Terre Courage est le récit romancé, sur 3 000 ans d'Histoire, des relations entre l'homme et la nature, depuis le temps des famines et de la simple cueillette jusqu'à celui où de nouvelles cultures apparaissent, reculent, reviennent selon les besoins et les moyens, entre les hantises de la disette et les mirages des excédents, entre les défrichements opiniâtres du passé et les reboisements actuels. Le cadre en est une forêt omniprésente, une rivière au cours fragile, une vallée aux terres ingrates, jadis ravagées par des animaux sauvages. Génération après génération, des hommes y ont imprimé leur marque malgré les guerres, les maladies, la fureur des éléments et des autres hommes. On dit souvent que « le paysage change » ; nos paysages ne sont eux-mêmes que des constructions, l'illustration du rapport passager de l'homme à l'espace. Fruit et outil de ce rapport, l'agriculture, comme la nature, n'est qu'un éternel recommencement. L'Homme est le véritable héros de ce roman, de celui de l'âge du fer au nouvel agriculteur d'aujourd'hui.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
La précédente édition date de 1981.
L'Étoile Révolte réunit la plupart des nouvelles restées inédites de Renée Brock, disparue en 1980. On y retrouve cette sensibilité instinctive, absolue, aux souffrances humaines et le culte gourmand de l'instant privilégié. Le couple livré à l'amour, la royauté des enfants, la passion des animaux, la nécessité de l'intégrité physique. Des thèmes développés avec des nuances différentes dans deux précédents recueils de nouvelles : L'Étranger intime (prix Victor-Rossel 1971) et Ceux du canal (1980) qui furent salués par la critique : Le Figaro (Luc Étang), Le Monde, Sud-Radio, Le Soir de Bruxelles. Finesse, sobriété, intensité. Une âme de femme en plénitude se dévoile ici. La beauté sauvage des images de cette prose nous rappelle le grand poète qu'est Renée Brock, « la Louise Labé de Liège », révélée par les éditeurs Laffont, G.L.M., Seghers, et dont les Poésies complètes ont paru en 1982 aux éditions Saint-Germain-des-Prés. Ces Poésies complètes ont été couronnées du 2e grand Prix RTL-Poésie 1, 1984. Renée Brock figure désormais dans toutes les anthologies.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Une anthologie de la poésie contemporaine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Une anthologie du sonnet.
Par l'auteur de Le Désir distrait.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Le 1er janvier 1999, l'Europe vivra, avec la création de l'euro, un événement unique. Pour la première fois dans l'histoire économique contemporaine, onze pays sur les quinze que compte l'Union européenne auront renoncé volontairement à leur monnaie nationale pour adopter une monnaie unique et unir leur destin monétaire. Une formidable aventure dans laquelle se sont engagés près de 300 millions d'Européens. Avec le double espoir de faire de l'euro l'instrument d'une meilleure intégration européenne et un facteur de rééquilibrage du système monétaire international susceptible, à terme, d'atténuer l'actuelle suprématie du dollar américain. La parole est maintenant aux acteurs de la vie économique : financiers, industriels, consommateurs, épargnants, investisseurs. Désormais, c'est au monde des affaires que revient le devoir de se réapproprier l'euro, d'expliquer les avantages - ou les inconvénients - qu'il pense retirer d'une Europe monétairement unie et de l'accroissement de la concurrence qui va nécessairement en résulter. C'est à cet exercice que se sont livrés, dans le présent ouvrage, les présidents-directeurs généraux de quelques-uns des principaux groupes français, représentatifs de l'industrie, de la finance et des services. Chefs d'entreprise, ils s'expriment sur le nouveau paysage résultant de la création d'Euroland. Citoyens du monde, ils évoquent l'avenir politique de l'Europe, bientôt élargie aux pays de l'Est, et le rôle dévolu désormais à la Nation comme à la région.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Qui c'est, "ce"... Dansons Dieu ?... Ni un fanatique, ni un "illuminé" - simplement, un brave-homme des bords du Rhin qui (enfoncé dans l'écriture, depuis sa 13e année) découvre, à 36 ans passés, les joies du mariage, avec le naïf enthousiasme & la précision (minutieuse) d'un jeune mâle de 25 ans !... Oreilles, salivez-vous ?... Rarement "journal" fut plus INTIME, ni "sale" - ni saint, ni cru ni cuit ; ni trop sec ni trop long, ni grossier ni courtois : L'homme y confesse tout, dans la lignée des Montaigne, Rousseau, Chateaubriand & Jouhandeau : Ah !... cet "écrivain du JE", qui note (quasi-) TOUT, l'érotique & le glorieux ; les délices de l'écriture, la - GUERRE & les poètes ; la haine & l'amour ?... En Alsace déjà, ce livre fait scandale. On dit même que les 44 000 mairies de France vont l'offrir aux marié(e)s, - faisant remonter la courbe démographique ?... Mais les célibataires, les écologistes, les enseignants ; les psychologues, les religieux & les poètes, s'en réjouiront, eux aussi ! Sans oublier tous les anti-nucléaires (de l'Ouest et de l'Est). Bref, un "boeuf" !... Vous le chiperiez à vos ami(e)s... Vive Dansons Dieu !
