Quel rapport peut donc lier le procès d'un écrivain, accusé de moeurs corrompues, à celui d'un capitaine de l'armée française soupçonné de trahison ? Aucun, sera-t-on tenté de dire. Sauf si, comme le fait Jacques de Langlade, on s'intéresse à la formidable campagne de presse qui a souligné, amplifié...