J'aime l'Afrique... Pendant plusieurs générations, en France, ce fut un credo banal : on aimait ce continent attachant, certes sauvage, mais peuplé de gens aimables. C'en est fini de ces ritournelles. Une époque est révolue. Désormais, l'Afrique est présentée comme un continent en perdition, naufragé et inquiétant, rimant avec danger, chaos, famine, massacres et sida. L'Afrique serait une autre planète, un endroit où il ne faudrait plus se rendre, à moins d'être un humanitaire, avatar post-moderne du clerc, ou un militaire, ordonnateur de la nouvelle pacification. L'Afrique, ça se soigne, ça se sécurise. Ça ne se vit plus. Mais, entre l'amour d'hier et le désamour d'aujourd'hui, la contradiction n'est qu'apparente. Le continent noir reste investi par le rêve blanc : la projection narcissique d'un ego supérieur et le déni de la réalité, non parce qu'elle serait impénétrable ou incompréhensible, mais parce qu'elle est africaine et, en tant que telle, irrecevable. Cette Afrique abandonnée, ce continent délaissé, parti à la dérive, est en fait l'Afrique des Africains. Dieu n'est plus blanc. C'est tout. Enfin. On aura compris qu'à l'inverse, cet essai, riche d'exemples concrets, d'informations inédites et d'expériences vécues, cherche délibérément les contours de l'Afrique des Africains, ce continent noir qu'il nous reste à explorer.
Jessie, Isa, Olivier, Jacinthe, Laney et leurs parents étaient rassemblés dans le salon. Les animaux - le chien Franz, le chat George Washington, le lapin Paganini - faisaient la sieste sur le tapis. - Vous voulez d'abord la bonne ou la mauvaise nouvelle ? Les cinq enfants levèrent des regards anxieux.
- La bonne ! répondirent Isa et Laney.
- Non, la mauvaise ! protestèrent Jessie, Oliver et Jacinthe.
Vous voulez connaître la suite de la première aventure de la famille Vanderbeeker ?
C'est tout simple : ouvrez ce roman à la première page...
Mai 2017 : quinze ans après son stage d'énarque au Nigeria, Emmanuel Macron est élu président de la République française. Il promet de faire souffler un vent nouveau sur les relations avec le continent africain. Fort de sa jeunesse et de son libéralisme, il dénonce une « Françafrique » postcoloniale dont il ne se sent pas comptable et mise sur les nouvelles générations pour réconcilier les mémoires des deux côtés de la Méditerranée.
Mais il se heurte vite au réel. Les autocrates, à la longévité exceptionnelle, ne tardent pas à lui rappeler qu'ils sont les derniers des Mohicans à défendre les intérêts français, en Afrique comme dans les organisations internationales. Sur un continent mondialisé redevenu géostratégique, la France ne pèse guère plus que par son armée dans le Sahel et quelques empires économiques familiaux.
Pour échapper à cette perte d'influence globale, Emmanuel Macron joue un joker inédit : « l'Afrique » en France. Il crée un Conseil présidentiel pour l'Afrique composé essentiellement de Français originaires du continent, dans le dessein de dépoussiérer la politique africaine de l'Hexagone.
Au terme d'une enquête de deux ans auprès de multiples interlocuteurs, les auteurs dressent un constat implacable : malgré des succès, l'ardoise magique de la « génération Macron » n'a pu effacer d'un trait, plus d'un demi-siècle après les indépendances, des relations ambiguës. L'offensive de charme, notamment auprès des diasporas, du chef de l'État n'a pas réussi à convaincre l'électorat des banlieues, comme il l'admet dans une longue interview exclusive. Une épine dans le pied à l'approche de la présidentielle de 2022 ?
Ou comment, par un singulier effet boomerang, Emmanuel Macron risque d'être piégé autant en France qu'en Afrique.