C'est à un véritable festival de l'humour sexy que nous convie Armand Isnard. Une orgie de situations cocasses. Une débauche d'éclats de rire. De quoi combler ceux et celles qui, à notre époque où l'on appelle un chat un chat, n'ont pas pour habitude de se voiler la face. Qu'on en juge : Dans la cour d'un couvent, quelques nonnes font du vélo en poussant des petits cris. La mère supérieure apparaît alors à une fenêtre et les menace : - Arrêtez de crier comme ça, voulez-vous ! Sinon, je fais remettre des selles à vos vélos ! Monsieur et Madame sont partis dans la jungle avec un voyage organisé. S'étant éloignés un peu des autres voyageurs, ils se retrouvent seuls dans l'immense forêt. Un énorme singe surgit, saute sur madame et l'emmène sur son épaule : - Édouard ! hurle madame, Édouard, au secours ! Qu'est-ce que je dois faire ? Alors, son mari, goguenard : - Dis-lui que tu as la migraine ! Un huissier a placé sa main dans le soutien-gorge de la jeune femme qui lui a ouvert la porte et qui, docilement, se prête à ses caprices : - Eh ben ! murmure-t-il, quand je pense qu'on m'avait dit que chez vous je ne trouverais rien à saisir !
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Doué d'un esprit toujours sur le qui-vive qui le porte à tous les enthousiasmes, sans pour autant le soustraire aux pires découragements, passionné d'archéologie, fou de peinture et peintre lui-même (ses oeuvres se trouvent dans plusieurs collections privées), amateur de sports enfin, et d'abord de cyclisme, Daniel Lander, hanté par la fuite du temps, la vulnérabilité de l'homme et la fatalité de la mort (ses thèmes de prédilection), traite ici de ses phantasmes avec une intensité dramatique qui ne rejette cependant pas les vertus aigres-douces de l'humour. Parisien ennemi de la capitale et du parisianisme, il nous transmet, à travers ces fictions, les paradoxes de sa personnalité. Il nous parle du passé ou du présent pour mieux se projeter dans le futur car ce pessimiste-né est un amoureux de la création sous ses formes les plus classiques comme les plus neuves. Nul n'est plus apte que ce réalisateur de nombreux films à ouvrir l'oeil sur l'invisible et le fantastique des événements quotidiens.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Chaque nouveau recueil de Joseph Paul Schneider approfondit la démarche qui caractérise, depuis plus de vingt ans, le poète de Marmoutier : dire l'alliance en ses métamorphoses. Au creuset de l'histoire et du temps, au secret de la terre et de ses failles, au coeur de l'arbre et de ses sèves, dans la clarté du ciel et du vitrail, Schneider affine son alchimie personnelle avec cette rigueur et cette précision dont il ne s'est jamais départi. La ferveur mesurée de son lyrisme n'a d'égale que la fidélité du poète à ses sources, à ses racines, à ses amitiés aussi, surtout pour les peintres dont il aime et connaît l'oeuvre. Cette steppe où il nous entraîne est celle de tous les élans possibles.
La communication serait-elle en passe de devenir une des fonctions les plus opaques de l'entreprise ? Au moment où elle est enfin considérée comme stratégique, voici que, sans cesse, elle crée de nouveaux mots, de nouveaux concepts dont on ne saisit pas d'emblée l'apport. De nouvelles spécialités naissent et apportent avec elles de nouvelles agences, experts et conseils. Aspirant à toujours plus de globalité, la communication est devenue un métier fractionné. On s'y perd ! Communication by Smiling around est un outil de transparence et de management. En quelques phrases fortes, Jean-Noël Kapferer rappelle les vérités essentielles, structure et précise les concepts. Par sa sélection incisive de dessins, il épingle les attitudes et les comportements courants dans ce métier. Livre d'humeur, il est surtout une invitation au professionnalisme et à la lucidité !
Yffic Pradenn est un vieux gardien de phare, au bout de l'extrême Ouest breton. Il fait corps avec sa Tour du Feu. On l'a un peu oublié, et ses yeux ont pris la couleur de la mer. Il garde son phare, et la mer le garde. Son oreille est restée bonne. De sa plume, « à éclipses » comme sa lanterne, il note ce qu'il a entendu, ou cru entendre. Il a fini par s'imaginer que les vagues sont des femmes, que la marée « c'est quand la mer se retourne dans son lit », que les marsouins griffonnent des messages sur l'Océan, qu'une île c'est peut-être un radeau pour les naufragés de la vie. Il doit être un peu poète, mais il serait bien étonné qu'on le lui dise.