Voici un projet scolaire qui commence très mal pour Marie «Chicane»... qui l'entrainera cependant dans une aventure de découvertes historiques insoupçonnées !
Déjà que c'est tout un défi d'être «la nouvelle» de l'école. Mais en plus, être obligée de faire équipe avec Mathieu Landry ! Le garçon à casquette veut l'entraîner dans une chasse au trésor. Et puis il y a ce vent qui souffle sans arrêt dans la vallée de Memramcook. On dirait qu'il murmure des choses, la nuit... Marie et Mathieu devront s'apprivoiser, tout en suivant les traces du père Camille Lefebvre (fondateur du Collège Saint-Joseph), afin de découvrir qui a bien pu vandaliser le Monument-Lefebvre. Mettront-ils la main sur le convoité trésor de Memramcook ? Ce sera à leurs risques et périls.
Alors que l'ombre des corneilles s'allonge sur la neige, la poésie de Dominic Langlois remue les cendres d'une enfance encore chaude, lyrique et bouleversante, parfois tourmentée, toujours en quête d'un sens qui lui échappe.
Les sentiments barbares est le troisième recueil de poésie de Dominic Langlois aux Éditions Perce-Neige.
«Ce livre bouleversant et parfois dérangeant évoque une enfance en danger dont l'unique secours est le rêve.
l'amour est en calvaire
manque de mots
un vide rempli
de phrases toutes faites
à mettre les points sur les i
pour se faire comprendre
ma mère
se traine à genoux dans la cuisine
un chemin de croix
laisse des marques
un saint suaire
qu'on ne peut effacer
Voici le second recueil d'un poète qui s'était fait remarquer pour son premier recueil intitulé Mener du train, publié en 2010, et dont le critique Hugues Corriveau disait que « nostalgie et mélancolie pétrissent ces poèmes rigoureusement réalistes » (Le Devoir).
Dominic Langlois nous amène faire un tour du côté de l'enfance dans ce premier recueil au rythme enjoué et saupoudré de clins d'oeil espiègles. La grande force de cette poésie ludique est de rassembler tout le monde sous le signe de la complicité et du sourire en coin. Un grand vent de fraicheur dans les ruelles de l'été.
Alors qu'un capitalisme toujours plus débridé bouscule les sociétés du monde et précipite la crise écologique et sociale, la notion de progrès qu'il charrie a de quoi laisser perplexe. Ne se limitant plus à l'aspiration - toute humaine - à l'amélioration des conditions de vie, cette notion est plutôt devenue un symptôme du fantasme de la toute-puissance technique et de la maîtrise du vivant. Dans ce contexte, vouloir préserver le monde contre la démesure et la destruction environnementale, faire l'éloge des limites, relève-t-il d'un conservatisme? D'ailleurs, que signifie ce mot dans une perspective de gauche? Dans quelle mesure est-il nécessaire à un réenchantement du monde?