Journaliste et spécialiste de l'Afrique, Antoine Glaser a été directeur de la rédaction d'Africa Intelligence. Il est notamment l'auteur de Comment la France a perdu l'Afrique (avec S. Smith, Calmann-Lévy, 2005) et, chez Fayard, de Nos chers espions en Afrique (avec T. Hofnung, 2018).
Journaliste éditorialiste à L'Opinion, Pascal Airault a réalisé de nombreux reportages pour Jeune Afrique. Il est l'auteur de Françafrique. Opérations secrètes et affaires d'État (avec J.-P. Bat, Tallandier, 2016).
Les organisations façonnent notre monde... pour le meilleur et pour le pire. Mais comment pouvons-nous concevoir des organisations qui répondent aux défis sociétaux pour un monde plus durable ? En décryptant leur monde complexe.
Quelles sont les forces qui mettent en mouvement ou paralysent les organisations ? Comment se construisent les dynamiques de pouvoir et les prises de décision ? Quelle est leur structure et comment peuvent-elles évoluer ?
À travers six chapitres, ce livre pose des mots et des images simples sur les mécanismes essentiels des organisations, en explorant leur structure, leur culture, les rapports de pouvoir en leur sein, leurs systèmes d'incitation, leurs processus décisionnels ou encore leur capacité d'innovation. Complété d'illustrations et de cas d'entreprises concrets, il est un véritable outil pour s'approprier les clés afin de concevoir, mettre en place et tester des conditions favorables à des environnements organisationnels soutenables.
Décrypter les dynamiques des organisations et ce qui relève de l'action individuelle ou collective permettra à chaque professionnel et dirigeant de bâtir un avenir plus équitable et durable.
Lorsqu'un AVC frappe brutalement M. Jeet, leur voisin adoré, les cinq enfants Vanderbeeker décident de lui offrir un cadeau extraordinaire : construire le jardin de ses rêves.
Mais, malgré leur enthousiasme légendaire, créer un jardin se révèle plus compliqué que prévu. D'autant qu'un promoteur immobilier sans scrupules louche sur le terrain.
Les Vanderbeeker vont devoir redoubler d'énergie pour relever leur plus grand défi...
La France se réveille en Afrique avec la gueule de bois. Elle pensait que tout y était encore sous son contrôle et que sa « science africaine » était infaillible. Tout cela n'est qu'un leurre : les destinées politiques, religieuses, sociales et économiques de ce continent lui ont complètement échappé.
Par arrogance, les dirigeants français ne se sont jamais véritablement intéressés à la complexité de l'Afrique. Quant à ceux qui s'y sont installés tout au long de la guerre froide - coopérants venus pour enseigner ou militaires y vivant en famille -, ils ont plus souvent cherché à former des Africains à leur image qu'à comprendre leurs spécificités et leurs désirs. D'ailleurs, en France même, n'aime-t-on pas que les Afro-Français qui nous ressemblent ?
Aujourd'hui, la France paie cher cette arrogance. Les anciennes générations lui reprochent son ingratitude, tandis que les jeunes diplômés refoulés aux portes des consulats préfèrent poursuivre leurs études ailleurs. Les plus grands groupes industriels français perdent des contrats qu'ils pensaient leur être dus et des parts de marché face à leurs concurrents chinois. Les congrégations catholiques françaises sont vivement concurrencées par les Églises de réveil (évangéliques, pentecôtistes, charismatiques...), sans parler de l'expansion de l'islamisme radical.
La méconnaissance de l'Afrique et des Africains a conduit la France à des analyses anachroniques et à sous-estimer la richesse de ce continent et de sa diaspora. C'est ce mépris qu'Antoine Glaser s'emploie à dénoncer ici. Il est temps de cesser de donner des leçons et d'apprendre de l'Afrique !
Et si l'Afrique avait marabouté la France ? Depuis les indépendances des années 1960, l'ancienne métropole se croit toute-puissante dans son pré carré africain. Un leurre qui plaît aux pays des masques : le chef doit être invisible !
