Parmi les « grands » Latino-Américains, Alejo Carpentier, mort à Paris en 1980, me paraît tenir une place particulière. D'abord par ses origines mêlées, par ce vrai métissage de celui qui est né à La Havane d'un père français et d'une mère d'origine russe. Cette ambivalence détermine toute son oeuvr...