Mélange de frissons et d'émotion brute, un premier roman phénomène, vendu à plus d'un million d'exemplaires. 2004. Par une nuit glaciale, cinq personnes scellent un pacte au-dessus d'une tombe fraîchement creusée.
Mais les secrets finissent toujours par remonter à la surface... De nos jours, Teresa Wyatt, ancienne directrice du foyer pour filles de Crestwood, est retrouvée noyée dans sa baignoire.
Au même moment, Crestwood fait la une des médias : des fouilles archéologiques viennent de mettre au jour le squelette d'une adolescente enterrée dans le jardin.
Coïncidence ? L'inspectrice Kim Stone n'y croit pas. Et quand les ossements d'autres fillettes sont exhumés, l'affaire prend rapidement un tour personnel pour cette jeune flic au tempérament plus tranchant qu'une lame de rasoir. Elle qui a connu l'assistance publique est bien décidée à rendre justice aux innocentes oubliées de tous dans ce lieu cauchemardesque...
Sandrine ne s'aime pas. Elle trouve son corps trop gros, son visage trop fade. Timide, mal à l'aise, elle bafouille quand on hausse la voix, reste muette durant les déjeuners entre collègues.
Mais plus rien de cela ne compte le jour où elle rencontre son homme, et qu'il lui fait une place. Une place dans sa maison, auprès de son fils, sa maison où il manque une femme. La première. Elle a disparu, elle est présumée morte, et Sandrine, discrète, aimante, reconnaissante, se glisse dans cette absence, fait de son mieux pour redonner le sourire au mari endeuillé et au petit Mathias.
Mais ce n'est pas son fils, ce n'est pas son homme, la première femme était là avant, la première femme était là d'abord. Et le jour où elle réapparaît, vivante, le monde de Sandrine s'écroule.
Dernière sélection du Prix Maison de la Presse 2020
Finaliste Prix Libr'à Nous 2021 - catégorie Polar
« Il arrive qu'un livre, soudain, résonne avec le monde environnant, jusqu'à l'éclairer d'une lumière singulière. » Libération
« Ce polar psychologique traite avec talent du sujet de l'emprise et de la violence conjugale. » France Dimanche
« C'est un coup de génie que réalise Louise Mey avec La Deuxième Femme, l'un de ses romans les plus puissants de cette rentrée de janvier. » Causette
« Une jeune auteure à suivre » ELLE
« Féministe, écrivaine, et auteure attachée aux rapports que les femmes entretiennent avec leur corps, elle décortique dans ses romans, avec une terrible acuité, les mécanismes psychologiques de la violence. » Marie Claire
« Manipulations, angoisses et violences conjugales se mêlent avec réussite dans ce thriller psychologique aussi formidable qu'étonnant. » Femme Actuelle
« Avec un style incisif, cette jeune auteure de romans noirs aborde la violence conjugale à travers une plongée dans le mécanisme de l'emprise. Vertigineux ! » Version Femina
« Bouleversant. (...) Un roman engagé sur l'emprise et la violence conjugales. » Ici Paris
« Un roman sombre et douloureux qui aborde avec force des thèmes aussi noirs que la violence, l'emprise et la manipulation. » Vaucluse Matin
Après la mort tragique de son mari, Jo-Marie décide de changer de vie, et reprend une maison d’hôtes dans la petite ville de Cedar Cove : la Villa Rose. Sa première cliente, Abby, a survécu à un accident de voiture, dans lequel sa meilleure amie a trouvé la mort. Elle n’a jamais eu le cœur à retourner dans la ville où elle est née, jusqu’à ce jour, dix ans après l’accident. Josh, le second client doit prendre en charge son beau-père, un vieil homme à présent, avec qui il ne s’est jamais entendu. Derrière les portes de la jolie maison d’hôtes, ces personnages inoubliables trouveront l’amour, le pardon et la possibilité d’un nouveau départ.