À l'issue de la guerre froide, les dirigeants africains ont totalement inversé les rapports de dépendance. Ce sont désormais eux les vrais patrons. Le monde entier trépigne dans leur salle d'attente. Pour la France, fini le temps du pétrole et de l'uranium à des prix « politiques », des marchés protégés pour une poignée d'entrepreneurs qui figurent dans le « top 50 » des grandes fortunes de l'Hexagone. Les interventions militaro-humanitaires, comme au Mali ou en Centrafrique, et les déclarations d'amitié de l'Élysée n'y changent rien. Habiles à se présenter en « victimes » de la Françafrique, les dirigeants africains profitent de cette nouvelle situation pour imposer à huis clos leurs exigences à leurs interlocuteurs officiels. Et ce n'est pas sans condescendance qu'ils traitent leurs anciens parrains tricolores.
L'Ivoirien Alassane Ouattara, le Congolais Denis Sassou Nguesso, le Nigérien Mahamadou Issoufou, le Tchadien Idriss Déby, le Camerounais Paul Biya, le Burkinabé Blaise Compaoré, le Sénégalais Macky Sall, le Guinéen Alpha Condé, le Gabonais Ali Bongo : en une dizaine de chapitres enlevés fourmillant d'anecdotes et de révélations, ce livre raconte comment l'Afrique a pris la main à Paris.
Adieu Françafrique, bonjour AfricaFrance. Qui paie commande !Antoine Glaser a été pendant trente ans le directeur de La Lettre du continent, une publication de référence sur l'Afrique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont Comment la France a perdu l'Afrique (Calmann-Lévy, 2005) et Sarko en Afrique (Plon, 2008), tous deux coécrits avec Stephen Smith.
« Nos chers espions » sont de retour en Afrique ! Partout à la manoeuvre, dans le désert avec les Touaregs comme dans les bureaux officiels des capitales, ils orientent discrètement la nouvelle politique africaine qu'entend mener la France.
Mais dans l'Afrique mondialisée du xxie siècle, nos agents secrets ne sont plus à la fête : Israéliens, Chinois ou Russes leur livrent une féroce concurrence auprès de présidents africains à bout de souffle, avides de renseignements stratégiques pour se maintenir au pouvoir.
Antoine Glaser et Thomas Hofnung révèlent ici les échanges étonnants entre dirigeants africains et agents français, font parler des ex-espions passés dans le privé - plutôt silencieux d'habitude - et expliquent comment les guerres entre services parisiens ont parfois de terribles conséquences sur le terrain.
Sur un continent très convoité pour ses matières premières et son potentiel humain, nos « chers espions » défendent ce qui reste des intérêts tricolores. Toujours dans l'ombre, ils tentent de garder la main sur notre ancien pré carré africain dans lequel le dossier le plus anodin est souvent classé « confidentiel défense ».
Antoine Glaser est journaliste et spécialiste de l'Afrique.
Thomas Hofnung est journaliste à The Conversation-France.
Vivien Prior, chercheuse, et Danya Glaser, pédopsychiatre, font le point sur la théorie de l'attachement et ses implications dans la pratique thérapeutique en se basant sur les nombreuses recherches et études réalisées ces dernières années.
Après avoir expliqué en détail la théorie de l'attachement élaborée en premier par John Bowlby, elles abordent les différentes façons d'évaluer tant l'attachement d'un enfant que la qualité des soins apportés par ses parents, puis montrent comment la sécurité d'attachement influence le fonctionnement des individus.
La notion controversée de troubles de l'attachement, développée depuis une dizaine d'années dans nos pays, recouvre en fait deux points de vue très différents : d'une part le concept scientifique de troubles de l'attachement, identifié par les chercheurs, et d'autre part la notion plus floue et moins scientifique, popularisée par certains auteurs américains, cherchant à expliquer le comportement d'enfants ayant connu dans leur petite enfance des ruptures et des traumatismes divers.
