Les musées regorgent d'oeuvres d'art et d'objets révélateurs. Grâce à eux, on se souvient de la vie de nos ancêtres, de l'inventivité dont ils ont fait preuve, des savoir-faire qu'ils possédaient, des traditions qu'ils ont perpétuées, des événements qui les ont marqués. Avec ce numéro d'hiver, Continuité a voulu nous faire découvrir quelques-uns de ces artéfacts en demandant à 22 institutions muséales de partout au Québec de lever le voile sur leurs objets les plus intéressants. Hors dossier, un bilan du chemin parcouru depuis la reconnaissance du Vieux-Québec comme site du patrimoine mondial, il y a 30 ans, un article sur l'acquisition par la Ville de Mascouche du manoir seigneurial qui se trouve sur son territoire et une chronique sur la restauration de la carte polaire du capitaine Bernier, ce grand explorateur du Nord.
Le numéro d'hiver de Continuité, «Le patrimoine, source d'inspiration. Passé recomposé», célèbre les rapports fructueux qu'entretiennent patrimoine et création. Entre autres articles, on brosse un portrait de la manière dont des artistes se sont inspirés du patrimoine à travers le temps; on présente des outils pour guider les architectes qui doivent intervenir sur des bâtiments anciens et on réfléchit à la manière dont le patrimoine inspire l'architecture. En marge du dossier, la chronique «Collection» nous fait découvrir Carlotta, danseuse professionnelles des années 1930 à 1950; la chronique «Restauration» porte sur la maison Jacques-Richer-dit-Louveteau; et on souligne le 100e anniversaire des Cercles des fermières du Québec.
On lui reproche d'être gris et froid. Pourtant, le béton possède de nombreuses qualités qui ont persuadé les bâtisseurs de l'ère industrielle de l'adopter. Ce qui les a conquis? Sa résistance, son caractère ignifuge, la variété de formes qu'il pouvait adopter et la simplicité de sa mise en place. En plus d'être solide et économique, le béton a provoqué la création de nouveaux styles inscrits dans le mouvement moderne. Par sa popularité et son caractère unique, il a considérablement influencé le développement des villes, de l'architecture et même de l'art public. Ce numéro de Continuité espère redorer le blason de ce matériau qui mérite soin et reconnaissance.
La tragédie de Lac-Mégantic a attiré l'attention générale sur le transport ferroviaire et ses dangers. D'aucuns se sont étonnés que le train passe si près du centre-ville. C'est pourtant la ville qui s'est construite autour de la voie ferrée et non l'inverse. Ce rajustement de perspective rappelle le rôle majeur joué par le train dans l'histoire du pays. Sans minimiser les conséquences dévastatrices du déraillement de l'été dernier, le dossier de printemps de Continuité fait acte de mémoire en explorant notre patrimoine ferroviaire, qu'il prenne la forme de véhicules conservés au musée, de gares transformées en centre d'interprétation, de construction de génie toujours en opération ou de tronçons de chemin de fer transformé en piste cyclable, par exemple.
Pour plusieurs communautés, la mise en valeur du patrimoine - paysages, traditions, produits du terroir, architecture - permet d'attirer les visiteurs. Mais pour contrer la désertification des lieux, l'exode des jeunes, il faut l'idée d'un milieu, un projet, une fierté. Le numéro de printemps de Continuité laisse donc la parole à quelques porteurs d'identité afin qu'ils dévoilent les ingrédients de leur succès. Un texte fort à propos du conteur Fred Pellerin, grand ambassadeur du patrimoine immatériel de son village de Saint-Élie-de-Caxton, pose les balises d'une incontournable réflexion identitaire. Puis, nous découvrons les stratégies gagnantes de valorisation du patrimoine de villes comme Baie-Saint-Paul ou Saint-Camille, de régions comme la MRC de Bellechasse et la Gaspésie, en passant même par le multiculturel quartier Mile-End de Montréal.