Une auteure star des éditions Charleston
Avec plus de 200 millions de livres vendus, traduits dans 23 langues, Debbie Macomber est l’une des romancières les plus populaires du monde. Elle a reçu de nombreux prix, dont le prestigieux RITA et le RT Book Reviews Awards. Elle est l'auteure de plusieurs titres aux éditions Charleston et Diva Romance.
Coincée au fin fond de l’Alaska pour tout l’hiver ?
Josie Avery a l’impression de vivre son pire cauchemar. Elle devrait être en route pour le job de ses rêves à Seattle à l’heure qu’il est, mais il faut se rendre à l’évidence : le dernier ferry reliant la petite île au continent est parti sans elle et elle est coincée sur ce petit bout de terre aux confins du monde jusqu’à la prochaine belle saison.Bien sûr, au cours des derniers mois, elle est tombée complètement sous le charme de l’exubérante nature qui l’entoure et de ses habitants hauts en couleur, mais sa vie n’est pas ici. Et ce n’est certainement pas le très séduisant (et ténébreux) Palmer Saxon qui la fera changer d’avis...
Avec plus de 200 millions de livres vendus, traduits dans 23 langues, Debbie Macomber est l’une des romancières les plus populaires du monde. Elle a reçu de nombreux prix, dont le prestigieux RITA et le RT Book Reviews Awards. Elle est l'autrice de plusieurs titres publiés aux éditions Charleston, dont la série Retour à Cedar Cove.
Dans ce nouveau roman, Barbara Kingsolver interroge la place des femmes dans la famille et dans l'histoire à travers deux héroïnes : Willa Knox, journaliste indépendante qui doit aider son fils en pleine crise existentielle et Mary Treat, scientifique émérite largement oubliée malgré sa proximité intellectuelle avec Darwin. Ce qui lie les deux femmes : un charisme irrésistible, un intense besoin de liberté et... une maison. D'une époque à l'autre, du XXIe siècle au XIXe siècle, Barbara Kingsolver dresse un portrait saisissant de vérité de l'Amérique, mêlant avec brio le romanesque et le politique.
« Le plus beau livre de montagne de cette dernière année... »Paolo Cognetti, prix Médicis étranger 2017 pour Les huit montagnes« La montagne m'a vu naître, elle m'a nourri, m'a appris, m'a protégé. Alors je suis devenu le seigneur des corniches rocheuses, la sentinelle des cols reculés, le maître des moraines isolées. Je règne sur ce royaume de pierres non parce qu'il est à moi, mais parce que je lui appartiens. La montagne m'a accepté auprès d'elle et je suis devenu son gardien respectueux, le berger de ses bouquetins, en toutes saisons et par tous les temps. » Louis Oreiller est né en 1934 dans le Val d'Aoste, à Rhêmes-Notre-Dame, aux confins sauvages du parc du Grand-Paradis, à 1 700 mètres d'altitude. La montagne ne lui a jamais inspiré ni défi ni performance. Elle est sa terre et son ciel, un horizon avec lequel il fait corps. Pour conjurer la pauvreté, il a été braconnier, contrebandier... Puis il a pu changer de camp, devenant garde-chasse et finalement garde du parc national. Une vie éloignée des sentiers balisés par la société, le plus souvent à l'écart des hommes, dans une vallée que les avalanches coupaient autrefois du monde six mois par an. Une vie à caresser la roche et la glace, à parler aux arbres et aux marmottes, à suivre le vol des aigles et à veiller sur les mouflons. Une vie en communion avec la montagne. Le monde de Louis Oreiller va disparaître, enseveli sous le déferlement de la modernité. Alors sa parole, rare, résonne de toute la puissance des éléments. À qui, comme Irene Borgna, sait l'écouter, elle semble poésie et sagesse. Il n'est pas tout d'avoir de la mémoire, encore faut-il la langue de Louis et son esprit libre pour nous conduire là-haut, où l'air est plus pur et les pensées plus claires.