Vivien Prior et Danya Glaser exposent et développent ici chacune de ces deux théories.
Pour terminer les auteurs présentent l'efficacité et l'apport constructif des interventions thérapeutiques basées sur la théorie de l'attachement en s'appuyant sur diverses études menées ces dernières années et décrivent différentes méthodes utilisées pour favoriser la formation d'attachements « sécures » entre l'enfant et son(ses) parent(s).
Cet ouvrage, principalement destiné aux psychologues, psychiatres, enseignants, juristes, chercheurs et travailleurs sociaux intéressera également tous les parents (et plus particulièrement les parents adoptifs) ainsi que les éducateurs et étudiants en sciences humaines.
La crise en Côte d'Ivoire est à la présence française en Afrique ce que la prise de la Bastille fut à l'Ancien Régime : le symbole de la fin, insensiblement d'abord, puis à un rythme qui est allé s'accélérant pour culminer en cette funeste nuit de novembre 2004, quand l'armée française ouvrit le feu sur une foule de "patriotes" à Abidjan, la France a perdu "son" Afrique, celle où, de Dakar à Libreville en passant par Djibouti, N'Djamena, Brazzaville et Antananarivo, elle aimait à penser qu'elle était aimée.
À présent la France rapatrie ses ressortissants sous les huées, sinon sous les balles. Ailleurs, elle est déjà partie en catimini, à la fin de la guerre froide, quand l'Afrique a été abandonnée à son sort : effondrement de l'Etat, guerres, sida... L'aide a été amputée, les coopérants ont été retirés. Seule l'armée française est restée enfermée dans ses bases, garde prétorienne de régimes indéfendables. Après avoir été pendant plus de quarante ans le "gendarme de l'Afrique", la France s'est recyclée en "gardien de la paix". De plus en plus souvent, les Etats-Unis et la Chine dament le pion à une "vieille" France gênée aux entournures par le génocide au Rwanda, le sandale Elf, les turpitudes de la "Françafrique"... Il est loin le temps où la "mission civilisatrice" sur le continent noir était une affaire entendue, l'un des rares sujets d'accord entre droite et gauche. À l'heure du divorce, l'ancienne puissance coloniale se triouve dans une situation intenable : qu'elle intervienne, comme en Côte d'Ivoire, et on dénonce son "ingérence". Qu'elle s'abstienne, et on lui reproche son "indifférence".
Dans ce livre sans concessions, remarquablement documenté et étayé d'innombrables exemples et témoignages, Stephen Smith et Antoine Glaser pointent les erreurs, les lâchetés et les ambiguïtés qui ont émaillé la politique africaine de la France, et lui on fait perdre ce "pré carré" qu'elle rêvait de façonner à son image.
1952, un hôtel dans la Forêt-Noire. Le chancelier allemand est menacé. Une jeune juive va le sauver.
Rose appartient aux services secrets israéliens. Elle a fui l'Allemagne en 1938 et vit désormais dans un kibboutz. En 1951, son chef l'envoie en mission dans un hôtel au coeur de la Forêt-Noire, à quelques kilomètres de Baden-Baden, où elle doit déjouer un attentat prévu contre le chancelier allemand Konrad Adenauer. En attendant Ari, autre agent qui tarde à la rejoindre, Rose tente de discerner le terroriste infiltré parmi les nombreux clients et membres de la délégation. Et entre une autoritaire directrice d'hôtel au passé trouble, un professeur d'université membre du Mossad, une femme de chambre qui écoute aux portes, un ex agent double sous le Reich, un homme d'affaires sans scrupule et un garde du corps à l'élégance suspecte, l'espionne devra redoubler de vigilance. D'autant qu'elle aussi a des choses à cacher, surtout à ce violoniste juif allemand arrivé sans prévenir qui fut autrefois son grand amour...