Propriétaires de maison ancienne désireux de créer un aménagement paysager s'inscrivant dans l'esprit de votre demeure, jardiniers à la recherche de nouveaux défis, passionnés de patrimoine curieux de découvrir notre héritage végétal et horticole, ce numéro est pour vous ! À temps pour l'été, Continuité met en lumière l'intérêt de cultiver les plantes indigènes du Québec ainsi que les fruits et les légumes anciens. Notre dossier traitera aussi des jardins d'agrément et des potagers en Nouvelle-France, des jardins à l'anglaise et des jardins de collection. Plus ! D'un point de vue pratique, nous nous pencherons sur un projet de restauration de jardin historique et sur les défis que représente l'entretien d'un tel jardin.
« Un pays par saison », c'est le thème qu'a choisi Continuité pour illustrer comment notre patrimoine architectural, urbain, culturel et immatériel acquiert sa spécificité en s'ancrant dans un pays, sa nature et son climat. Tout d'abord, un portrait des saisons de nos ancêtres est brossé par le biais de témoignages de personnalités. Puis, Juan Torres et Marie Lessard, de l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal, s'interrogent sur l'aménagement urbain en fonction des saisons. Le photographe Pierre Lahoud illustre l'évolution d'un même paysage au fil du temps et s'intéresse aux courses de canot. À lire aussi, entre autres : un article sur l'histoire de la motoneige et la chronique « Fiche technique » portant sur l'adaptation de notre architecture aux conditions climatiques québécoises.
Qu'ils prennent la forme d'un circuit, d'un festival, d'une projection historique, d'une exposition faisant appel aux nouvelles technologies ou d'un jeu, les outils de découverte du patrimoine cherchent généralement à créer une expérience. En frappant l'imagination, en misant sur le ludisme, ils attirent de nouveaux publics qui prennent conscience de la richesse de notre héritage et de l'importance de le sauvegarder. Le dossier «Outils de découverte. Le patrimoine autrement» présente certains de ces instruments essentiels et s'emploie à en cerner le potentiel. Continuité donne ainsi au lecteur le goût de profiter de la saison estivale et de se lancer dans une grande chasse aux trésors patrimoniaux!
Les quartiers ouvriers témoignent du quotidien des travailleurs, hommes, femmes et enfants, à l'époque de la révolution industrielle. Ils possèdent aussi des caractéristiques architecturales fort intéressantes et ont évolué suivant une logique dont il serait avisé de s'inspirer pour créer la ville durable. Leur situation centrale en fait également des lieux convoités. Comment, alors, développer ces secteurs aux origines modestes tout en en protégeant le patrimoine? Dans la foulée du récent colloque «Quartiers ouvriers: planifier, requalifier, mettre en valeur», d'Action patrimoine, le présent dossier se penche sur ce qui fait l'intérêt de ces voisinages ainsi que sur différentes initiatives pour les mettre en valeur. Également au sommaire, une entrevue avec l'architecte Phyllis Lambert, marquant le 30e anniversaire de Continuité.
Les collectionneurs jouent un rôle primordial dans la préservation de notre patrimoine. Confrontés à des enjeux déterminants pour leur avenir, Continuité a pris l'initiative de consacrer le dossier de son numéro d'hiver à l'univers de ces êtres passionnés et généreux qui méritent non seulement notre respect, mais aussi notre reconnaissance. Hors dossier, la chronique « Conservation » s'intéresse au métier de restaurateur et à ses mutations au fil du temps, la chronique « Fiche technique » traite de l'isolation des maisons anciennes et, enfin, la chronique « Mémoire » se penche sur l'histoire du site où se trouve la Maison-des-Marins, le nouveau pavillon du musée Pointe-à-Callière.