À trois reprises, Pierre Jourde est allé parcourir les pistes du Zanskar, vallée désertique de l'Himalaya, à quatre mille mètres d'altitude. Le Tibet sans peine raconte ces longs périples (l'auteur avait vingt-cinq ans la première fois) sous forme d'une épopée cocasse, décrivant les tourments, les émerveillements et les ridicules de jeunes banlieusards occidentaux livrés à une nature démesurée. Traverser des glaciers et des tempêtes de neige avec un équipement de promeneur estival nécessite autant d'inconscience que de ténacité. L'équipée est rapportée avec une verve comique teintée d'autodérision. À la description des paysages sublimes et de l'hospitalité généreuse des Tibétains répond celle du progressif délabrement physique et moral du voyageur et de ses compagnons dans la dureté de l'épreuve. Un régal de lecture, qui n'est pas sans évoquer l'humour espiègle et le sens de l'absurde des récits de Nicolas Bouvier.
Cassie Raven est technicienne à la morgue de Camden le jour, apprentie taxidermiste le soir. Son job, c'est préparer les corps et assister le médecin légiste. Elle coche toutes les cases du stéréotype de la fille bizarre : un peu gothique, piercée et tatouée de partout. Elle est persuadée que les cadavres peuvent vous donner des indices sur les causes de leur mort, à condition de les « écouter ». Un matin, elle trouve comme première cliente son ancienne prof, Mme E., celle l'a aidée à sortir de la drogue et des squats et qui l'a remise sur les rails quelques années auparavant. Conclusion de l'autopsie : mort accidentelle par noyade. Cassie n'y croit pas. Elle pense qu'elle a été assassinée. Mais comment le prouver ? Pas simple, surtout qu'elle n'a pas vraiment la cote auprès de la police et qu'elle a sur le dos l'inspectrice Phyllida Flyte, coincée et glaciale, qui la suspecte d'avoir volé un cadavre à la morgue...
Le premier tome s'une série forensique avec une héroïne décapante !
Soit elle craque, soit elle l'étrangle. Il préfère l'option 1.
Journaliste pour un grand magazine londonien, Galiane vient de recevoir une super promotion : sa propre rubrique !
Seul souci : elle doit rédiger des articles sur le sexe et le plaisir... sauf qu'elle est toujours vierge !
Quand Sedge, le meilleur ami de son frère, l'apprend, il commence par éclater de rire... avant de lui proposer de l'initier. Au désir, à la frustration, aux différents types d'orgasmes, aux sextoys...
Galiane est réticente au début, mais elle n'a pas le choix : c'est ça ou elle perd sa place si chèrement acquise au sein du journal.
Elle le déteste depuis toujours et pourtant elle se rend compte que son corps lui envoie un tout autre message. Elle crève de désir pour lui !
Et ça, ce n'était vraiment pas prévu...
***
- Tu veux quoi ?! demandé-je, peu aimable.
Son petit air diabolique a le don de me mettre hors de moi.
- Je veux te rendre folle, Lia. Tu sais que j'aime te titiller.
- Tu m'emmerdes, Sedge ! Tu ne peux pas te trouver un autre punching-ball ?
- Et me priver de nos joutes verbales ? Me priver de tes yeux rageurs ? Jamais ! J'aime trop ça pour arrêter ! Ça m'avait tellement manqué !
Je hais ce mec !!!
- Tu en es où avec ta nouvelle chronique ?
Je soupire lourdement.
- Tu m'as dit que tu voulais parler du désir ? me demande-t-il, curieux.
Je le regarde, surprise. J'ancre mon regard qui crache du feu dans le sien, rieur.
- Ta langue se délie quand tu es pompette, petite fouine.
Je ne boirai jamais plus... Pourquoi lui ai-je dit ça ?!
- J'irai voir sur Internet. Je vais bien trouver, fais-je en me dirigeant vers ma chambre afin de mettre un terme à cette discussion dérangeante.