Un roman inspiré de faits réels, une palpitante intrigue d'espionnage, une fresque sur la réconciliation, une belle histoire d'amour et un inoubliable personnage féminin.
L'amour et l'amitié suscitent chez les enfants beaucoup de
questions, parfois assez embarrassantes, auxquelles les adultes ne trouvent pas toujours de réponses. Avec des mots justes, ce petit livre leur permet de comprendre le grand mystère qu'est l'amour, les bouleversements qu'il provoque en chacun, et les aide à aborder plus sereinement la période de l'adolescence.
Avec moult anecdotes inédites, ce livre au style bref et incisif, raconte les premiers (faux) pas de Nicolas Sarkozy dans l'Afrique ambiguë.
Premier président français sans gri-gri sur son bureau, Nicolas Sarkozy s'est prononcé pour une politique de rupture avec les complicités du passé dans l'ancien pré carré, pour s'ouvrir à l'ensemble du continent et être à l'écoute des jeunesses africaines. Las, le nouveau chef de l'Etat a, lui aussi, très vite plongé la tête dans la case à fétiches. Il est même revenu aux pratiques d'une diplomatie parallèle que l'on croyait révolue. Dans certains cas, les "affaires africaines" sont redevenues des "affaires domestiques". Une gestion personnalisée des dossiers qui contraste avec la volonté affichée d'européaniser la politique africaine et de se désengager sur le plan militaire. Dans un premier temps, Nicolas Sarkozy s'est moins adressé aux Africains du continent qu'aux Français noirs des banlieues françaises, avec priorité à la lutte contre l'immigration. Ensuite, le président a géré personnellement, dans la précipitation et la cacophonie, l'épopée de l'Arche de Zoé, la guerre du Tchad et les dossiers judiciaires pendants tels que celui des biens immobiliers "mal acquis" des chefs d'Etat africains à Paris, tout en gardant un oeil attentif sur les dossiers sensibles de la dizaine de groupes français dont les dirigeants sont souvent ses propres amis. En un an de présidence, Nicolas Sarkozy a dit une chose et son contraire, du discours très "gaulois" de Dakar à celui très "africain" du Cap. En dix chapitres, ce livre raconte, comme une bande dessinée, les tribulations d'un "Sarko en Afrique" qui ne sait plus quel masque porté pour ne pas se faire piéger et préserver encore quelques bijoux de famille de l'ancien empire. Pour ce livre incisif et informé, qui fourmille de révélations et de confidences, Antoine Glaser et Stephen Smith ont enquêté à Paris et dans une demi-douzaine de pays africains.
This book analyses the presidentialization of parties in three countries of the post-Soviet space - Russia, Belarus and Kazakhstan - and the role of this phenomenon in their recent political history. The concept of presidentialization of politics means that parties tend to adjust by becoming `presidentialised' in the sense that parties delegate their leaders-as- Presidents to shape both their electoral and governing strategies. The presidentialization of parties refers to institutional resources, constraints and opportunities. It can be also described both as centralization of leadership and a style of government, overlapping with that of personalization of politics that it consists of personal characteristics, attitudes, personal capital and charisma in making politics, instead. Since their introduction, the concept of presidentialization have been mostly analysed within the Western or other democratic countries. Very little attention, however, has been paid to the phenomenon presidentialization of political parties in non-democratic countries or in countries with a transitional form of government . This volume enhances our theoretical understanding of the political role of the Presidents of Russia, Kazakhstan and Belarus in controlling the legislative space and elected officials.
Written in a clear and understandable manner, this book provides a comprehensive, yet non-mathematical, treatment of the topic, covering the basic principles of symmetry and the important spectroscopic techniques used to probe molecular structure. The chapters are extensively illustrated and deal with such topics as symmetry elements, operations and descriptors, symmetry guidelines, high-fidelity pseudosymmetry, crystallographic symmetry, molecular gears, and experimental techniques, including X-ray crystallography and NMR spectroscopy. As an additional feature, 3D animations of most of the structures and molecules covered are available online at wiley.com. As a result, chemists learn how to understand and predict molecular structures and reactivity. Authored by a renowned expert with numerous publications and an excellent track record in research and teaching, this is a useful source for graduate students and researchers working in the field of organic synthesis, physical chemistry, biochemistry, and crystallography, while equally serving as supplementary reading for courses on stereochemistry, organic synthesis, or crystallography.
