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bernard boucheix
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Les meres de la restauration et de la gastronomie francaise
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2018
- 9782848196336
Nous avons retenu les trois premières « Mères » qui ont le plus marqué le monde de la restauration et de la culture française sous la troisième République.
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La Mère Gloanec (1839-1915) fut la célébrissime "Mère des peintres" de l'École de Pont-Aven. Elle accueillit d'illustres artistes dans ses différents établissements "La pension des illustres" dont Paul Gauguin. Ce mythe vivant est devenue l'ambassadrice de la gastronomie bretonne. Marie-Jeanne fut immortalisée dans sa "Pension Gloanec". Vous allez découvrir le mond bretonnant de cette femme d'exeption qui est "La Mère de la restauration bretonne" : La Mère Gloanec.
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Les "mères " auvergnates, triptyque gastronomique dans la vallée de Royat
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2017
- 9782848195827
Vous allez découvrir dans ce livre l'histoire d'un Triptyque gastronomique auvergnat. Vous suivrez, à travers les peintres, poètes et écrivains qui l'ont côtoyé, sa trace dans la Vallée de Royat. Partez à la découverte du monde merveilleux de La Mère Gagnevin « Patronne Des Romantiques », de La Mère Quinton « Belle Meunière », en passant par La Mère Mesure « Reine Du Dosage », trois figures
emblématiques du territoire qui sont arrivées jusqu'à nous. Elles ont laissé leur empreinte se transmettant des recettes de génération en génération. Ce Triptyque gastronomique a la particularité d'avoir vécu dans un petit coin de France où la nature prédominante et luxuriante était encore préservée aux portes de la capitale des Arvernes. L'Auvergne peut s'enorgueillir de posséder trois figures de
l'art culinaire où les potagers, les châtaigniers, la vigne et la cueillette des fraises rythmaient les saisons de nos fameuses aubergistes. Ces dernières ont croisé au cours du XIXe siècle des artistes venus de toute l'Europe pour découvrir ce village romantique ou cette nouvelle station thermale. Les paysages décrits par le monde des arts et des lettres nous en disent long sur l'univers de ces trois femmes attachantes. Laissez-vous envoûter par cette trinité du bonheur : la gastronomie, l'art et la nature. Elle résume la vie de ces personnages et l'Auvergne éternelle.
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Les meres boucheix, auvergnates - tante anne - recettes pour bonne cuisine
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Mai 2020
- 9782848196947
Les 64 recettes de Tante Anne écrites de sa belle écriture, en 1924, témoignent d'un temps révolu où le mode de cuisson était encore la cheminée et le poêle à bois. Cette paysanne auvergnate de la Chaîne des Puys avait perfectionné des recettes dignes d'un grand restaurant en vogue dans les stations thermales de la Belle Époque. Les Mères Boucheix ont tenu une multitude d'établissements autour de la Chaîne des Puys. Tante Anne fait partie de cette grande lignée des Mères auvergnates. Recettes intemporelles à la mode de son temps. Cuisinière hors pair de la Basse-Auvergne, elle nous dévoile ses plats roboratifs en sauce et ses desserts à faire pâlir bien des gourmands. Cette Mère de famille autodidacte avait l'art d'aimer la cuisine généreuse tout en combinant l'art des mets délicats.
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Les aubergistes bretonnes - la mere gloanec, mademoiselle julia, la belle angele
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Septembre 2020
- 9782848196954
La Bretagne est incarnée par trois aubergistes, "La Mère Gloanec", "Mademoiselle Julia", "La Belle Angèle", renommées tant dans le monde de l'hôtellerie que dans le monde de l'art, à travers l'École de Pont-Aven, dont Gauguin a été le chef de file.
Toutes trois ont bien des points communs. Nées au cours du XIXe siècle à Pont-Aven, c'est aussi là qu'elles finiront leur vie.
Mais c'est surtout sous la IIIe République, et à la Belle Époque, qu'elles ont laissé leur empreinte indélébile. Elles ont nourri, hébergé, parfois même aidé et réconforté ces centaines d'artistes passant à Pont-Aven, "Cité des peintres".
Si leur célébrité locale est à l'origine de leur renommée grandissante alimentée par celle de l'École de Pont-Aven, leurs histoires se mêlent au patrimoine de leur territoire et à celui de son développement touristique. Ces femmes issues de milieux modestes ont, dans leur jeunesse, travaillé dur. Entre fille de meuniers ou fille de marins, elles ont réussi à toucher le coeur des artistes de La Belle Époque.