Je n'entends ni ne vois le corps musclé de Sedge se déplacer. Je le sens au moment où il plaque son corps contre le mien, m'emmenant buter contre le mur du couloir.
Surprise, confuse et en colère, je redresse la tête. Nous n'avons jamais été aussi proches, lui et moi. Je sens ses muscles fermes et cela provoque en moi un trouble jusqu'alors inconnu.
Ma respiration devient chaotique, mais c'est certainement dû à la colère sourde qui est prête à exploser s'il ne me libère pas très vite.
Sedge appuie son corps un peu plus contre le mien. Sa chaleur m'envahit et me submerge.
J'ai envie de remonter mes lunettes sur le nez mais il a agrippé mes poignets et les maintient plaqués contre le mur à hauteur de ma tête.
- Dégage ! Tu fais quoi ? demandé-je avec rage, mais ma voix ne me semble pas aussi assurée que ce qu'elle devrait être.
- Je vais te donner un aperçu du désir, Lia, dit-il d'une voix rauque et sensuelle. Tu n'as qu'à dire « non », et j'arrêterai.
***
Initiation with my Enemy, de Camilla Simon, histoire intégrale.
JF prude cherche amant torride pour l'initier au plaisir. Boss acceptés.
Depuis que son ex l'a humiliée en la traitant de frigide en public, rien ne va plus pour Léonie. Sa confiance en elle est au plus bas et elle est persuadée qu'aucun homme ne pourra jamais lui donner de plaisir. Comme si cela ne suffisait pas, le beau gosse qui lui est venu en aide le soir maudit où tout a basculé n'est autre que... son nouveau boss, Eneko. Et Léonie hallucine ! Celui qui s'est montré si serviable quand elle était agressée se révèle être le boss le plus imbuvable que la terre ait jamais porté. Seulement, il est aussi terriblement sexy. Alors, quand le beau boss propose à Léonie de l'initier aux plaisirs du sexe, elle accepte. De toute façon, le contrat est clair : pas d'amour, juste du sexe. Une fois la mission terminée, les deux se diront adieu. Deal ?
***
Je pousse un soupir avant d'aller affronter M. Barria alias Bad Boss !
- Oui ?
- Nous sommes ici sous couvert d'anonymat. Personne ne sait que je suis Eneko Barria. Donc en public, je vous exhorte à m'appeler par mon prénom. Ici, nous sommes M. et Mme Duprat.
- Mari et femme, donc ?
- C'est ça ! Vous êtes d'accord avec ça ?
- Oui.
Il me lance un petit sourire en coin tout en s'approchant de moi, tellement près que son souffle balaye mon visage. Et lorsqu'il replace une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, je sursaute à cette proximité soudaine. Je sens mes joues chauffer instantanément.
- Y a du boulot ! lance-t-il en me laissant à nouveau de l'espace personnel.
- Comment ça ?
- Est-ce qu'un mari fait sursauter sa femme ? À part, bien sûr, s'il est violent avec elle ? On doit vraiment donner le change. C'est important.
- Vous faisiez comment avec Victoire ?
- On était frère et soeur dans ce cas-là. Mais, ma chère frangine n'a rien trouvé de mieux que de préciser à la réception que je venais en voyage avec ma femme. En même temps, qui aurait pu gober que je suis votre frère ?! On n'a aucun trait commun. Bon, reprenons.
Et je déglutis quand je le vois se rapprocher de nouveau de moi. Mon regard ne lâche pas le sien.
Il fait quoi encore ?!
- Vous...
Ma voix s'étrangle au moment où il pose sa paume contre mon cou.
- Bien. Pas de réaction épidermique. On progresse, Léonie, lance-t-il de sa voix légèrement cassée en gardant sa position.
- Vous... bredouillé-je.
- Tu.
- Pardon ?
- Il faut que tu me tutoies. On n'est plus au dix-huitième siècle !
