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Les Éditions Mille Cent Quinze
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" Concernant l'art, il est convenu d'affirmer que rien ne surgit ex nihilo, il n'existe pas de véritable rupture car les artistes sont pris dans un maillage d'influences plus ou moins diffuses, et leurs oeuvres sont uniques tout en ayant une histoire, une lignée. Nos récentes découvertes montrent que, dans bien des cas, ceci est à prendre au pied de la lettre... "
L'heure est venue pour l'humanité de quitter sa bonne vieille Terre et de se lancer à la conquête d'une nouvelle existence. Mais un dernier danger menace les voyageurs, celui de perdre la raison dans le silence éternel de ces espaces infinis. C'est alors qu'apparaît une solution : l'art. Mais comment capturer, puis transporter l'art ? Et peut-il réellement sauver la civilisation ? -
" Un violent passé resurgissait soudain, un passé où jadis des sauvages la livrèrent de force en sacrifice, sur la terrifiante île du Crâne que le monde civilisé en général et les cartographes en particulier ignoraient. Un passé dans lequel un gorille géant était tombé amoureux d'une comédienne sans le sou. Jusqu'à ce que les munitions des avions le percent de part en part tout en haut d'un gratte-ciel.
Jusqu'à la chute. "
Au générique de ce triptyque de nouvelles délicieusement uchroniques explorant le thème de l'asservissement : la Bretagne indépendante, King Kong, le petit-fils de Frankenstein, Marilyn Monroe et Jacques Mesrine. En somme, tout un programme ! -
« Vous avez sans doute entendu dire que les modèles récents ne sont pas juste des robots géants, mais sont aussi organiques, je me trompe ? En fait, ce n'est pas une nouveauté, ça a toujours été le cas : l'organique, c'est l'équipage.
Pourquoi ce sont des humains qui font tout ça ? C'est assez évident, non ? On coûte moins cher que des droïdes. »
Quand on ne peut plus faire l'économie des combats titanesques face aux assauts répétés de la menace extraterrestre, ne reste qu'une solution pour sauver l'humanité : l'amputer d'une fraction de sa population en l'envoyant travailler au coeur des Méchas. Mais pour combien de temps, encore ? -
Les jardins du feu et du vide
Nicolas Le breton
- Les Éditions Mille Cent Quinze
- 31 Janvier 2019
- 9791097100384
Vodenn tapota machinalement son crâne, comme s'il cherchait une calotte-miroir qui n'y était pas. Il eut un regard vide, considérant l'incalculable :
- Odregan ne serait pas une légende ? Odregan serait une réalité ? Je veux dire, on a souvent pensé que ces documents étaient des faux habiles, des manipulations extrêmement bien faites... mais ça ?
Il médita longuement. Un léger soupir lui échappa :
- L'Ico, et Odregan. Les deux plus grands mystères de notre civilisation, réunis.
Un long frisson parcourut les épaules de Vodenn.
La forme immobile d'Odregan semblait attendre un combat avec l'Univers lui-même. -
Destination : le bureau de Stan, un psychiatre bardé de diplômes, dont l'existence a basculé il y a peu, lorsqu'on lui a confié la mission de gérer la psyché du Gardien Blanc, autrement appelé GB. Et autant dire que ce n'est pas une mince affaire, puisque ce dieu vivant ne semble connaître aucune limite, sinon celle que lui impose encore sa morale.
Avec « Le Gardien Blanc », Norman Jangot nous parle sans détour des affres du pouvoir et de la responsabilité, tout en mettant le doigt sur la difficulté de concilier ces deux notions, qui plus est quand on évolue dans une société qui a elle-même le plus grand mal à faire la part des choses. -
Destination : la cité de Whittier, au XXXIe siècle. Clarisse y travaille pour la société de surveillance SEEN, suivant chaque jour la même routine, morne et grise. Le soir venu, elle s'offre quelques heures d'évasion grâce aux lisions, ces petites pilules dorées qui promettent de vivre des rêves plus vrais que nature. Car à Whittier comme ailleurs, les livres ont disparu. Mais un soir, sans raison apparente, le lision se transforme en cauchemar. Un cauchemar digne d'un vieux roman dystopique du XXe siècle.
Avec « La lisiothécaire », Mafalda Vidal ouvre en grand les portes de la littérature de genre, donnant à voir, en quelques pages seulement, toute l'étendue de ces royaumes de l'imaginaire à jamais vivants dans la conscience collective. -
Destination : une planète lointaine, aux antipodes galactiques de notre système solaire. Un équipage trié sur le volet, au départ d'une station en orbite autour de Jupiter. Tout le monde est prêt à partir. À moins bien sûr qu'on ait omis d'exposer aux futurs explorateurs les réels tenants et aboutissants de leur voyage.
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Destination : Vénusia, une planète sur laquelle le temps ne suit pas la trajectoire qu'on lui connaît habituellement. Et ce sont les corps des humains qui choisissent de s'y rendre qui en subissent les conséquences, connaissant un jour après l'autre une évolution qui, poussée jusqu'à l'extrême, est la cause de situations pour le moins ingérables.
Avec « Elizabeth », Ann Carré nous met face à l'incohérence de nos désirs les plus profonds. Car à se voir exaucés, il y a des voeux que l'on regretterait assurément d'avoir faits. Aller à l'encontre de l'ordre naturel des choses n'est jamais gratuit, et le prix à payer ne nous apparaît souvent que trop tard. -
Destination : Planète Alessandra. Un nouveau monde à coloniser pour des humains rêvant d'ailleurs. Mais il y a un hic : sur Alessandra, les plantes se déplacent, se chassent, se reproduisent et détruisent les fermes installées à grand-peine. Quand la survie ne tient plus qu'à un fil, les colons doivent faire un choix : adopter les règles de leur terre d'asile, ou disparaître sous les pétales de fleurs.
Avec « Capsule 11# », Philippe Pinel nous entraîne sur les chemins d'un monde imprévisible, vers une nouvelle manière de faire société, entre plantes pèlerines, borgs polymorphes et convois de ravitaillement. Un voyage en quête de la liberté absolue.