"La Mère Gloanec", "Mademoiselle Julia", "La Belle Angèle" sont ici rassemblées pour la première fois dans un même recueil, abondamment illustré, qui leur est exclusivement consacré. -
L'école de Royat ; la vallée des peintres romantiques
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 3 Avril 2020
- 9782848196619
L'École de Royat, aussi modeste soit-elle, fut un terrain de prédilection pour bien des artistes de la toile. Ce petit village auvergnat, perdu dans sa vallée, témoigne de son glorieux passé pictural. Cette bourgade était emmitouflée dans une nature luxuriante. Les sources, les cascades, les ruines romaines et moyenâgeuses étaient gracieusement disposées. Ce paysage d'exception était dominé par son dolmen naturel : le Puy-de-Dôme. Cette montagne sacrée, aux origines celtiques et mystérieuses, porte en elle le temple de Mercure. Tout était réuni en un lieu pour faire effet en peinture. Par milliers, Ils sont venus de toute l'Europe pour découvrir ce site unique en France. L'époque romantique se situe dans la première moitié du XIXe siècle, avant l'arrivée du train. Plusieurs jours de diligence étaient nécessaires pour y accéder de la capitale.
L'École de Royat, aussi modeste soit-elle, fut un terrain de prédilection pour bien des artistes de la toile. Ce petit village auvergnat, perdu dans sa vallée, témoigne de son glorieux passé pictural. Cette bourgade était emmitouflée dans une nature luxuriante. Les sources, les cascades, les ruines romaines et moyenâgeuses étaient gracieusement disposées. Ce paysage d'exception était dominé par son dolmen naturel : le Puy-de-Dôme. Cette montagne sacrée, aux origines celtiques et mystérieuses, porte en elle le temple de Mercure. Tout était réuni en un lieu pour faire effet en peinture. Par milliers, Ils sont venus de toute l'Europe pour découvrir ce site unique en France. L'époque romantique se situe dans la première moitié du XIXe siècle, avant l'arrivée du train. Plusieurs jours de diligence étaient nécessaires pour y accéder de la capitale.
En parcourant les estampes et gravures d'un collectionneur au musée de Royat, venez découvrir un monde à jamais révolu. Il y a 200 ans : premières approches, premières lithographies. La quantité impressionnante de peintres qui sont passés en ce lieu, démontre l'importance du site. Des maîtres prestigieux ont séjourné plusieurs semaines faisant école à l'auberge Ma Campagne de La Mère Gagnevin. Laissez-vous envoûter par ces artistes dans le tourbillon de l'Histoire, indéfinissable perception, merveille de la création ou paradis perdu de cette École de Royat.
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Belle meunière ; la mère Quinton ; les amours clandestins
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2014
- 9782848195308
La mère Quinton, surnommée dans sa jeunesse « la Belle Meunière », est l'une des plus célèbres auvergnates, « la Zenta Mounira », qui, de son vivant, eut une reconnaissance internationale illustrée par une pièce de théâtre, par la présence d'un pavillon à l'exposition universelle de Paris en 1900..., sans oublier le livre best-seller qu'elle écrivit pour retracer un amour clandestin. En effet, la vie de la Marie Quinton (1854-1933) fut bouleversée dans la nuit du lundi 24 octobre 1887 lorsqu'elle accueillit secrètement, dans sa modeste auberge, deux amants illustres. Elle devint la confidente d'un amour fusionnel entre le célébrissime Général Georges Boulanger (1837-1891) et sa maîtresse, la Vicomtesse Marguerite de Bonnemains (1853-1891). La popularité de cet ancien Ministre de la Guerre était telle que sa destinée ressembla à celle du Général Bonaparte. Toutefois, l'histoire en fut tout autre. Tragédie lyrique, romance légendaire, gravée pour l'histoire de France où, à défaut d'être empereur, la passion l'emporta.