- Mais... vous... je... tu...
- Il manque « il », « elle », « nous », « ils », « elles », il me semble, me taquine-t-il en enlevant sa main de la base de ma clavicule.
Boss hors contrat de Camilla Simon, histoire intégrale.
Forêt tropicale du Congo, 2030. Une équipe de scientifiques de différentes nationalités étudient les effets du changement climatique sur les espèces animales et végétales. Lorsque Nelson - le mâle alpha, au tempérament docile, d'un groupe de gorilles - commence à attaquer sans raison ses semblables, en dévorant même plusieurs d'entre eux, l'équipe décide de le neutraliser. Ils découvrent alors la présence d'un virus inconnu redoutable, susceptible d'effacer une grande majorité de la population mondiale, qu'ils surnomment Chimera. Mais là où certains y voient une menace sans précédent, d'autres entrevoient une lueur d'espoir pour la planète...
À trente et un ans, Elizabeth Gilbert possède tout ce dont une américaine ambitieuse peut rêver : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse. Elle devrait nager dans le bonheur, pourtant elle est rongée par l'angoisse, le doute, l'insatisfaction...
S'ensuivent un divorce, une dépression et une liaison désastreuse qui la laissent exsangue et encore plus désemparée. Elle décide de tout plaquer pour partir seule à travers le monde.
À elle de se construire la vie qu'elle s'est choisie !
En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les "douze kilos les plus heureux de sa vie", en Inde, ashram et rigueur ascétique l'aident à discipliner son esprit (lever à 4 heures du matin, méditation et nettoyage des sols !) et en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver l'équilibre qu'on appelle le bonheur...Elisabeth Gilbert nous invite à un voyage vers l'inconnu joyeux et émouvant, libéré des mascarades et faux-semblants. Àtravers une mosaïque d'émotions et d'expériences culturelles, elle a su conquérir le coeur de millions de lectrices qui ont aimé pleurer et rire avec elle. Et qui rêvent de changer de vie, elles aussi.Découvrez l'enquête exclusive du Figaro Madame.fr sur:
http://madame.lefigaro/societe/enquetes/249-mange-prie-aime-sur-la-route-du-bonheur
Pour se connaître enfin soi-même, il n'est pas de meilleur moyen que de connaître bien son ennemi. Ordinairement, celui-ci ne fait pas mystère de sa personne : on ne voit et on n'entend que lui partout. Mais le narrateur de ce livre va devoir s'employer à débusquer le sien, mort en 1888 et oublié presque aussitôt. Désiré Nisard, critique littéraire académique et compassé, sermonneur versatile, n'en a pour autant pas fini de nuire. Il a pesé de tout son poids sur la trame légère des jours comptés à l'humanité. Il a contribué au malheur de celle-ci, aujourd'hui encore accru par les fatales conséquences de ses moindres opinions et petits gestes mesquins. Tout cela appelle une juste vengeance. Désiré Nisard doit disparaître. L'idéal serait qu'il n'ait jamais vécu. La plus infime trace de son existence sera effacée. Ce livre entend lui régler son compte une bonne fois.
Pour quelques damnés heureux ou malheureux, la littérature décide de tout. Chaque chose sera vue à travers son prisme et rien ne sera vraiment vécu avant d'être formulé. Ce livre est-il un récit humoristique délirant, une confession autobiographique désarmante, un essai polémique agressif, ou bien plutôt, outrepassant ces catégories qui se télescopent ici, tantôt joyeusement, tantôt brutalement, une mise à l'épreuve de la vie de l'auteur dans le champ de la littérature où il s'est établi au saut du berceau ? Nous y lirons donc un roman bien dans sa manière (un peu trop sans doute), et même deux romans puisqu'un second (l'histoire d'un homme qui suit une fourmi) vient soudain interrompre le premier. Mais nous y lirons aussi les interventions et commentaires de l'auteur, soucieux de garder la main sur sa création et d'élucider ce qui se trame peut-être à son insu dans ses fictions.
