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De bono conjugali, ou "De ce qui est bien dans le mariage", "De ce qui est bon dans le mariage", ou encore "De ce qui fait que le mariage est bon".
Daté de l'an 401, cet écrit reste une référence pour l'enseignement de l'Eglise sur la vie matrimoniale. Une étude morale sur la bonté du mariage dont saint Augustin se fait le défenseur.
Avec son style précis, l'évêque d'Hippone montre aux détracteurs de son temps que le mariage est bon. Il en profite pour rappeler ses finalités (la génération des enfants et la fidélité entre époux), et il détaille la moralité des actes matrimoniaux.
L'Eglise s'est souvent appuyée sur cette étude de saint Augustin, et Pie XI l'utilisera en abondance pour son encyclique Casti Connubii
La parabole du fils prodigue est l'une des trois paraboles de la miséricorde dont parle le pape François dans sa bulle d'indiction de l'année de la miséricorde. Plusieurs auteurs spirituels lui ont consacré des écrits ou des homélies, parmi lesquels saint Augustin, saint Jérôme, et surtout saint Pierre Chrysologue, ...
Un recueil de sermons choisis de saint Léon le Grand sur le jeûne et le grand carême. Nous faisons précéder les textes d'une explication sur la notion de grand carême, et nous avons également ajouté une explication sur le jeûne du dixième mois dont il est question dans les trois premiers sermons à partir d'un texte de Don Guéranger. Enfin, ...
Trois romains vont à Ostie pour se baigner et se reposer. Marcus Minucius Felix, avocat, converti au christianisme, a invité ses amis Octave (Octavius), chrétien lui aussi, et Cecilius. En cours de route, Cecilius embrasse une statue d'une divinité, et Octave en fait le reproche à son ami Marcus : « Ce n'est pas bien de laisser son ami dans l'erreur » et de le regarder embrasser de fausses divinités sans l'aider à rechercher la vérité. Cecilius est touché par cette remarque, et déclare qu'il est assez grand pour se faire une idée, seul, de ce qui doit être crû, ou non. Cecilius demande donc à Marcus de se faire le juge impartial entre lui et Octave ; commence alors une « joute verbale », au cours de laquelle Cecilius va expliquer pourquoi il n'est pas devenu chrétien et continue à croire dans les divinités romaines ; puis Octave va lui répondre, et celui qui aura le mieux parlé sera déclaré vainqueur. Une façon agréable de présenter le christianisme, en exposant puis en réfutant les idées fausses véhiculées dans les premiers siècles, à Rome, sur cette religion.
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