« Il se jette dans ses bras, il la serre à la broyer, la couvre de baisers avec une impétuosité sans nom. Elle veut parler, il lui ferme la bouche de ses baisers, l'embrasse avec furie, sur les cheveux, le front, le cou, les épaules, partout où sa bouche rencontre la chair de sa bien-aimée. C'est une scène indescriptible de félicité, de délire, de bonheur surhumain. La violence de cet amour surpasse tout ce que je pouvais imaginer et l'homme qui aime ainsi, c'est « lui », l'idole des foules, c'est le général Boulanger ». Le 30 septembre 1891, le général Boulanger se suicide sur la tombe de sa maîtresse : « Ai-je bien pu vivre deux mois et demi sans toi ? ». -
La belle epoque - les trois belles gloires francaises
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2016
- 9782848196015
La Belle Époque est incarnée par les trois « Belles » Gloires Françaises. Cette « French Touch » avant-gardiste se compose d'un trio de choc qui a marqué, entre autres, le monde de l'hôtellerie et de la restauration françaises. Elles sont les ambassadrices d'un univers idéalisé par les touristes internationaux. La recette est fort simple : prenez de la gastronomie, ajoutez-y des hivernants, des artistes, des demi-mondaines, sans oublier notre ruralité, saupoudrez le tout des arts et lettres et vous obtiendrez ce mets délicat qui incarne l'art de vivre à la Française. Présentez l'ensemble sur un plateau d'argent de la Belle Époque et le tour est joué. Vous aurez ainsi mis en valeur cette France à la fois insoumise et rigoureuse, corsetée dans ses traditions ancestrales et du « qu'en dira t-on ». Cette Trinité des bons vivants que ces personnalités incarnent depuis plus d'un siècle dans la gastronomie, la culture et les sentiments, sont devenues d'immenses figures féminines qui, sans le vouloir, ont traversé le siècle. Femmes modestes au destin remarquable, elles sont, ici, réunies pour la première fois, vous offrant un premier aperçu de ce triptyque féminin exceptionnel qui reflète, à tout jamais, les « Belles » de « La Belle Époque » : « La Belle Angèle », « La Belle Otero », « La Belle Meunière ».
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De « La Belle Époque » aux « Années Folles », nous vous présentons les trois plus grandes figures de la gastronomie traditionnelle de notre grande région. Elles ont marqué de leur empreinte, par leur personnalité hors du commun, le monde de la restauration. Leur célébrité a largement dépassé les frontières de leur territoire. La première, « La Mère Quinton », l'Auvergnate la plus connue au monde, fut cette belle meunière de notoriété internationale. Soeur douairière gardienne de cette fabuleuse histoire d'amour entre le Général Boulanger, « L'Empereur des amoureux » et La Vicomtesse de Bonnemains, « La Dame aux oeillets rouges », elle devint un mythe vivant. La seconde, également d'origine auvergnate fut, de par son incroyable renommée au cours de « La Belle Époque », la première « Mère » lyonnaise la plus connue de France : « La Mère Fillioux ». Enfin, la dernière, décorée de la Légion d'Honneur, icône nationale pendant « Les Années Folles » pour son dévouement auprès des soldats, n'est autre que : « La Mère Bizolon ». Trois Femmes et trois histoires à la fois si différentes et si communes. Trois destinées qui marquent à tout jamais la gastronomie française.
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Le monde merveilleux de Marie Quinton ; la mère Quinton ; 1854-1933 ; belle meunière
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2017
- 9782848196244
« La Belle Meunière » fut dans sa jeunesse la célébrissime confidente du Général Boulanger, « L'Empereur des amoureux » et de sa maîtresse la Vicomtesse de Bonnemains, « La Dame aux oeillets rouges ». Elle accueillit ces deux amants illustres et devint la soeur douairière, gardienne de leur amour qui allait changer le cours de l'Histoire de France et la vie de « La Marie Quinton ».
« La Veuve Quinton » publia, peu de temps après, un livre best-seller de « Souvenirs Vécus ». Mythe vivant, devenue l'Auvergnate la plus connue au monde, elle fut immortalisée dans son costume rutilant et sa coiffe étincelante. Fortune faite, elle suivra sa riche clientèle d'hivernants dans ses différents établissements, de l'Auvergne à la Côte-d'Azur en passant par Paris. Ambassadrice d'Auvergne et de la gastronomie française, vous allez découvrir le monde merveilleux de
« La Mère Quinton ». -
La Capitale des Gaules peut s'enorgueilllir de posséder l'une des plus prestigieuses "Mère" de la restauration française. La Mère Fillioux (1865-1925) fut "L'impératrice des Mères lyonnaise". Ce mythe vivant est devenue l'ambassadatrice de l'art culinaire lyonnais. Elle fut immortalisée comme "La reine des Poulardes", surnomée également "La Balayeuse". Vous allez découvrir cette femme hors du commun qui fut, à la Belle Époque, la figure gustative incontournable de cette bonne ville de Lyon. La capitale mondiale de la gastronomie a trouvé en elle sa digne représentante. Gageons que notre protagoniste saura vous séduire et vous offrir l'envie de passer à table
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Boucheix - l'auvergne en heritage - nos ancetres les gaulois
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 3 Avril 2020
- 9782848196909
C'est l'histoire d'une vieille famille auvergnate, issue du peuple des Arvernes, qui vit dpuis des temps immémoriaux au pied de la Chaîne des Puys.