Meurtres en Alabama.Birmingham, Alabama, 1963. Le corps sans vie d'une fillette noire est retrouvé. La police s'en préoccupe de loin. Mais voilà que d'autres petites filles noires disparaissent...
Bud Larkin, détective privé bougon, alcoolique et raciste, accepte d'enquêter pour le père de la première victime.
Adela Cobb, femme de ménage noire, jeune veuve et mère de famille, s'interroge : " Les petites filles, ça disparaît pas comme ça... "
Deux êtres que tout oppose.
A priori.Sous des airs de polar américain,
Alabama 1963 est avant tout une plongée captivante dans les États-Unis des années 1960, sur fond de ségrégation, de Ku Klux Klan et d'assassinat de Kennedy.
Rentrée littéraire 2020
Connell et Marianne ont grandi dans la même ville d'Irlande. Il est le garçon en vue du lycée, elle est la solitaire un peu maladroite. Pourtant, l'étincelle se produit : le fils de la femme de ménage et l'intello hautaine connaissent ensemble leur premier amour.
Un an plus tard, alors que Marianne s'épanouit au Trinity College de Dublin, Connell s'acclimate mal à la vie universitaire.
Un jour, tout est léger, irrésistible ; le lendemain, le drame pointe et les sentiments vacillent.
Entre eux, le jeu vient tout juste de commencer.
Sally Rooney réussit le tour de force de donner une dimension unique et universelle à cette histoire. Porté par des dialogues saisissants de justesse, Normal People est un roman magistral sur la jeunesse, l'amitié, le sexe, sur les errances affectives et intellectuelles d'une génération qui n'a plus le droit de rêver, mais qui s'entête à espérer.
Traduit de l'anglais (Irlande) par Stéphane Roques.
ÉLU LIVRE FAVORI DES FRANÇAIS
Anna, 37 ans, croule sous le travail et les relances des huissiers.
Ses filles, elle ne fait que les croiser au petit déjeuner. Sa vie défile, et elle l'observe depuis la bulle dans laquelle elle s'est enfermée.
À 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais a choisi d'y renoncer pour aider sa mère. Elle cherche de l'affection auprès des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se transforment après l'amour.
Lily, du haut de ses 12 ans, n'aime pas trop les gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu'il a quitté le navire.
Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend une décision folle : elle les embarque pour un périple en camping-car, direction la Scandinavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut choisir un autre chemin.
Anna, Chloé, Lily. Trois femmes, trois générations, trois voix qui se répondent. Une merveille d'humour, d'amour et d'humanité.
Romancière à succès, Virginie Grimaldi est l'auteure de trois best-sellers, Le Premier Jour du reste de ma vie, Tu comprendras quand tu seras plus grande et Le Parfum du bonheur est plus fort sous la pluie.
Petitesannonces.fr : Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnon(ne) pour partager avec moi ce dernier périple.
Émile a décidé de fuir l'hôpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre étonnement, il reçoit une réponse à cette annonce. Trois jours plus tard, devant le camping-car acheté secrètement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d'un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa présence.
Ainsi commence un voyage stupéfiant de beauté. À chaque détour de ce périple naissent, à travers la rencontre avec les autres et la découverte de soi, la joie, la peur, l'amitié, l'amour qui peu à peu percent la carapace de douleurs d'Émile.Un livre aux dialogues impeccables et aux personnages touchants d'humanité. Psychologies magazine.Bouleversant. Version femina.
Un thriller addictif dans la lignée de Seven.7 MASQUES 7 ENFANTS LE MAL ABSOLU Un dimanche matin, sur une île au large de la Suède. Le corps d'une adolescente s'échoue sur le rivage. À côté de son cadavre, un masque de renard. Malgré les troublantes circonstances de sa mort, la police conclut à un suicide. Mais l'enquêtrice Sanna a l'intuition que quelque chose leur échappe. Dès le lendemain : une riche
collectionneuse de livres anciens est retrouvée sauvagement assassinée. À son domicile, Sanna et sa nouvelle équipière Eir découvrent un effrayant tableau représentant une petite fille. Cette dernière n'est autre que la victime au masque de renard...
