Castoriadis C.

  • L'imaginaire comme tel

    Castoriadis C.

  • Sur ""le politique"" de platon

    Castoriadis C.

  • La montee de l'insignifiance, les carrefours du labyrinthe

    Castoriadis C.

  • Les carrefours du labyrinthe

    Castoriadis C.

  • Domaines de l'homme, les carrefours du labyrinthe

    Castoriadis C.

  • Fait et a faire, les carrefours du labyrinthe

    Castoriadis C.

  • L'institution imaginaire de la societe

    Castoriadis C.

  • Figures du pensable, les carrefours du labyrinthe

    Castoriadis C.

  • Le monde morcele, les carrefours du labyrinthe

    Castoriadis C.

    Le monde morcelé

    Dans sa stérilité, l'époque s'empresse de proclamer la fin de la philosophie, la clôture de la métaphysique ou la nécessité de nous soumettre derechef à la Loi révélée par un Autre inaccessible.

    La fin de la philosophie signifierait la fin du projet d'autonomie. Et ce projet, partiellement incarné dans l'histoire gréco-occidentale, se trouve menacé. Expansion létale de la technoscience ; évanescence du conflit politique et social ; démission des intellectuels empressés autour des pouvoirs : tout conspire à créer un type d'être humain absorbé par la consommation et le plaisir du moment, tout à la fois cynique et conformiste. Comment, avec de tels citoyens, la fameuse démocratie pourrait-elle fonctionner ou même, à la longue, survivre ?



    Cornelius Castoriadis (1922-1997)



    Co-fondateur du groupe et de la revue Socialisme ou Barbarie, ses écrits de cette période sont réédités depuis 2012 au Éditions du Sandre. Il a été économiste à l'OCDE (1948-1970), psychanalyste (1973-1997), directeur d'étude à l'EHESS (1980-1995). Ses séminaires font l'objet d'une publication posthume au Seuil, où ont aussi été publiés L'Institution imagaire de la société (1975) et cinq autres volumes des Carrefours du labyrinthe.

empty