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Illustre aïeul !
Suite aux dernières éruptions volcaniques, les premiers Auvergnats se sont sédentarisés il y a 6 000 ans au pied de la Chaîne des Puys. Déjà maintes fois cousins entre eux, leurs descendants ont vu naître 4 000 ans plus tard Vercingétorix (82 av. J.-C., 46 av. J.-C.).
La Maison Boucheix, établie depuis des siècles au pied de la Chaîne des Puys, est l'une des branches issue de la famille de ce célèbre personnage. Les multiples et les mathématiques transforment cette tradition familiale en réalité génétique. Leurs ancêtres les Gaulois est une évidence. La France, c'est l'Auvergne avec un peu de terre autour et Vercingétorix le premier des Français. Cousinages millénaires et tentaculaires à l'ouest de la Basse-Auvergne, leur célébrissime ancêtre ne serait pas une simple vue de l'esprit mais bel et bien d'une surprenante réalité ! -
Art minimaliste et chevaleresque ; 1978 - 2018
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 18 Novembre 2018
- 9782848196671
Bernard Boucheix fait de son art enfantin, dès l'âge de 10 ans en 1978, un art minimaliste. Quarante ans de création ininterrompue, composée notamment de plus de 10 000 oeuvres inventoriées dans des cahiers à dessin qui les protègent de la lumière. Pour l'essentiel, des paysages à l'encre noir où la couleur n'a pas le droit de cité. Ne pas alourdir ses esquisses, fruit d'un éclair de créativité qu'il veut épurer au maximum.
L'artiste cultive son art reflétant pleinement sa personnalité et ses rêves. Le figuratif se veut le plus léger possible. Certaines de ses oeuvres sont archivées dans les biblio-thèques des musées nationaux comme au Muée d'Orsay, Pont-Aven, Nantes, Giverny... Son univers si particulier est unique au monde. Il peut paraître, aux non-initiés de l'art contemporain, déconcertant par son dépouillement. C'est une force de caractère pour se démarquer radicalement des tendances actuelles du monde de l'art. Aux portes du lyrisme et des romantiques, entrez dans les paysages imaginaires et chevaleresques du baryton Bernard Boucheix. -
Avant la dernière vague des Mères Lyonnaises de l'entre-deux-guerres et des Trente Glorieuses, il y eut six vénérables Mères lyonnaises d'exception. Six prestigieuses femmes qui ont brillé de par leur renommée, laissant une trace indélébile dans le coeur des Lyonnais. Leur notoriété, en leur temps, était considérable : « des mythes vivants ».
Tout commence au milieu du XVIIIe siècle par La Mère Guy « La mère des Mères » dont l'établissement accueillit par la suite l'Impératrice Eugénie. Cette antique Mère lyonnaise sera suivie dans la célébrité au mi-lieu du XIXe siècle par La Mère Brigousse « La Mère des amoureux » avec ses « Tétons de Vénus ». La fin du XIXe siècle voit apparaître l'excentrique Mère Amélie alias « La Mélie » aux comportements exubérants. Viendra par la suite la renaissance des Mères lyonnaises avec l'illustre Mère Fillioux « L'Impératrice des Mères lyonnaises » suivie de près par La Mère Bourgeois N°1 au « Club des Cents » et dont la notoriété vit passer, dans son établissement, d'illustres personnalités. Enfin, nous terminerons par cette femme patriotique au grand coeur, La Mère Bizolon, « La Madelon » qui s'illustrera pendant la première guerre mondiale, la rendant interna-tionalement célèbre auprès des soldats. Elle est « décorée de la Légion d'honneur pour service rendu à la Nation ». Six femmes qui sont les Grandes Mères lyonnaises, chacune dans sa spécificité, de la simple buvette au restaurant gastronomique. « Le Club des six vénérables » a marqué l'histoire des premières Mères lyonnaises, ouvrant ainsi la porte, de par leur prestige, a toute une dernière génération des temps modernes. -
Les Mères Lyonnaises - Les reines Mères de Lyon, Fillioux - Bizolon - Brazier
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 3 Avril 2020