" J'accuse les laboratoires d'avoir joué aux apprentis sorciers. La technique de l'ARN messager n'était pas prête, et nous n'aurions pas dû l'injecter à des milliards d'êtres humains. "
Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l'une des plus renommées d'après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu'est l'ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts ?Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux Etats-Unis en 2013, Alexandra Henrion-Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l'hôpital Trousseau, puis à Necker en tant que directrice de recherche de l'INSERM. Elle a découvert l'implication de l'ARN dans différentes maladies génétiques de l'enfant et a révélé l'existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.
« On peut discuter de tout sauf des chiffres » a dit un jour l'ex-ministre de la Santé Olivier Véran. Après trois ans passés à collecter et à analyser la quasi-totalité des chiffres qui concernent la crise du Covid 19, dans les organismes officiels français et internationaux, le statisticien Pierre Chaillot peut affirmer le contraire : on doit discuter de tout et surtout des chiffres. En particulier de ceux que les responsables politiques et médicaux ont choisi délibérément de ne pas citer car ils risquaient de provoquer l'effondrement du récit officiel. Pierre Chaillot expose donc dans ce livre le résultat de ses analyses. Les données qu'il cite sont toutes sourcées, ses calculs sont entièrement ouverts à la consultation sur son site et ses hypothèses ont été discutées et revues par des spécialistes (statistiques, informatique, mathématique, épidémiologie). Ses conclusions sont stupéfiantes. Mortalité, hospitalisations, tests, efficacité vaccinale, effets secondaires, rien ne résiste à la confrontation ordonnée de la totalité des chiffres et, devant les yeux du lecteur effaré, la propagande s'écroule.
Pierre Chaillot est statisticien. Il a souhaité reverser tous les droits issus de la vente de ce livre à la Fondation Où est mon cycle, qui vient en aide aux femmes qui ont subi de graves perturbations hormonales à la suite de la vaccination Covid. Préface de Laurent Mucchielli, Directeur de recherche au CNRS
Postface de Laurent Toubiana, épidémiologiste et chercheur à l'INSERM
Après l'immense succès du Grand Monde
Un ogre de béton, une vilaine chute dans l'escalier, le Salon des arts ménagers, une grossesse problématique, la miraculée du Charleville-Paris, la propreté des Françaises, « Savons du Levant, Savons des Gagnants », les lapins du laboratoire Delaveau, vingt mille francs de la main à la main, une affaire judiciaire relancée, la mort d'un village, le mystérieux professeur Keller, un boxeur amoureux, les nécessités du progrès, le chat Joseph, l'inexorable montée des eaux, une vendeuse aux yeux gris, la confession de l'ingénieur Destouches, un accident de voiture. Et trois histoires d'amour.
Un roman virtuose de Pierre Lemaitre
À 33 ans, Iris trimballe sa vie dans une valise.
Théo, 18 ans, a peu de rêves, car ils en foutent partout quand ils se brisent.
À 74 ans, Jeanne regarde son existence dans le rétroviseur.
Rien ne les destinait à se rencontrer.
Quand le hasard les réunit sous le même toit, ces trois êtres abîmés vont devoir apprendre à vivre ensemble. La jeune femme mystérieuse, le garçon gouailleur et la dame discrète se retrouvent malgré eux dans une colocation qui leur réserve bien des surprises.
C'est l'histoire de trois solitudes qui se percutent, de ces rencontres inattendues qui sonnent comme des évidences.
Virginie Grimaldi possède un talent inégalé pour nous faire passer du rire aux larmes et nous conter la vie avec justesse et sensibilité.