Die Massebestimmung hat eine zentrale Bedeutung in Wissenschaft, Technik und Wirtschaft. Von der Mikrowaage bis zu Wägesystemen für Güterzugwaggons, vom Massenspektrometer bis zur Bestimmung der Massen von Himmelskrpern reichen die Geräte und Verfahren.
Dieses Buch, von Wissenschaftlern der Physikalisch-Technischen Bundesanstalt herausgegeben, gibt einen Überblick über das gesamte Gebiet. Es spannt den Bogen von den physikalischen Grundlagen - einschließlich aktueller Fragenstellungen, z.B. zu der Neudefinition des Kilogramm - über das SI-System, praktisch allen Wägeverfahren bis hin zu wissenschaftlichen Experimenten oder Beobachtungen. Laien und Fachleute werden gleichermassen angesprochen. Ausführliche Ausflüge in die Geschichte und eine wohl konkurrenzlos umfassende Literatursammlung runden dieses Standardwerk ab.
Das Buch wendet sich an alle, die in Grundlagenforschung, technischer Anwendung oder Normungsfragen mit dem Thema befaßt sind, an Lehrer und nicht zuletzt an Wissenschaftshistoriker.
This new edition of The Strategic Application of Information Technology in Health Care Organizations offers a peerless guide for health care leaders to understand information technology (IT) strategic planning and implementation. Filled with illustrative case studies, the book explores the link between overall strategy and information technology strategy. It discusses organizational capabilities, such as change management, that have an impact on an organization's overall IT effectiveness, and a wide range of IT strategy issues. The book covers emerging trends such as personalized medicine; service-oriented architecture; the ramification of changes in care delivery models, and the IT strategies necessary to support public health. "Health information technology sometimes masquerades as an end in itself. The reality is that IT is a means to an end, an enabler of the strategic goals of health care organizations. This volume reminds us that shaping IT strategy and implementation to an organization's goals is the key to generating both economic returns and safer care for patients. You don't need an engineer to understand how to use IT to advance a health care organization's strategic agenda. You just need to read this book."? Jeff Goldsmith, PhD, president of Health Futures, Inc. "In this time of health care reform, nothing is more front and center than health IT. This book is an exceptional blueprint for the future, with a focus on the essential measures of success for any system implementation." ? Stephanie Reel, MBA, vice provost for information technology and chief information officer, The Johns Hopkins University "In this book, the authors answer the question that every health care leader should be asking: How do we unlock the promise of health information technology and fundamentally reshape our industry? This is a must-read for every person who wants to improve American health care." ? David Brailer, MD, PhD, chairman of Health Evolution Partners
This thoroughly revised and updated second edition of The Strategic Application of Information Technology in Health Care Organizations offers health care executives and managers a balanced analysis of health care information systems. Written by John Glaser-a renowned expert in the field of health care information technology-this important resource shows health care professionals how to use IT to reduce costs, respond to the demands of managed care, develop a continuum of care, and manage and improve the quality of service to patients, payers, and physicians.
While the other works in the "Erlebnis Wissenschaft" series have concentrated on chemical substances in everyday life, this book brings to life a passionately debated physical phenomenon that has equally become an integral part of our lives - so-called electrosmog.
The term itself is misleading from the start, such that an objective scientific treatment is urgently needed. The author is one of Europe's leading experts in the field.