- 9782848196688
Il était une fois trois Reines pour un Roi qui régnèrent au cours du XXe siècle dans cette bonne ville de Lyon. Ce dernier, bienveillant auprès de nos « Mères », était devenu un « Monstre sacré » : Paul Bocuse. Quant aux trois premières qui l'avaient précédé, elles ont marqué au fer rouge le coeur des hommes de la cité du Primat des Gaules. Nos Lyonnaises ont eu le privilège de se succéder dans leur notoriété : « La Mère Fillioux » pour « La Belle Époque », « La Mère Bizolon » au cours des « Années Folles » et enfin, « La Mère Brazier » durant « Les Trente Glorieuses ». De cette grande épopée de « Mères » gauloises du siècle dernier, « Le Père Bocuse » clôtura le bal. Vous allez découvrir ce que fut la sainte trinité des Mères Lyonnaises qui ont brillé au firmament d'une renommée devenue mondialisée. Les armoiries de la capitale des Gaules, composées de trois fleurs de lys pour un lion, leur étaient prédestinées. Chacune a marqué historiquement la cité internationale des papilles. Ce triptyque d'exception est une invitation au voyage culinaire. De la simple buvette au restaurant de luxe en passant par la restauration bourgeoise, la caste des ouvriers, notables et jet-setteurs se retrouve dans ces trois personnages emblématiques. Leur ville a fait du plaisir de la table un art de vivre culturel où trône la convivialité. Trois mondes pour trois femmes, trois patronnes pour un chef, trois merveilles pour une ville.
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La Mère Bizolon est l'incarnation du dévouement lyonnais au cours des Années Folles. Tenant son comptoir exposé à tous les vents, cette femme remarquable, décorée de la Légion d'honneur, a marqué son temps. Avec La Mère Fillioux et la Mère Brazier, elle représente l'une des trois « Mères » les plus renommées de la capitale des Gaules. Ce triptyque de cariatides porte la réputation de cette bonne ville de Lyon, haut-lieu de la restauration française. La capitale mondiale de la gastronomie a, comme personnage d'exception, celle qui deviendra une figure internationale auprès des soldats. Sa modestie offrant un art culinaire simplissime comme réponse à une situation grave, donne à cette grande dame lyonnaise un destin hors du commun. Sa buvette légendaire l'a fait entrer dans l'Histoire des mythiques « Mères » lyonnaises. Les Buffets de Clotilde sont appréciés par les Américains en transit, « Les Bidasses ». La cantine improvisée de cette « Femme du peuple » est hors du commun. La cuisine de notre icône nationale sera incarnée par « Le Déjeuner du Soldat » de La Mère Bizolon.
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L'ecole auvergnate peinture regionaliste l'ame d'un collectionneur
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 3 Avril 2020
- 9782848196718
L'École auvergnate regroupe essentiellement les peintres de la Haute et de la Basse-Auvergne au siècle dernier. Clermont-Ferrand est le centre de la vie culturelle de ces artistes régionalistes. Ils ont immortalisé en couleur les paysages auvergnats pendant toute l'époque de la photographie en noir et blanc. Portraitistes, professeurs de dessin, dandies, châtelains, commerçants ou simples peintres du dimanche, ils ont exercé leur art dans la modestie qui les caractérise. Sans le vouloir, ils ont fait école entre eux avec certains petits maîtres comme professeurs de cette transmission picturale paysagère.
De cette école de peinture, Busset ouvrit le bal et Chanonat le clôtura
Ils ont tant aimé l'Auvergne
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La Maison Boucheix raconte l'histoire d'une vieille famille de la Basse-Auvregne dont les origines du nom remontent au XIIIe siècle avec la seignneurie du Boucheix. Cette lignée vit deouis le Moyens-âge au pied des volcans d'Auvergne sous la protection des évêques et comtes d'Auvergne avant de s'intégrer progressivement au Royaume de France.