Le numéro d'été de Continuité explore les confluents du patrimoine et de la littérature comme on établit un itinéraire à travers l'espace et le temps. Il invite le lecteur non seulement à lire ou à relire nos classiques, mais aussi à s'aventurer dans des lieux qui nous rappellent les oeuvres ou leurs auteurs : des bâtiments de la Vieille Capitale, des paysages de la Gaspésie, des centres d'archives, des rues de Trois-Rivières, des musées, des maisons d'écrivain, une papeterie artisanale, le Sentier poétique de Saint-Venant-de-Paquette et bien d'autres endroits. Découvrir cette mémoire des mots, n'est-ce pas un séduisant programme estival? (Extrait du billet d'introduction par Josiane Ouellet, rédactrice en chef.)
La valeur d'un paysage varie selon l'appréciation de ses occupants ou de ses visiteurs. D'où l'importance de déterminer ensemble ce qui fonde cet intérêt et les orientations souhaitées pour assurer la protection des paysages. Vecteur de développement social, culturel et économique, le paysage peut influencer notre choix de lieu de résidence ou de destination vacances. Il doit être pris en compte dans tout projet d'aménagement du territoire. En traitant de préoccupations actuelles en matière de paysage, mais aussi en présentant des initiatives positives dans le domaine, le dossier de Continuité explore différents aspects de la question afin d'alimenter le débat et d'inspirer des actions éclairées.
Avec la nouvelle Loi sur le patrimoine culturel, il est désormais possible de protéger un paysage en vertu de sa valeur patrimoniale. La démarche à suivre est claire, mais les objectifs, eux, demeurent flous. Que veut-on sauvegarder exactement ? Le numéro d'automne de Continuité propose d'approfondir la question. Entre autres articles, un texte du photographe et historien Pierre Lahoud et du géographe Henri Dorion souligne la place centrale du fleuve dans de nos paysages, Benoît Grenier de l'Université de Sherbrooke se penche sur l'héritage du système seigneurial et Gérard Beaudet, professeur à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal, s'intéresse quant à lui à la géographie industrielle.
En une de ce numéro de printemps, un père et son fils, également maçon et apprenti. Qui de mieux placé pour incarner l'enjeu crucial qu'est la transmission des savoir-faire en ce qui attrait aux métiers d'art liés au bâtiment ? En une vingtaine d'années, le nombre d'artisans québécois aurait chuté de 2500 à 300. Et les apprentis ne se bousculent pas au portillon... Fort heureusement, un dynamisme renouvelé anime le milieu depuis quelques années. Le dossier de ce numéro de printemps nous fait découvrir de quelles façons les efforts investis commencent à porter leurs fruits, notamment grâce à la reconnaissance des artisans par le Conseil des métiers d'art du Québec et par la formation de la relève, avec des projets comme les Chantiers-apprentissage de la Fondation Saint-Roch.
Depuis l'avènement des clubs privés à la fin du XIXe siècle, le succès de la pêche sportive ne se dément pas. La pratique fait partie de notre histoire, de notre identité. Plusieurs éléments de notre patrimoine bâti et mobilier témoignent de son importance. La pêche au saumon dans La Matapédia et la pêche à Montmagny viennent même d'être intégrées au Répertoire du patrimoine culturel du Québec. À l'approche des vacances, le numéro d'été de Continuité plaira aux amateurs de pêche autant que de patrimoine. On y découvrira notamment une sélection de nos plus beaux camps de pêche historiques et des objets de collection liés à la pêche.
Si vous avez parcouru les routes du Québec cet été, vous avez certainement remarqué le florilège de bâtiments secondaires qui émaillent nos paysages ruraux : granges, étables, porcheries, hangars, fournils, silos, forges, fumoirs... De même, vous avez sûrement rencontré des croix de chemin, grottes, chapelles de procession et autres expressions d'une foi actuelle ou passée. De ces patrimoines, qu'on qualifie souvent de petits, on devrait surtout retenir le caractère essentiel. Ils participent à la spécificité de nos paysages, en plus de témoigner de modes de vie et de savoir-faire d'autrefois. Mais comme tous ne perçoivent pas l'importance de ces repères visuels et identitaires, nous avons décidé de l'exposer dans le dossier de notre numéro d'automne. Devant la disparition graduelle de ces éléments distinctifs, il devient urgent de susciter la volonté de les préserver.
