Il vit à Londres, au 221 B Baker Street à la fin du dix-neuvième siècle. Il a des idées un peu bizarres... Il se passionne pour certaines branches de la science. Il est assez calé en anatomie, est un chimiste de premier ordre qui, malgré des études très décousues et excentriques, a amassé un tas de connaissances peu ordinaires. Il n'est pas aisé de le faire parler, bien qu'il puisse être assez expansif quand l'envie lui en prend. Il joue du violon.Il a un métier : dénouer des énigmes étranges auxquelles il est le seul à pouvoir apporter une solution. Il a un défaut : il affectionne les drogues. Il a un ami : le docteur Watson, témoin et narrateur de ses aventures. Son créateur, Arthur Conan Doyle, a inventé le récit policier moderne. Il s'appelle Sherlock Holmes.
Traduction nouvelle de Eric Wittersheim Edition bilingue Illustrations de Sidney Paget
On trouvera, dans ce premier volume : Romans - Une étude en rouge- Le Signe des quatreNouvelles Un scandale en Bohême, La Ligue des rouquins, Une affaire d'identité, Le Mystère de la vallée de Boscombe, Les Cinq Pépins d'orange, L'Homme à la lèvre tordue, L'Escarboucle bleue, La Bande tachetée, Le Pouce de l'ingénieur, L'Aristocrate célibataire, Le Diadème de béryls, Les Hêtres-Dorés, Flamme d'argent, Le Visage jaune, L'Employé de l'agent de change, Le Gloria Scott
Il vit à Londres, au 221 B Baker Street à la fin du dix-neuvième siècle. Il a des idées un peu bizarres... Il se passionne pour certaines branches de la science. Il est assez calé en anatomie, est un chimiste de premier ordre qui, malgré des études très décousues et excentriques, a amassé un tas de connaissances peu ordinaires. Il n'est pas aisé de le faire parler, bien qu'il puisse être assez expansif quand l'envie lui en prend. Il joue du violon. Il a un métier : dénouer des énigmes étranges auxquelles il est le seul à pouvoir apporter une solution. Il a un défaut : il affectionne les drogues. Il a un ami : le docteur Watson, témoin et narrateur de ses aventures. Son créateur, Arthur Conan Doyle, a inventé le récit policier moderne. Il s'appelle Sherlock Holmes. Traduction nouvelle de Eric Wittersheim Edition bilingue Illustrations de Sidney Paget
Echange de bons procédés - Heureux propriétaire d'une brasserie et d'un cinéma à Cherbourg, Henri Chatelard est de plus en plus attiré par Marie, la servante du Café du Port...Echange de bons procédés Heureux propriétaire d'une brasserie et d'un cinéma à Cherbourg, Henri Chatelard est de plus en plus attiré par Marie, la servante du Café du Port à Port-en-Bessin, soeur cadette de sa maîtresse Odile, dont il est las...Simenon en numérique : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, et les très "noirs' Romans durs
Il vit à Londres, au 221B Baker Street, à la fin du dix-neuvième siècle. Il a des idées un peu bizarres... Il se passionne pour certaines branches de la science. Il est assez calé en anatomie, est un chimiste de premier ordre qui, malgré des études très décousues et excentriques, a ammassé des tas de connaissances peu ordinaires. Il n'est pas aisé de le faire parler, bien qu'il puisse être assez expansif quand l'envie lui en prend. Il joue du violon. Il a un métier : dénouer les énigmes étranges auxquelles il est le seul à pouvoir apporter une solution. Il a un défaut : il affectionne les drogues. Il a un ami : le docteur Watson, témoin et narrateur de ses aventures. Son créateur, Arthur Conan Doyle, a inventé le roman policier moderne. Il s'appelle Sherlock Holmes.
Les deux dernières enquêtes de monsieur Lecoq, le premier véritable enquêteur de la littérature policière.
Qu'il s'agisse du vol d'une forte somme à la banque Fauvel (Le Dossier n° 113) ou de l'effroyable machination orchestrée par un génial trio de maîtres chanteurs qui a placé Paris sous sa coupe (Les Esclaves de Paris), l'inspecteur Lecoq, l'as de la Sûreté, veille et enquête. Il va découvrir qu'au-delà des apparences, certaines histoires puisent leur origine dans des drames familiaux oubliés, de vieilles haines recuites et des passions contrariées, qu'elles impliquent les plus grands noms de France comme la canaille des bouges de la capitale. Avec l'inspecteur Lecoq, Emile Gaboriau a créé le premier héros récurrent de la littérature criminelle et posé les bases du roman policier moderne : Conan Doyle, qui l'avait lu et l'admirait beaucoup, s'en inspira pour son personnage de Sherlock Holmes. Présentation et notices de Thierry Chevrier