La branche des Boucheix de Saint-Pierre-Roche restera enracinée jusqu'à la fin du XXe siècle dans ses traditions chrétiennes. L'un des personnages charismatiques qui viendra définitivement clore cette période millénaire de christianisation intense et Monseigneur Boucheix. Leurs terres rudes et nourricières expriment la ruralité de cette noble paysannerie de moyenne montagne qui exploitera différents domaines agricoles tout autour de la Chaîne-Des-Puys. Si l'agriculture est une constante à travers les siècles, l'univers de l'agroalimentaire sera l'une des composantes de cette famille dépositaire d'un certain art de vivre auvergnat. A partir de la seconde moitié du XIXe siècle, le monde de l'hôtellerie et de la restauration fit les beaux jours de certains d'entre eux. Dans la grande traditions du terroir français, les Boucheix portent en eux l'Auvergne en héritage. Ils incarnent aussi bien la sainte trinité de l'art, de la nature et de la gastronomie, mais surtout "l'Auvergne éternelle", porte-drapeau de "La Maison Boucheix". -
Aller droit au but, fuir les longs discours, les citations résument bien les pensées d'un homme. Laisser les autres s'en inspirer serait une réussite... un jour peut-être la consécration : le vieil adage.
Citations, jeux de mots, humour aux traits d'esprit... des phrases parfois caustiques dérangeront les uns et réjouiront les autres.
Ce n'est qu'une ébauche et je n'ai pas tout dit.
Sans parti pris, ni concession, des plus subtils aux plus efficaces, il y en a pour tous les goûts.
Des flashs ou des lapalissades, que de visions, point d'hallucinations, reflet d'une pensée évolutive ou à jamais fixée.
Ce ne sont que quelques mots, couchés sur quelques feuilles. Les lire et prendre du recul, discerner leurs faiblesses, en apprécier le vide. Synthèses qui vous échappent ou cruauté des mots : certains vous ont touchés.
Prenez vos distances, destin tant convoité, pénible cheminement de notre pauvre humanité. -
Bon sang ne saurait mentir.
Les Autier de Villemontée nous font remonter jusqu'à l'Empereur Charlemagne. Histoire familiale millénaire et d'alliances avec les familles de Saint-Nectaire, de Vichy, de Pontgibaud, de Clermont, de Tonnerre, de Murat, de La Tour, de La Rochebriant... en passant par les premiers comtes d'Auvergne mais également d'autres provinces du royaume comme les maisons de Mercoeur, de Lyon, de Poitiers, d'Aquitaine, de Normandie... jusqu'aux premières familles royales mérovingiennes de France. Nous allons vous présenter quelques membres de cette noblesse immémoriale. Des premiers chevaliers partis pour les Croisades aux honneurs de la cour, cette lignée se perd dans les couloirs du temps. -
Le club des six
Venez découvrir l'histoire des grandes Mères lyonnaises à travers l'antique guinguette de la Mère Guy, la mythique taverne de la Mère Brigousse, le fameux hôtel de la Mélie, l'auberge étoilée de la Mère Bourgeois, sans oublier le délicieux restaurant de la Mère Fillioux et la célèbre buvette de la Mère Bizolon. Six Mères légendaires de la restauration en Rhône-Alpes qui ont marqué définitivement l'inconscient des gourmands. Nos douairières cuisinières vous ouvrent les portes du monde merveilleux de la gastronomie lyonnaise. -
Seigneurie Boucheix - Chartreuse -Port-Sainte-Marie
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Décembre 2020
- 9782848197098
Le seigneur de Boucheix céda au Comte d'Auvergne, en l'an de grâce 1219, le lieu-dit Confinéal pour construire la Chartreuse de Port-Sainte-Marie. Ce monastère, situé au fond de la vallée de la Sioule, entre les communes Les Ancizes-Comps et Chapdes-Beaufort, occupait seulement une petite partie de cette immense seigneurie féodale. Les terres de cette famille éponyme du Haut Moyen-âge étaient déjà au XIIIe siècle la propriété de la famille de Beaufort. Actuellement, il ne reste plus que le village Le Boucheix et des bâtiments religieux en ruines pour nous rappeler l'histoire de cette épopée minimaliste et chevaleresque.
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Abbaye du boucheix - beatae mariae de valle lucida (1192 - 1791)
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Décembre 2020
- 9782848197050
L'Abbaye du Boucheix, Notre-Dame du Valluisant, fondée en l'an de grâce 1192, était la nécropole des Comtes d'Auvergne. L'austérité de son architecture romane cistercienne sous la règle de Saint Bernard, et les gisants prestigieux, affiliés aux têtes couronnées d'Europe, exposés dans cette Abbatiale royale, ne sont plus qu'un lointain souvenir. La Révolution française allait détruire ce symbole de l'aristocratie auvergnate. Construite à Yronde-et-Buron au lieu-dit Le Boucheix,
elle n'est plus, depuis 1791, que ruines et masures.