Avec le dossier de son numéro d'été, le magazine Continuité vous invite à découvrir les variétés végétales anciennes. Enracinées dans nos régions depuis des décennies, ces plantes s'avèrent bien adaptées au terroir québécois. Comme il est possible d'en récolter les graines et de les planter l'année suivante, elles permettent de s'affranchir des grandes compagnies et de lutter contre la perte de diversité inhérente à l'industrialisation où fruits et légumes ont été développés en fonction de critères comme leur résistance au transport, leur uniformité et leur capacité de conservation. La mise en valeur du patrimoine semencier favorise de belles découvertes tant gastronomiques qu'historiques. Dans ce numéro, il est aussi question du métier de forgeron, d'un atelier original pour faire découvrir les maisons anciennes de l'Île d'Orléans aux enfants, de comment protéger le bois à l'extérieur, de la restauration d'un moulin à vanner et des travaux d'une maison de ferme du comté d'Hemmingford.
Les préoccupations patrimoniales ne visent pas à cristalliser les legs du passé ou à figer l'identité, mais permettent plutôt de souligner le dynamisme de notre héritage collectif, nourri entre autres par l'apport des diverses communautés culturelles. Leur contribution demeure toutefois méconnue et c'est pourquoi la revue Continuité y consacre son numéro hivernal. Si nous avons intérêt à découvrir l'apport des immigrants à notre patrimoine, eux-mêmes ont à gagner à s'intéresser à celui de leur société d'accueil. Robinson Ngametche (en couverture), concepteur du parcours « Découvrir ma cité », est du nombre de ceux qui travaillent à familiariser les nouveaux arrivants au patrimoine québécois. Aussi au sommaire, l'évolution du style des maisons curiales québécoises, la restauration de l'oeuvre d'art public L'homme d'Alexander Calder, les églises protestantes ou « mitaines » recyclées de Québec, et un aperçu des travaux de la Table de concertation en patrimoine de la danse initiée par le Regroupement québécois de la danse.
Pour son numéro du printemps, le magazine Continuité transcende les façades pour aller à la découverte des intérieurs patrimoniaux. Peu savent que la Loi sur le patrimoine culturel protège aussi l'intérieur des immeubles classés. Les enjeux les touchant sont toutefois différents. Il importe alors de se questionner sur la manière de les apprécier, de les protéger et de les préserver sans les dénaturer. Le dossier spécial de ce numéro offre d'intéressantes pistes. Également au sommaire, les origines de la Dame Blanche que l'on peut parfois voir sur la grève de l'île d'Orléans ou près des chutes Montmorency, la première édition du Festival de la banquise visant à sensibiliser les adeptes de canot à glace au patrimoine maritime de Portneuf, la restauration des finis intérieurs de la maison Étienne-Paschal-Taché à Montmagny et le rôle fondamental des propriétaires de maisons anciennes et les défis auxquels ils font face.
Avec son numéro d'été « Chemins anciens. Des voies à explorer » ,Continuité attire l'attention sur cet héritage plutôt discret, mais fascinant, en explorant son histoire et les enjeux liés à sa préservation. Situés à l'écart des grandes voies de circulation, parsemés d'habitations ancestrales et présentant des parcours sinueux, les chemins anciens ont contribué à structurer nos paysages. Aujourd'hui, ils les révèlent dans toute leur splendeur. D'ailleurs, existe-t-il meilleure façon de voir du pays que de troquer la grand-route pour la vieille route? N'empêche, si quelques passionnés étudient et valorisent ce patrimoine, il demeure généralement peu connu et protégé. À lire aussi, des trouvailles étonnantes lors d'une étude sur l'évolution architecturale du monastère des Augustines de l'Hôpital général de Québec, un portrait de Julien Hébert, fondateur du design moderne québécois, le jardin de François des Petites Franciscaines de Marie de Baie-Saint-Paul, le patrimoine de la MRC d'Antoine Labelle et les invasions fenianes de 1866 et 1870 dans la région de Brome-Missisquoi.