Peter Lang GmbH, Internationaler Verlag der Wissenschaften
15 Juin 2011
9783653004748
Entgegen anders lautenden Erklärungen planten die SED-, die Staats- und die Armeeführung streng geheim den Einsatz militärischer Kräfte in Konfliktsituationen im Innern der DDR. Auf der Grundlage neu erschlossener und bisher nur teilweise bekannter Archivalien wird dies erstmals durchgehend für fast 20 Jahre belegt. Der Autor sucht nach Antworten auf die Frage, mit welchen Absichten die Spitzen dies taten und welchen Einfluss die sowjetische Führungsmacht darauf nahm. Thematisiert wird, wie die Politik von SED und Regierung in der Gesellschaft aufgenommen wurde und ob die Aussicht bestand, dass die Jugend als Waffenträger sich gegen Andersdenkende einsetzen lassen würde. Will der Autor damit den Blick auf den Beitrag von NVA-Angehrigen zur friedlichen Revolution in der DDR 1989/90 ffnen?
Oliver Cromwell's readmission of the Jews to England in 1656 has traditionally been regarded as a watershed in the history of the Jews in England. As well as providing a critical account of the historiography of readmission as a definitive act of toleration, this book reinterprets Christian philosemitism of the early modern period.
Placing topical debates in historical perspective, the essays by leading scholars of history, literature and political science explore issues of difference and diversity, inclusion and exclusion, and faith in relation to a variety of Christian groups, Jews and Muslims in the context of both early modern and contemporary England and America.
In diesem Buch geht es um die Schaffung des Bewusstseins für verzerrte und fehlerhafte Wahrnehmungen, Beurteilungen und Interpretationen von risikorelevanten Sachverhalten. Es ist bewusst so geschrieben, dass es sowohl für Entscheidungsträger als auch für Spezialisten gleichsam erhellend sein kann. Die häufigsten Fehler im (Risiko-)Management sind sehr vielschichtig, denn sie hängen sehr eng mit der konkreten Branche, den vorhandenen Ressourcen und auch der Aufbau- und Ablauforganisation zusammen. Nichtsdestotrotz zeigt sich bei einem Vergleich einzelner Unternehmen aus unterschiedlichen Branchen und unterschiedlicher Grße, dass immer wieder die gleichen oder zumindest sehr ähnliche Problemfelder auftreten. Dies sind neben den operativen und methodischen Problemen der Modelle und Tools insbesondere der Umgang und die Verarbeitung der Informationen. Speziell die sogenannten Biases, also die systematischen Fehler und Verzerrungen bei der Informationsverarbeitung, sollten Entscheidern bewusst sein, bevor sie strategische und unternehmensweite Entscheidungen treffen. Einen sehr großen Einfluss auf die Erstellung des Buches hatten hierbei neben meiner jahrelangen Tätigkeit im Bereich Risikomanagement und den unterschiedlichsten Lessons Learned von Krisen und Krisenberichten anderer Unternehmen insbesondere die Werke von Nassim Taleb sowie von Daniel Kahneman und Richard Thaler. Dem erstgenannten Autor gelang im Zuge der Finanzmarktkrise ein bahnbrechender Erfolg mit seiner Beschreibung der schwarzen Schwäne. Anhand sehr anschaulicher Beispiele war es für jedermann verständlich, dass nicht nur Kleinigkeiten an den Modellen falsch waren, sondern dass viele Modelle grundlegend falsch waren und es mehr bedurfte als nur eines Facelifts.
?Das Buch richtet sich an Vorstände und Geschäftsführer sowie an Fach- und Führungskräfte von Leasinggesellschaften bzw. allgemein von Finanzdienstleistern. Außerdem bietet es allen Risikomanagern einerseits einen guten Überblick und Einstieg in die teils komplexe Materie, andererseits aber auch punktuelle Informationen zu einzelnen Themenbereichen. Es handelt sich also um ein Fachbuch und ein Nachschlagewerk in einem, das den Anspruch besitzt, nicht nur ein informativer Ratgeber, sondern auch ein nützlicher Helfer für die Praxis zu sein.
