriées, les châteaux.
Organisation générale des opérations funéraires. Formation professionnelle dans le domaine du funéraire. Exemples réels de documents juridiques relatifs aux opérations funéraires
Burlesque et onirique, ce conte politique met en scène, comme un opéra, une aventure africaine : celle d'un jeune français envoyé en mission auprès d'un président noir pour un projet purement technique. Comment il éprouve d'abord le plus grand mal à rencontrer les vrais responsables ; comment, entre le potentat et le Français, s'établissent d'étranges connivences et une certaine estime ; comment le jeune homme déjoue un complot : voilà de quoi est faite la matière du livre. Le président est loin du fantoche attendu, mais il règne sur un pays minuscule, d'une extrême pauvreté, incapable, non seulement de jamais jouer le moindre rôle international, mais encore de subvenir à ses propres besoins. Il se réfugie donc dans le despotisme et le faste, dans le discours et le verbe. Le livre glisse ainsi rapidement du dialogue initial au monologue du prince, dans une atmosphère merveilleuse et bizarre de sieste constamment interrompue et reprise, où les événements ne s'articulent pas comme il faudrait, où personne ne vit d'une manière très confortable tout en étant très entouré, où la police, bien que discrète, est omniprésente, où tout tourne vite au rêve et au mauvais rêve. Dans un style jamais naturaliste, légèrement surchargé comme le sont les effets d'opéra, ce beau livre inquiet est, au-delà du conte ou de son prolongement, une allégorie, celle de la connaissance, de cette tendance que nous avons tous d'aller vers l'Entrée, comme les dieux qui montent une passerelle en forme d'arc-en-ciel dans L'Or du Rhin, mais qui montent sans nous, alors qu'ils sont habillés comme nous et qu'ils nous ressemblent.
l'émotion - la surprise, la beauté -, au moment où l'image s'arrête, et devient légendaire (digne d'être dite). Or miraculeusement l'image ainsi libérée rencontre le réel : je saisis mieux, oui, je comprends, maintenant. Le livre fonctionne donc à la manière d'un modèle cybernétique : la simulation permet non seulement de mieux comprendre le réel, et de le montrer, mais de le retrouver tout entier, en le devançant. Par elle, le passé cesse d'être caduc, le temps n'est plus coupé en tranches indépendantes : la richesse feuilletée du monde et de ses personnages, modelée par la fiction, nous apparaît enfin.
Pour les peuples de la taïga, Toungouses et Iakoutes, la chasse est un mode de vie où les humains sont en relation d'échange avec les animaux et leurs esprits. Un photographe et un anthropologue rendent sensibles les liens entre ces deux horizons, celui de l'espace naturel, celui de l'expérience humaine et des rites qui en perpétuent le cycle.
Un voyage du Néolithique jusqu'à la fin des temps carolingiens, guidé par Michel Fleury, président de la commission du Vieux Paris, responsable depuis de nombreuses années des fouilles archéologiques de la capitale.
Avec l'éloignement historique, qui estompe les couleurs et érode les arêtes, la figure de Léon Blum appartient désormais au Panthéon de nos gloires politiques nationales. Son humanisme, son courage, ses qualités d'homme d'État sont tour à tour célébrées. L'image du « vieux sage » de Jouy-en-Josas, oracle de la IVe République naissante, tend même à colorer toute son action passée. Sa statue, reléguée pendant de longues années dans un jardin de Paris, est désormais installée solidement au coeur de la place qui porte son nom dans le 11e arrondissement.
Mais ce consensus est fragile. Il doit, en effet, beaucoup au temps qui fait oublier qu'il a été un des hommes les plus calomniés de l'entre-deux-guerres, qu'il a manqué d'être lynché par les camelots du roi en février 1936, qu'il a été vilipendé par Vichy et traîné au procès de Riom. Il ne faut pas aller bien loin même aujourd'hui pour voir resurgir les controverses et s'exprimer les passions. Léon Blum est toujours un enjeu de mémoire.
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Le « miracle libérateur » du Débarquement du 6 juin 1944, revient - en quasi-totalité - aux armées blindées ou motorisées des alliés américains et anglais, mais il fut suivi par une division française, affectée un temps à l'armée du général Patton : la 2e DB, commandée par Leclerc. L'aura de cette petite unité, et le sillage qu'elle laissa instantanément dans la mémoire collective des Français, furent tels qu'elle reste perçue comme l'armée de légende par excellence : l'« armée Leclerc », tant furent décisives les qualités d'un chef hors du commun, qui sut amalgamer, organiser, entraîner, anticiper, réinventant la guerre de mouvement. C'est lui - et de Gaulle à Londres - qui obtint du haut commandement militaire allié de « marcher » sur Paris, pour libérer la capitale le 25 août 1944. D'août 1944 à mai 1945, la campagne de France de la Division, confirma l'idée de Leclerc que le blindé était la cavalerie moderne, et qu'il fallait lui consentir une large part d'initiative, affirma la manière exigeante de commander de son chef et sa hantise de maintenir un rythme rapide. Son chef de Deuxième Bureau, Paul Repiton-Préneuf, l'un des esprits les plus exceptionnels de son temps, relate cette course à Berchtesgaden, avec l'objectivité aiguë et l'extrême intensité du reportage : tout le contraire de la grandiloquence épique. Georges Buis met en perspective, sans complaisance, l'arrière-plan historique, stratégique, humain et politique de l'aventure. Sans rien dissimuler des tensions internes, des difficultés matérielles, voire des amertumes que Leclerc, dans sa grandeur, a surmontées.
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Le « miracle libérateur » du Débarquement du 6 juin 1944, revient - en quasi-totalité - aux armées blindées ou motorisées des alliés américains et anglais, mais il fut suivi par une division française, affectée un temps à l'armée du général Patton : la 2e DB, commandée par Leclerc. L'aura de cette petite unité, et le sillage qu'elle laissa instantanément dans la mémoire collective des Français, furent tels qu'elle reste perçue comme l'armée de légende par excellence : l'« armée Leclerc », tant furent décisives les qualités d'un chef hors du commun, qui sut amalgamer, organiser, entraîner, anticiper, réinventant la guerre de mouvement. C'est lui - et de Gaulle à Londres - qui obtint du haut commandement militaire allié de « marcher » sur Paris, pour libérer la capitale le 25 août 1944. D'août 1944 à mai 1945, la campagne de France de la Division, confirma l'idée de Leclerc que le blindé était la cavalerie moderne, et qu'il fallait lui consentir une large part d'initiative, affirma la manière exigeante de commander de son chef et sa hantise de maintenir un rythme rapide. Son chef de Deuxième Bureau, Paul Repiton-Préneuf, l'un des esprits les plus exceptionnels de son temps, relate cette course à Berchtesgaden, avec l'objectivité aiguë et l'extrême intensité du reportage : tout le contraire de la grandiloquence épique. Georges Buis met en perspective, sans complaisance, l'arrière-plan historique, stratégique, humain et politique de l'aventure. Sans rien dissimuler des tensions internes, des difficultés matérielles, voire des amertumes que Leclerc, dans sa grandeur, a surmontées.
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