Où l'on retrouve Victor B., le photographe de presse amoureux des chats, héros des romans noirs de J.-F. Vilar. Victor rentre à Paris, après trois années de captivité à l'étranger. Nous sommes en novembre 1989 et le mur de Berlin commence à s'écrouler.
Mathieu n'a plus un sou en poche ; l'avenir s'annonce sombre... Quand Paméla lui propose de devenir acteur de cinéma, il accepte sans chercher à comprendre... Star ou doublure ? Hors champ, Mathieu découvrira très vite le prix à payer...
Qui a jamais vu des Hiboux dans Paris ? Il en existe pourtant. C'est même une véritable société secrète à laquelle rien n'échappe. Heureusement, d'ailleurs. Parce qu'on est en septembre 1792. La Révolution fait rage. Et on vient de piller le trésor de la famille royale. Coup dur pour les sans-culottes ! Bastien, Gisèle et quelques drôles d'oiseaux de leurs amis sont sur la piste...
Mathieu n'a plus un sou en poche ; l'avenir s'annonce sombre... Quand Paméla lui propose de devenir acteur de cinéma, il accepte sans chercher à comprendre... Star ou doublure ? Hors champ, Mathieu découvrira très vite le prix à payer...
Qui a jamais vu des Hiboux dans Paris ? Il en existe pourtant. C'est même une véritable société secrète à laquelle rien n'échappe. Heureusement, d'ailleurs. Parce qu'on est en septembre 1792. La Révolution fait rage. Et on vient de piller le trésor de la famille royale. Coup dur pour les sans-culottes ! Bastien, Gisèle et quelques drôles d'oiseaux de leurs amis sont sur la piste...
Quoi de plus banal qu'être devant un photomaton, dans une station de métro ? Seulement voilà, des portraits se mettent à sortir de la machine. Ceux d'une femme manifestement belle. Au regard énigmatique. Personne aux alentours : la femme a disparu. Une anecdote qui trouble, mais qu'on peut oublier. Pas Mathieu, historien raté, « nègre littéraire », qui se met à considérer ces photos comme un enjeu fatal. Rien ne l'y force mais il relève le défi. Quitte à revenir sur les temps obscurs de la Libération de Paris. Pas par courage, seulement pour voir. C'est sa manière à lui d'être fatigué... et tenace.
Quoi de plus banal qu'être devant un photomaton, dans une station de métro ? Seulement voilà, des portraits se mettent à sortir de la machine. Ceux d'une femme manifestement belle. Au regard énigmatique. Personne aux alentours : la femme a disparu. Une anecdote qui trouble, mais qu'on peut oublier. Pas Mathieu, historien raté, « nègre littéraire », qui se met à considérer ces photos comme un enjeu fatal. Rien ne l'y force mais il relève le défi. Quitte à revenir sur les temps obscurs de la Libération de Paris. Pas par courage, seulement pour voir. C'est sa manière à lui d'être fatigué... et tenace.