Pour son numéro d'automne, Continuité se penche sur notre patrimoine funéraire, les enjeux qui le touchent et les initiatives participant à sa conservation. Au cours des dernières décennies, les pratiques et les mentalités ont bien changé dans le domaine funéraire. Résultat : l'avenir des cimetières et des monuments qui s'y trouvent se voit menacé. Pourtant, ce patrimoine, dont on préfère souvent éviter de parler pour ne pas aborder la délicate question de la mort, constitue une grande richesse. Par leur aménagement, l'architecture de leurs tombeaux, dalles, stèles, caveaux et mausolées, les oeuvres d'art qui les parsèment et les informations inscrites sur leurs pierres tombales, les cimetières sont des centres d'archive et des musées à ciel ouvert. Heureusement, des intervenants de ce milieu en mutation s'activent à trouver et à mettre en oeuvre des solutions afin d'assurer la pérennité de ce legs, qui, s'il rend d'abord hommage aux défunts, joue aussi un rôle essentiel pour les vivants.
Ce printemps, Continuité nous fait voyager en rendant hommage aux merveilles du monde. Ces derniers mois, nous avons été les témoins impuissants de la destruction par le groupe armé État islamique de plusieurs joyaux de la cité antique de Palmyre, un important site archéologique de Syrie qui figure à la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Ces actes de saccage nous rappellent toute la fragilité du patrimoine mondial et mettent en lumière la nécessité de le protéger. Ce numéro nous présente d'abord un article relatant la genèse de la Convention du patrimoine mondial ainsi que les étapes qu'un site doit franchir pour figurer sur la Liste. Après quoi l'« effet patrimoine mondial » est expliqué en prenant l'exemple du cas de Québec. Nous découvrons ensuite le centre-ville d'Arequipa au Pérou, 10 sites canadiens reconnus internationalement et un projet éducatif destinés aux jeunes du site d'Angkor au Cambodge.
À l'heure de l'urbanisme participatif et tactique, le dossier du numéro d'automne de la revue Continuité se penche sur les liens entre patrimoine et participation citoyenne. Le magazine explore le rôle que chacun peut jouer dans la préservation de notre héritage collectif et de la qualité de nos milieux de vie, mais aussi, sur la manière d'amener monsieur et madame Tout-le-monde à passer à l'action. Car, en patrimoine, la participation citoyenne prend diverses formes : une communauté se mobilise pour sauver un bâtiment qui lui tient à coeur ou pour dénoncer un projet qu'elle juge inapproprié, des gens s'impliquent dans un processus de consultation publique ou un projet de codesign, des voisins décident d'animer un espace vacant de leur quartier. Dans les autres rubriques, découvrez des faits surprenants de l'histoire des Augustines de l'Hôpital général de Québec et voyez comment une rare harpe-cithare a été restaurée.
Dans son édition hivernale, Continuité s'intéresse à l'avenir du patrimoine bâti. Alors que la Loi sur le patrimoine culturel fête son cinquième anniversaire et que le gouvernement travaille au renouvellement de sa politique culturelle, la Table de concertation des acteurs nationaux en patrimoine bâti du Québec a organisé un grand sommet cet automne. Son objectif ? Réunir les forces vives du milieu afin de partager des expériences, de dresser un état des lieux, d'identifier les enjeux actuels du domaine et de proposer des actions pour l'avenir. Continuité profite de l'occasion pour rendre hommage à ces organismes et explorer avec eux le contexte dans lequel ils oeuvrent à la sauvegarde et à la mise en valeur de notre héritage bâti. Également au sommaire, une chronique sur la sauvegarde par la Société d'histoire de Charlevoix de la forge Riverin à La Malbaie, et une enquête sur le patrimoine immatériel de la MRC des Basques.