Pour découvrir cette région à travers ses paysages et sa géographie : la vallée de Seine, Rouen, la Seine-Maritime et l'estuaire, Caux, Bray et Vexin, l'Eure, Evreux et Risle.
Raconte le passé du Pays de Bray et de son pourtour. Cet ouvrage évoque la nature, les paysages, les constructions des siècles antérieurs, l'activité humaine. Il se doit donc de faire une place aux métiers d'autrefois qui sont nés de la civilisation et qui ont dû suivre son évolution.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Caudebec, avec son bac reliant les deux rives de la Seine, fut la cible stratégique de l'aviation allemande en 1940, puis des armées alliées durant la phase finale de la Bataille de Normandie. Le bombardement du 10 juin 1940, suivi d'un gigantesque incendie, détruisit quatre cent trente-quatre immeubles sur six cent dix, transformant tout l'ensemble de vieux logis à pans de bois en un amas de ruines écroulées sur les carcasses de quelques huit cents voitures, parquées dans ses rues étroites. Ensevelie sous ses décombres, cette vénérable cité, vieille métropole du Pays de Caux, disparaissait à tout jamais, emportant avec elle des siècles d'Histoire. Ceux qui ont vécu ces événements, ont voulu - pour les jeunes générations - rapporter leurs souvenirs. Ils relatent ici leur Exode, la destruction de la ville, sa réorganisation par quelques citoyens énergiques, les dures années d'Occupation, le patriotisme dont ils surent faire preuve, la fin de la Bataille de Normandie avec la Déroute allemande, enfin la Libération, impatiemment attendue depuis quatre ans.
Caudebec, avec son bac reliant les deux rives de la Seine, fut la cible stratégique de l'aviation allemande en 1940, puis des armées alliées durant la phase finale de la Bataille de Normandie. Le bombardement du 10 juin 1940, suivi d'un gigantesque incendie, détruisit quatre cent trente-quatre immeubles sur six cent dix, transformant tout l'ensemble de vieux logis à pans de bois en un amas de ruines écroulées sur les carcasses de quelques huit cents voitures, parquées dans ses rues étroites. Ensevelie sous ses décombres, cette vénérable cité, vieille métropole du Pays de Caux, disparaissait à tout jamais, emportant avec elle des siècles d'Histoire. Ceux qui ont vécu ces événements, ont voulu - pour les jeunes générations - rapporter leurs souvenirs. Ils relatent ici leur Exode, la destruction de la ville, sa réorganisation par quelques citoyens énergiques, les dures années d'Occupation, le patriotisme dont ils surent faire preuve, la fin de la Bataille de Normandie avec la Déroute allemande, enfin la Libération, impatiemment attendue depuis quatre ans.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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D'abord parti en quête du passé de son village d'adoption, Bouville, l'auteur a étudié ensuite les communes voisines : Blacqueville, Pavilly, Mesnil-Panneville, Fréville, Carville-la-Folletière, Barentin, Villers-Ecalles, Saint-Paër, Duclair, Sainte-Marguerite-sur-Duclair, Épinay-sur-Duclair, Yvetot, Saint-Clair-sur-les-Monts, Sainte-Marie-des-Champs, Touffreville-la-Corbeline, La Folletière, Mont-de-l'If, Croixmare, Ecalles-Alix, Flamanville, Motteville, Cideville, etc. Ce livre constitue le second tome d'un ouvrage en plusieurs parties. Celui-ci traite, tout particulièrement, de Mesnil-Panneville, Fréville et Carville-la-Folletière. Il ne contient pratiquement que des informations inédites. Il sera utile aux chercheurs de métier, grâce aux sources citées, et à tout amateur d'histoire locale.
D'abord parti en quête du passé de son village d'adoption, Bouville, l'auteur a étudié ensuite les communes voisines : Blacqueville, Pavilly, Mesnil-Panneville, Fréville, Carville-la-Folletière, Barentin, Villers-Ecalles, Saint-Paër, Duclair, Sainte-Marguerite-sur-Duclair, Épinay-sur-Duclair, Yvetot, Saint-Clair-sur-les-Monts, Sainte-Marie-des-Champs, Touffreville-la-Corbeline, La Folletière, Mont-de-l'If, Croixmare, Ecalles-Alix, Flamanville, Motteville, Cideville, etc. Ce livre constitue le second tome d'un ouvrage en plusieurs parties. Celui-ci traite, tout particulièrement, de Mesnil-Panneville, Fréville et Carville-la-Folletière. Il ne contient pratiquement que des informations inédites. Il sera utile aux chercheurs de métier, grâce aux sources citées, et à tout amateur d'histoire locale.
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Ce livre a été écrit : pour ceux qui s'intéressent à l'histoire régionale, et même à l'histoire nationale : ils y trouveront le récit d'événements qui occupent une place parmi les désastres de la dernière guerre ; pour ceux qui habitent Saint-Valery-en-Caux, et pour ceux qui y ont combattu : ils auront là une occasion de rassembler, et de fixer, les souvenirs des jours sombres qu'ils ont vécus en mai et juin 1940 ; pour les familles des militaires qui reposent dans le cimetière de Saint-Valery : elles y apprendront en quelles circonstances sont tombés leurs chers et glorieux morts.
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Il était indispensable, cent ans après la mort de Guy de Maupassant, d'extraire de l'enfer des bibliothèques, les pages, à la limite du supportable, que nous publions ici. Le présentateur, membre de la Royal Society of Medicine au titre d'historien de cette discipline, s'est acquis une certaine notoriété à travers ses études de l'épilepsie chez Flaubert. C'est du même oeil de clinicien, qu'il a scruté la personnalité de Maupassant. Ses déductions pourront offusquer ceux pour qui l'écrivain est un romancier de talent et, avant tout, un aimable conteur de paysanneries cauchoises. Elles nous confrontent à une toute autre réalité ; son texte est décapant, il ôte le vernis qui recouvre un écorché grimaçant, où se révèle le cynisme de Sade, son véritable inspirateur, jusque dans sa conduite, ce qui est inattendu. L'avant-propos, signé d'un sexologue averti, nous introduit dans le vif du sujet : les tourments d'un homme, prisonnier d'une sensualité exacerbée, à la recherche du regard d'amour pur dont il ne lui sera jamais donné de rencontrer la tendresse. La substance de l'ouvrage, de par sa nature scabreuse, nous fait un devoir de préciser qu'il ne s'adresse qu'à des lecteurs prévenus.
J.-J. Hoizey, avec les moyens qui lui sont propres, l'écriture et aussi le dessin de ces merveilleux albums que sont L'pâlé d'at' fai et Les Cauchois d'un trait de plume, aide l'être humain en perpétuelle quête de ses racines et de ses sources à résister aux agressions incessantes de la vie moderne, et à conserver cette identité qui, dans sa diversité est et restera une richesse incomparable. J.-J. Hoizey, prend rang parmi nos bons écrivains régionaux, en nous restituant de façon originale dans ce livre "Coquins de Cauchois !" la saveur des mentalités des gens d'un autrefois encore tout proche, et en passe de devenir légendaire.
Lorsque les Vikings, ces Normands venant de Scandinavie, envahirent notre région aux IXe et Xe siècles, ils la découvrirent très peu peuplée, avec une organisation sociale probablement assez rudimentaire. Les légions romaines étaient parties depuis près de cinq siècles. (...) Un quartier de la commune s'appelle toujours le Mesnil Gosselin, et cela depuis dix siècles. L'origine de ce nom est bien scandinave, Gosselin signifie « fils de Gosse »...
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